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Podcasts littéraires "Les temps composés de l’Algérie"

La grande table : 23 août 2017

durée : 01:05:44 - La grande table - La suite de cette rentrée littéraire 2017 avec trois romancières : Alice Zeniter, Kaouther Adimi et Sophie Fontanel.


L’art de perdre de Alice Zeniter

Ce roman historique édité par Flammarion est très apprécié par la blogosphère.

T Livres ? T Arts ? : J’ai été captivée de bout en bout par ce roman servi par une plume que je ne connaissais pas.

Sur mes brizées : De « L’Art de perdre », j’attendais un éclairage supplémentaire sur cette guerre d’Algérie dont les échos n’ont pas fini de résonner en nous. En réalité, j’ai obtenu bien davantage de cette œuvre remarquablement écrite...

Tu vas t’abimer les yeux : « L’Art de Perdre » d’Alice Zeniter est un livre dense mais jamais ennuyeux, porté par un vrai souffle littéraire. Un récit passionnant sur la quête des origines et sur la définition d’une identité, entre la France et l’Algérie.

Mic Mélo : C’est un roman puissant, profond, juste, touchant sur l’identité, sur la filiation, sur tellement de choses. A ne manquer sous aucun prétexte.

Les lectures du mouton : C’est un roman sur la perte et la quête des origines mais aussi sur l’identité en France quand on est le fruit d’une culture mixte. C’est également un récit sur la difficulté d’être soi quand on se sent différent de la place qu’on souhaite t’attribuer.

Les fanas de livres : L’écriture est fluide et oscille entre roman et documentaire. Il faut prendre le temps de le lire parce que les informations sont denses mais c’est un très bon livre.

Lecturissime : L’art de perdre c’est celui de perdre un pays, une langue, des illusions, des biens minuscules mais essentiels, perdre pour avancer, et fonder une nouvelle vie, une nouvelle oeuvre, un nouveau monde, pour, enfin, peut-être, se libérer.

Sur la route de Jostein : Alice Zeniter réussit à transmettre un passé pour ne pas qu’il se perde avec la richesse du récit romanesque et l’éclairage d’une analyse sociologique pour laquelle elle a une grande légitimité.

Lire au lit : Le livre d’Alice Zeniter m’a beaucoup, beaucoup touchée, ses personnages semblent incarnés : on les sent, on les voit, on vit, on partage leurs émotions, leurs souffrances, leur détresse.

Garoupe : Cet « Art de perdre » est une petite merveille d’écriture, de style, de construction, d’idées, d’humanité, de vie, d’espoir malgré tout, d’envie, d’intime… un petit bijou.

Un dernier livre avant la fin du monde : Alice Zeniter nous avait convaincu dès son premier roman (Sombres dimanches – Prix du livre Inter 2013) par la justesse et la sensibilité de son écriture...

Le Devoir : « Mon projet n’était pas de raconter l’histoire de ma famille, mais de combler les silences de mon histoire familiale. J’ai inventé beaucoup de choses… », convient Alice Zeniter.

Les livres de Joëlle : Foisonnant, passionnant, jamais ennuyeux malgré ses 512 pages, ce récit sur une tranche d’histoire m’a paru également très objectif, sans parti pris.

Mots pour mots : Il se lit avec un plaisir immense mais sa profonde réussite c’est cette proximité, cette empathie qui se crée au fil des pages entre le lecteur et Naïma, nourrie de ce passé reconstitué. Oui, L’Art de perdre est un très grand roman.

Le blog de mimi : Ce roman que l’on prend à pleines mains pour ne pas le lâcher se lit ave à la fois facilité et gravité. Il semble bien engagé dans les premiers prix littéraires de la saison. J’espère qu’il aura devant lui un beau parcours .

La Croix : À une époque où la société française est traversée par la grande crise identitaire des deuxième et troisième générations d’émigrés, ce roman de la dépossession prend le temps des descriptions, des introspections...

Télérama : Zeniter décrit en cinq cents pages, tout ensemble violentes et mélancoliques, la progressive réconciliation avec soi.


Une apparition de Sophie Fontanel

Ce roman édité par Robert Laffont est peu apprécié par la blogosphère.

Blablabla mia : Et que l’on fasse ou non le choix de passer au gris/blanc, nul doute que le propos de Sophie Fontanel entraînera bon nombre de femmes dans son lumineux et joyeusement décomplexé sillage.

Sur mes brizées : On glanera ainsi, au fil des pages, de leurs anecdotes et remarques parfois piquantes, de quoi nourrir sa propre réflexion sur la question des normes en vigueur et la manière dont on se regarde.

Libération : Faire croisade pour la monochromie ne l’intéresse pas. Ce qu’elle veut, c’est sabrer les préjugés. Prôner la diversité.

Cathulu : Un livre qui fait du bien.


Nos richesses de Kaouther Adimi

Ce roman édité par Seuil est apprécié par la blogosphère.

Les fanas de livres : J’ai aimé le rythme apporté par le mélange entre les extraits de journal intime et l’histoire contemporaine d’un étudiant ayant pour mission de vider la librairie.

Coin lecture de Nath : J’ai dévoré cette petite merveille. La plume est fluide, c’est passionnant. Je ne connaissais pas Edmond Charlot, un éditeur passionnant, il m’a vraiment captivée.

Le site de Carmen Robertson : J’adore ces romans qui n’en sont pas réellement, solidement documentés (comme en fait foi la bibliographie), qui ravivent des époques, des lieux, des gens autrement inaccessibles

Ca va mieux en l’écrivant : Un livre qui parle de livres, une écriture maîtrisée, une lecture inattendue et plaisante : un moment d’enrichissement.

Zazymut : Ce bouquin est un hymne à la littérature, aux livres, à la connaissance, l’ouverture aux autres, l’amitié qui pourraient bien être nos vraies richesses.

Libération : Le roman se dévore à la vitesse de l’éclair et l’on retient son souffle au fil des pages quant à l’issue réservée à ce lieu, comme l’on suit le fil des riches heures d’Edmond Charlot.

Bonnes feuilles et mauvaise herbe : Kaouther Adimi rend un hommage émouvant à la littérature, à ceux et celles qui l’a font, la défende, dans sa diversité et ses multiples voix.

Sylire : Des bémols mais un roman à découvrir toutefois.

Tu vas t’abimer les yeux : J’ai trouvé cette lecture très intéressante sur le plan historique mais aussi très plaisante pour cette passion pour la littérature qu’elle communique.

Wodka : On comprend l’idée de l’auteure, née en 1986 à Alger. Mais la part romanesque de son récit reste la plus maladroite.

Les élucubrations de fleur : Mon avis est donc mitigé, même si j’ai passé un agréable moment en lisant Nos richesses.

Les chroniques de Koryfée : Si j’ai été très intéressée par l’histoire de cette librairie, sa génèse, son envol, sa disparition, je ne suis pas parvenue à me laisser emporter par le roman...

La Croix : Kaouther Adami fait revivre dans l’Alger d’aujourd’hui une grande aventure intellectuelle de la ville au siècle dernier.

Lecturissime : Kaouther Adimi a voulu rendre hommage à cet homme emblématique de la vie culturelle algérienne, mais son roman manque de souffle...

Les livres de Joëlle : Ce roman est un bel hommage aux livres, aux libraires et aux éditeurs. Par contre, en ce qui concerne l’évocation de l’Algérie, il est loin pour moi d’avoir la même envergure que le roman d’Alice Zeniter qui situe également son récit pour partie en Algérie.

Les lectures du mouton : Le tour de force de Kaouther Adimi est d’avoir su mêler la fiction à la réalité dans son roman.

Shangols : Un beau livre simple et lumineux, à acheter en priorité au "Haut Quartier" pour perpétuer la mémoire du grand Edmond Charlot.

Le blog de mimi : Si son précédent ouvrage "Des pierres dans ma poche" m’avait moins intensément marqué, "Nos richesse " aura intimement titillé la bibliophile et la défenderesse des vraies librairies que je suis.

Cannibales lecteurs : Kaouther Adimi signe un troisième livre passionnant, puissant, intensément vivant, qui saisit l’histoire algérienne par le prisme de la littérature et de la culture.

L’or des livres : Ce joli conte aux personnages attachants narré par Kaouther Adimi avec l’humour, la fantaisie et la poésie si caractéristiques de son écriture, dessine en parallèle un émouvant portrait d’Alger, de cette ville aimée où elle a grandi pendant les années noires...

Sur la route de Jostein : Kaouther Adimi nous embarque dans la passion d’Edmond Charlot et nous donne envie de se rendre dans ces ruelles en pente qui conduisent au 2bis rue Hamani pour vivre de plus près la magie des lieux.







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