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Podcasts littéraires "Campagne française avec Simon Johannin, François Beaune et Cécile Coulon"

Le temps des écrivains : 4 mars 2017

durée : 00:58:46 - Le temps des écrivains - par : Christophe Ono-Dit-Biot - Simon Johannin, François Beaune et Cécile Coulon sont ce jour les invités de Christophe Ono dit Biot.- réalisé par : Anne-Laure Chanel


Une vie de Gérard en Occident de François Beaune

Ce roman édité par Verticales est apprécié par la blogosphère.

Aleslire : Gérard, c’est le café du commerce et la philosophie anti consumériste pour les nuls à lui tout seul.

Télérama : Cette voix à laquelle François Beaune prête tout son talent après en avoir recueilli des dizaines. On l’écoute, et on l’entend encore, cette voix qui vous réjouit autant qu’elle vous noue l’estomac...

En attendant Nadeau : Une vie de Gérard en Occident met en exergue Giono, Rabelais et Coluche. On est souvent très près de ce dernier, question de fidélité à une certaine langue.


Trois saisons d’orage de Cécile Coulon

Ce roman édité par Viviane Hamy est très apprécié par la blogosphère.

Les lectures d’Antigone : Cécile Coulon est toute de même étonnante ! Voici le troisième titre que tu lis d’elle et à chaque roman, l’auteure semble se couler dans un genre différent. E

Le petit poucet des mots : C’est une lecture parfaite, un exercice de grand talent, lequel parvient à un degré de maturité saisissant compte tenu de la jeunesse de Cécile Coulon.

Lecturissime : Un beau récit tragique parfaitement maitrisé.

Lire au lit : Encore une fois, un texte au premier abord à l’image des lieux et des gens dont il parle, austère, un peu froid, comme distant et qui, au fur et à mesure de la lecture, s’ouvre, se révèle dans toute sa splendeur, sa beauté et sa puissance.

Journal d’une lectrice : Un roman bancal, selon moi, et dont je n’aime pas du tout la fin.

hop ! sous la couette : Le style est aiguisé, les images sont fortes. Le talent est palpable, ne faisant jamais défaut. N’empêche, un goût de poussière et, surtout, une froideur dans les émotions m’ont laissée dans le champ.

Le goût des livres : J’ai été impressionnée par la puissance de l’évocation d’une terre et de ses habitants.

Le Temps : Le Prix des libraires récompense une saga familiale dramatique, œuvre d’une jeune romancière habile à l’écriture surannée

Les livres de Joëlle : Ce roman m’a fait penser à ceux de Ron Rash, comme lui Cécile Coulon a à cœur de faire du lieu où elle situe son histoire un personnage essentiel de son roman et met en scène la lutte entre l’homme et la nature.

Cinéphile m\’était conté ... : Avec Le roi n’a pas sommeil, c’est comme si Cécile Coulon avait placé la barre très haut avec ce roman sidérant de maîtrise et de beauté mortifère.

Mic Mélo : Avec un style littéraire très travaillé, son roman s’épanouit non dans l’action, mais dans le jeu romanesque attentif du suspens et des silences et la gestion d’une tension dramatique toute en finesse.

Tu vas t’abimer les yeux : L’écriture de Cécile Coulon est parfaitement adaptée aux personnages, à l’atmosphère de ce lieu reculé, et au drame qui gronde.

Cahiers Attard : Ce bouquin est taillé à coup de phrases fortes, d’expressions imagées puissantes. Certaines scènes sont décrites avec une précision que le lecteur sent résonner en lui-même, grâce au pouvoir évocateur intense des mots. Vraiment balèze.

Les chroniques de Petite Balabolka : L’auteure a placé un ressort d’une telle puissance que je suis devenue addictive à cette lecture.

Le boudoir de Nath : Il y a la magie de l’auteure, qui fait de cette histoire rurale un roman absolument addictif, dans lequel tragédie et sublime s’enlacent aussi étroitement qu’ombre et lumière. Tout cela pour ne pas vous lâcher…

Wodka : Ce beau roman aurait gagné à une écriture plus resserrée, moins répétitive, qui aurait conféré au récit une vraie force tragique. Toutefois, cette tentative de s’inspirer de la tragédie classique se révèle prometteuse chez une si jeune auteure.

Les lectures du mouton : Cécile Coulon a l’art de faire de ses personnages ordinaires des êtres à la fois forts et fragiles et avec une grande puissance romanesque.

La Croix : L’ensorcelant roman de Cécile Coulon tresse l’une à l’autre les histoires de deux familles liées par un secret, dans un village du Massif central.

Bricabook : Non, la fiction n’est pas morte, et le nouvel Eschyle s’appelle Cécile.

Sur la route de Jostein : A la manière de Ron Rash ou Robert Goolrick, Cécile Coulon a cette puissance narrative, cette façon de jouer avec les forces maléfiques, les signes de bénédiction pour ferrer son lecteur dans une histoire...

Le Berry, républicain : Grâce à elle, ces travailleurs, paysans et médecins ruraux retrouvent un visage et une personnalité, loin des clichés habituels de la littérature dite « de terroir ».

Garoupe : Ce récit ressemble à ces chemins de randonnée en montagne : il y a toujours plusieurs voix ou voies qui s’offrent au lecteur mais seule Cécile Coulon sait qu’elles sont celles que son récit devra emprunter.

Mots pour mots : Chère Cécile Coulon, vous avez décidément un sacré sens de la dramaturgie ! Surtout n’arrêtez pas, j’aime tellement les histoires que vous me racontez, j’ai déjà hâte de lire la prochaine.

La bibliothèque de Noukette : Un roman vibrant, ancré dans la terre, qui arrive par une grâce inattendue à tutoyer les étoiles. Du grand art… !

Blog du Grenier : Après quelques tentatives infructueuses sur la rentrée de janvier, quelle joie de tomber sur cette petite pépite. Dès les premières pages, l’écriture de Cécile Coulon s’impose et j’ai la certitude de tenir quelque chose de grand entre les mains.


L’Été des charognes de Simon Johannin

Ce roman policier édité par Allia est apprécié par la blogosphère.

Le Carnet et les Instants : Sa langue en est symptomatiquement marquée, à tel point que l’écriture parfois torturée créée pour l’occasion par Johannin attirera autant de lecteurs qu’elle risque d’en désorienter d’autres.

Black roses for me : Perte de repères, drogues, hosto, Valium, la langue se fait plus mature, toujours belle, et l’on sort bouleversé par ce récit, par cet imposant premier roman qui marque la naissance d’un grand écrivain.

Bob polar express : L’Eté des charognes n’est pas un roman qui se mérite, c’est une chronique rurale, c’est un roman noir (peut-être sale), c’est surtout un appel.

Lire au lit : Il n’y a aucun doute, L’été des charognes porte bien son titre ! Bon, vous ne vous apprêtez pas à passer à table ? Non ? Très bien, alors, on y va.

Un dernier livre avant la fin du monde : Roman sans idéalisme sur le passage de l’enfance à l’âge adulte, de la nature à la ville, du purin au risque du rien. Simon Johannin a la plume humble mais magistrale.

Unwalkers : Voilà une version harboiled, sans concession du grand air, frais,……. euh j’ai dit frais, oubliez !!

Book’ing : Je ressors donc de cette lecture avec des sentiments contradictoires, suscités par le décalage entre le manque de subtilité avec lequel Simon Johannin traite son sujet et sa parfaite maîtrise d’un style original et très marquant.

hop ! sous la couette : J’ai dévoré ce roman, fascinée par sa dureté, son réalisme implacable. J’ai surtout été ensorcelé par les mots qui défilent. Un premier roman magistral. Pour lecteurs avertis !

Shangols : On sent que le gars admire totalement ses phrases très jolies, remplies de soleil, de fièvre et de sentiments ++.

D’une berge à l’autre : Une chronique certes brutale, écrite avec les tripes, sans fioritures ni scories inutiles mais avec des envolées stylistiques dignes d’une Virginie Despentes au meilleur de sa forme.

Tête de lecture : La langue de Johannin brutalise le lecteur, lui collant de force le nez dans une réalité qui ne fait pas la une des journaux. On ne veut pas en sortir pourtant : la découverte est trop belle.







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