Revue du web : avis et critiques de la presse et de la blogosphère littéraire

Un roman fort qui met paradoxalement la religion de côté. Ce n’est pas d’elle dont il est question, mais bien du regard aigu et juste d’une mère sur son enfant.

Inventif, tenu et très réjouissant, ce roman m’a plu-plu-plu et je le recommande !

C’est une lecture exigeante, qui demande un temps d’assimilation et de réflexion.

Je suis très déçue et crois ne pas avoir compris le propos de Martin Amis : où veut-il en venir ?

À travers ce roman sur le Congo des années 1970, le truculent Mabanckou aborde, sans en avoir l’air, quelques tabous africains.

On est entré dans le livre par la cour, comme chez les Guermantes. Ce qu’on y trouve d’abord n’est pas un fiacre, mais une Fiat 500.

Amy Jo, sa fille, a écrit ce livre pour raconter à sa façon ses années d’enfance auprès de ce père musicien et camé.

Voilà un bon roman pour attaquer la rentrée. Pas de quoi crier au chef-d’œuvre, mais un excellent moment de lecture

J’ai aimé passer un moment avec Anatole et Violaine, j’ai aimé être emmenée par l’auteur là où je ne m’y attendais pas. Un agréable moment de lecture.

Mais Christos Tsiokas n’est pas seulement cet auteur provocateur qui bouscule rudement ses lecteurs. Il montre aussi dans "Barracuda" d’autres qualités en signant de magnifiques pages sur la natation.

’auteur s’efface devant des hommes ou des femmes qui avec le recul on fait un parcours personnel et collectif qui forge le respect.

Ce court roman, remarquablement écrit prend sans doute ses racines dans ce qu’il s’est passé à Paris ce début d’année.

Je trouvais cela agréable à lire, propre mais cela ne m’a pas fait vibrer, trembler, je n’étais ni triste ni heureuse, je n’ai rien ressenti de particulier.

Ce roman est de ceux qui dévoilent de nouvelles facettes à chaque lecture. Un enchantement, vous dis-je.

Tandis que je me dénude, est un roman sur l’image, sur l’intimité, sur cette mise à nue à laquelle nous nous contraignons, un passionnant roman aux thèmes résolument contemporains, une passionnante autopsie de notre manière de surexposer nos âmes...

Je suis restée en marge et il me reste peu de choses de ce récit pourtant superbement écrit.

C’est un beau voyage dans les rémanences de l’enfance.

Une chose est sûre, Delphine de Vigan a beaucoup de talent ! Ne passez surtout pas à côté de son nouveau roman.

Comment ne pas continuer d’adorer le tandem d’intransigeants formés par la punkette, hackeuse de génie, et la gloire vieillissante du journalisme d’investigation ?

Une très belle lecture, même si je préfère encore mille fois Les Heures.

Un roman choral bien mené sur l’amitié, à l’écriture élégante. J’avoue tout de même avoir été quelque peu désarçonnée le premier tiers du livre...