Podcasts littéraires "Justine Lévy, Antoine Wauters, Alice Ferney, Percival Everett, Anthony Passeron à la page " "Actes Sud"

Le masque et la plume : 24 août 2025
durée : 00:50:57 - Le Masque et la Plume - par : Laurent Goumarre - Une confrontation avec une mère toxique et une enfance chaotique ; un héritage familial lourd de silences et de drames ; une amitié homme-femme et le pouvoir du dialogue ; un esclave lettré défie le racisme et forge son destin et un roman qui mêle abandon paternel, jeux vidéo et chronique sociale. - invités : Arnaud Viviant, Patricia Martin, Raphaelle Leyris, Hubert ARTUS - Arnaud Viviant : Critique littéraire (Revue (…)
Comme en amour de Alice Ferney
Ce roman édité par Actes sud est très apprécié par la blogosphère.A l’ombre du noyer : Roman subtil et d’une grande acuité psychologique, Comme en amour nous place devant une évidence : les frontières que nous traçons entre amour et amitié sont fragiles, mouvantes, poreuses.
France info : Dans son nouveau livre, la romancière retrouve son terrain de prédilection – les sentiments – pour s’emparer de la délicate question de l’amitié entre homme et femme dans un exercice de style d’une grande finesse.
Haute-Folie de Antoine Wauters
Ce roman édité par Gallimard est très apprécié par la blogosphère.Le murmure des âmes livres : « Haute-Folie » est un roman infiniment poignant, qui m’a beaucoup touchée. J’ai été profondément émue par le personnage de Josef, qui toute sa vie tentera de s’affranchir de son histoire pour trouver la paix.
Le Carnet et les Instants : En une douzaine d’années, Antoine Wauters a su ouvrir un chemin neuf dans la faune des lettres francophones et ses livres ont conquis bien des lecteurs et des prix, ce qui ne va pas nécessairement de pair. Jonglant d’une prose poétique tout à la fois forte, vive et légère, il défriche l’âme humaine, puisant dans son expérience propre pour gagner mieux le lointain.
Le Monde : La vie tragique et magnifique de Josef, fascinant personnage. l’écrivain belge déploie une fête du langage, d’images éblouissantes en phrases ravageuses.
Benzine Magazine : ’Antoine Wauters revient avec un court roman aussi douloureux que lumineux qui explore les malédictions qui touchent ceux dont l’histoire est ensevelie sous le silence et qui brûle d’un feu intérieur qui les pousse à tenter de les briser.
Playlist Society : Une pure fiction brillamment construite
Aude Bouquine : Il faut bien le dire, ce texte réussit en peu de pages là où beaucoup ont échoué : il dit l’intime sans exhibition, la dévastation sans complaisance, l’espérance avec force.
Sur la route de Jostein : Antoine Wauters signe une nouvelle fois un roman passionnant ancré dans un territoire, un lieu puissant.
En attendant Nadeau : Haute-Folie renoue avec l’ambition de conteur d’Antoine Wauters. Mais sans parvenir à dépasser la contradiction entre le refus du réalisme et l’envie de dire quelque chose du monde.
Tête de lecture : Antoine Wauters creuse cette idée que nous portons en nous une irrémédiable histoire dont on ne peut se défaire. Elle nous imprègne ou même nous guide, sans qu’on en ait conscience.
A l’ombre du noyer : Antoine Wauters signe un très grand texte, poignant de bout en bout, singulier dans sa construction, à la frontière ténue entre la douleur et la grâce, entre la noirceur du monde et l’éclat fragile d’une âme qui cherche à respirer.
Coin lecture de Nath : Antoine Wauters monte encore en puissance dans son écriture, une langue épurée qui va à l’essentiel, un récit qui m’a chaviré le cœur, bouleversée à plusieurs reprises, d’une intensité émotionnelle extrême.
Jacky de Anthony Passeron
Ce roman édité par Grasset est apprécié par la blogosphère.A l’ombre du noyer : Jacky se lit comme une fresque sensible, habitée par une émotion sincère.
MademoiselleLit : Un roman « touche à tout » : quelle que soit la thématique traitée – la disparition d’un père ou le gaming -, l’ensemble manque de profondeur, de détails et de pertinence.
En attendant Nadeau : Après le succès des Enfants endormis, qui mêlait son histoire familiale à celle des années sida, Anthony Passeron signe Jacky, récit de la faillite et du renoncement d’un père alors que la culture des jeux vidéo s’impose dans les années 80.
Télérama : Quelque part dans l’arrière-pays niçois, années 1980. Les bips-bips de la console de jeux s’ajoutent aux cris du père, puis comblent son absence. Un récit touchant sur le délitement d’une famille, signé de l’auteur des “Enfants endormis”.
Je lis je blogue : J’ai été touchée par ce récit intime qui reste assez pudique, sans pathos intempestif et sans tentative d’enjolivement de la réalité non plus.
Tu vas t’abimer les yeux : C’est donc un livre que j’ai apprécié, mais je pense qu’il plaira plus aux gens qui n’ont jamais lu Anthony Passeron qu’aux gens qui comme moi ont déjà lu « Les Enfants Endormis ».
Les mafieuses : On recroise des thèmes vus dans Les Enfants endormis en toile de fond et on retrouve avec beaucoup de plaisir cet équilibre entre la documentation, l’écriture au plus près des ressentis de l’enfance et ce besoin de comprendre les réactions des proches de l’auteur.
Benzine Magazine : Après Les Enfants endormis, qui retraçait la trajectoire d’un oncle et les années SIDA, l’auteur s’attarde ici sur sa jeunesse marquée par une figure du père ambivalente et l’émergence des premières consoles.
Les lectures d’Antigone : De ce livre émane une atmosphère un peu plombante, je ne vous le cacherai pas. De plus, l’auteur a choisi, en parallèle de son histoire, de raconter l’histoire factuelle de l’évolution des jeux vidéos.
Une drôle de peine de Justine Lévy
Ce roman édité par Stock est très apprécié par la blogosphère.Télérama : L’écrivaine explore encore la faille maternelle autour du mystère que fut Isabelle Doutreluigne, morte en 2004, à l’âge de 54 ans. Un récit-enquête poignant, au ton faussement léger.
James de Percival Everett
Ce roman édité par L’Olivier est apprécié par la blogosphère.La Croix : L’Américain Percival Everett donne une voix et une âme à Jim, esclave et personnage secondaire des Aventures de Huckleberry Finn. Un fabuleux roman d’aventures, et bien plus.
Fragments de lecture : On pleure, on rit et on est porté par l’intelligence de Jim, véritable héros malgré lui.
En attendant Nadeau : Dans James, Percival Everett réécrit les Aventures de Huckleberry Finn du point de vue de Jim, l’esclave fugitif. Si l’auteur évacue les stéréotypes et gagne la complicité du lecteur, ce n’est pas sans quelques facilités.
Actualitté : James est curieux, avide d’apprendre. Amoureux des mots, philosophe à ses heures perdues, James est surtout un esclave. Capable de lire et d’écrire, il se démarque – mais jamais en présence d’un Blanc, jamais lorsque ses connaissances pourraient lui porter préjudice.
Benzine Magazine : Percival Everett s’est emparé des Aventures d’Huckleberry Finn en donnant la parole à Jim, l’esclave en fuite, dans le roman de Mark Twain. Un livre mêlant épopée picaresque, satire sociale et méditation sur le racisme.
Libération : Prix Pulitzer 2025 avec ce nouvel opus, le romancier américain s’empare des « Aventures de Huckleberry Finn » pour renverser les perspectives sur l’histoire de l’esclavage. Un événement de la rentrée littéraire, en librairies depuis le 22 août.
France info : Le romancier américain a reçu en 2024 le National Book Award et le Prix Pulitzer de la fiction en 2025 pour cet extraordinaire roman qui paraît en France dans la rentrée littéraire de l’automne.
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