Revue du web : avis et critiques de la presse et de la blogosphère littéraire

Prix Nicolas-Bouvier 2015, le beau récit de Paolo Rumiz ne vous laissera rien ignorer des lanternes et des goélands, des orages épouvantables et des aubes magiques au milieu de la mer.

L’expérience que propose Farigoule Bastard reste frustrante en raison de son aspect très fragmentaire, hérité des expérimentations de Benoît Vincent sur des formats numériques où l’hypertexte est roi.

J’ai eu l’impression d’avoir affaire avec un magicien des mots, du style, un grand illusionniste : ce premier roman signe le début d’un immense auteur.

Ce roman n’est qu’une succession de phrases pleines de brutalité et de poésie. Héloïse Guay de Bellissen met entre nos mains un roman qui brûle le cœur et laisse sa marque dans les esprits.

Un beau livre, franchement original, qui capture l’air de rien tout un climat social, et n’est pas sans rappeler le Bonjour Tristesse de Françoise Sagan.

Trop court, on en voulait encore.

Excellente nouvelle que ce polar, d’autant plus excellente qu’il semble bien être le début d’une série. Et ça c’est génial.

Mario Vargas Llosa met en lumière avec légèreté la violence et la corruption qui minent la société péruvienne.

Au sortir de ce recueil, on se sent légèrement angoissé, décalé aussi, comme marchant juste à l’orée de sables mouvants.

J’aime les polars et les histoires de voyous mais pas trop celles de magouilles a priori, du coup je suis petit à petit passée à côté de ce roman...

Le résultant est assez bluffant. Voilà un auteur qui semble avoir des atouts qui ne demandent qu’à être confirmés.

Le nouveau Amis n’est pas la daube annoncée, mais un livre d’un cynisme, d’une puissance et d’une intelligence rares. Un des événements majeurs de la rentrée.

Un tableau en clair-obsur. Un décor lumineux dans un cadre sombre. Sous le glacis, l’horreur.

J’avoue m’être un peu lassée au bout d’un moment, finalement l’intrigue, le mystère ne m’intéressaient pas tant que ça, et que de longueurs lors du dénouement !

L’écriture est vraiment très agréable, elle souligne les émotions et apporte du frisson dans les instants de doute.

Que dire de ce livre, sinon qu’il est sans aucun doute un des meilleurs polars d’espionnage que j’ai jamais lus, mais il est également tellement plus que ça.

C’est l’aspect "work in progress" qui m’a vraiment intéressée. Le début peut en effet paraître hoquetant, la narratrice ne parvenant pas à donner un aspect fluide à son récit ,mais ces maladresses apparentes témoignent du travail que doit mener le romancier pour accéder à la fiction.

Trop de points négatifs pour que ce texte emporte mon adhésion.

« La Terre bleue de nos souvenirs » est un bon roman, qui fait passer un bon moment pour qui a envie de rêver un peu à ce que pourrait être notre futur, ou pour qui continue de rêver à une conquête spatiale qui va de l’avant...

Un livre extrêmement riche, bien ficelé, intelligent. Un livre capable de vous transporter dans le temps et dans les airs.

J’ai aimé ce roman pas comme les autres, avec un style pas comme les autres, avec un personnage pas comme les autres, et une intrigue menée de façon originale.