Podcasts littéraires "Eau avec Rebecca Lighieri, Didier Decoin et Pierre Raufast"

Le temps des écrivains : 28 janvier 2017
durée : 00:59:07 - Le temps des écrivains - par : Christophe Ono-Dit-Biot - Rebecca Lighieri, Didier Decoin et Pierre Raufast sont ce jour les invités de Christophe Ono dit Biot.- réalisé par : Anne-Laure Chanel
La baleine thébaïde de Pierre Raufast
Ce roman édité par Alma est apprécié par la blogosphère.Hannibal le lecteur : Malgré de belles trouvailles et un humour prononcé – certaines scènes sont mémorables – d’aucuns trouveront peut-être le roman un brin trop décousu.
Les livres de Joëlle : Moi qui cherchais désespérément des livres détente un minimum consistants, j’ai maintenant trouvé un auteur qui correspond à mes attentes, j’ai hâte de découvrir ses précédents ouvrages.
Un dernier livre avant la fin du monde : Servi par une galerie de personnages toujours impeccable, La baleine thébaïde nous entraîne dans un monde fantaisiste et ironique. Un troisième roman comme un excellent présage pour les futurs Raufast à venir.
Les carnets du Pr. Platypus : En l’état, et même si la Baleine thébaïde réserve tout du long de jolis moments, portés par le plaisir évident que prend Raufast à (se) raconter des histoires, le récit garde des airs brouillons qui frustrent, voire agacent, au risque d’occulter certaines de ses qualités.
Sophielit : Quelle formidable friandise que cette Baleine thébaïde ! Mes a priori balayés, je n’ai désormais qu’une hâte : découvrir les deux romans précédents romans de l’auteur
Shangols : On ne sait pas du tout ce que Raufast a entrepris avec ce livre peut-être un peu inutile, qui nous fait passer deux heures sympa mais qui se révèle assez léger au bout du compte.
Blablabla mia : Un roman divertissant, fin, sensible, érudit, enlevé et poétique dans lequel Pierre Raufast nous offre une redoutable réflexion sur l’humain, sa solitude, sa bonté et ses horribles travers.
La bibliothèque de Noukette : Plume alerte et follement jubilatoire, Pierre Raufast nous entraîne dans sa folie douce de gamin farceur et on se régale !
Soupe de l’espace : En refermant le livre, on a l’impression que Pierre Raufast écrit une œuvre plus qu’il n’écrit des livres. Entre science, humour et tendresse, chacun des romans est intimement lié aux autres.
En lisant en voyageant : Un nouveau cru gouleyant et raufastueux, à découvrir fissa. I
Bricabook : Pierre Raufast est devenu un romancier incontournable de la littérature contemporaine française.
Le bureau des jardins et des étangs de Didier Decoin
Ce roman édité par Stock est très apprécié par la blogosphère.Lecturissime : L’auteur s’est nourri d’une documentation très approfondie de ce Japon du XIIème siècle, si bien qu’il parvient non seulement à nous faire voir cette époque, à nous plonger dans ses ramification...
Les livres de Joëlle : Je ne me suis à aucun moment ennuyée dans ce récit au style fluide et poétique. Un moment de sérénité absolue, voire d’envoûtement, à déguster tout doucement... Dépaysement garanti !
Journal d’une lectrice : J’ai beaucoup aimé l’atmosphère de ce roman en forme de conte et en forme de boucle, qui nous restitue toute l’âme d’un Japon disparu...
Totalybrune : Didier Decoin nous emmène dans la Chine médiévale et signe un récit riche historiquement et très poétique.
Bruno Ménétrier : Une histoire et une écriture pleines de poésie, celle du monde flottant. Et le portrait d’une charmante dame de l’époque.
Les chroniques de Koryfée : C’est pour le lecteur l’occasion d’un voyage sublime au cœur d’un Japon où se mêlent un raffinement extrême, une infinie poésie et une divine exaltation des sens.
A l’ombre du noyer : Ce livre est une perle dépaysante, une superbe leçon de courage, d’amour et d’humilité.
Un dernier livre avant la fin du monde : Fresque du Japon des oubliés du XIIe siècle, conte initiatique, roman d’amour, et surtout ode olfactive, Didier Decoin réussit avec ce livre à nous fasciner.
Télérama : Un grand roman d’amour, auscultant l’intimité du couple passionné que formèrent la simple et discrète Miyuki et l’âpre Katsuro — passion à laquelle la mort même ne saurait mettre fin.
La Croix : Avec un texte initiatique, sensuel, olfactif et spirituel qui nous transporte dans le Japon du XIIe siècle, Didier Decoin renoue avec l’essence du romanesque.
Les garçons de l’été de Rebecca Lighieri
Ce roman édité par Editions POL est très apprécié par la blogosphère.Télérama : Cet antihéros finement imaginé, Dan Nisand — l’auteur de 43 ans a aussi grandi dans une cité-jardin — réussit à le faire exister en conservant l’équilibre précieux entre une délicatesse contenue et la rudesse du milieu brutal dans lequel il évolue.
Edyta et sa bibliothèque : Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un roman aussi addictif.
Lire au lit : J’avais beau me dire à une heure avancée de la nuit : j’arrête, eh bien, mes yeux continuaient tout seuls le chapitre suivant !
L’Express avec Lire : Rebecca Lighieri attrape le lecteur dans ses filets et l’y maintient serré en alternant habilement les narrateurs successifs et les points de vue.
Le boudoir de Nath : Le roman de Rebecca Lighieri est brillamment mené de bout en bout, et laisse un goût amer, un certain malaise aussi, ce « je ne sais quoi » qui fait qu’on ne peut l’oublier une fois refermé.
L’Express avec Lire : Happé par ce roman tel le surfeur par la houle, le lecteur finit sonné sur la grève. Avec l’envie féroce de repartir dans les flots.
Sur mes brizées : J’ai plongé dans « Les Garçons de l’été » et les vagues ne m’ont pas lâchée !
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