Podcasts littéraires "Eric Plamondon, Yasmina Khadra, Ali Zamir et Ananda Devi"

Librairie francophone : 6 janvier 2018
durée : 00:50:15 - La Librairie francophone - par : Emmanuel KHERAD - Aujourd’hui, La Librairie Francophone part dans le nord canadien, en Guinée, à Cuba, aux Comores et dans le monde impitoyable des apparences physiques !- réalisé par : Henri-Marc MUTEL
Anguille sous roche de Ali Zamir
Ce roman édité par Le tripode est apprécié par la blogosphère.Petit carré jaune : Bref un sacré roman, une sacrée lecture, un sacré écrivain et ce quelque chose qui fait que ce récit est unique, ce déchiffrage littéraire est beau, puissant, vertigineux.
Cinéphile m\’était conté ... : Que faire ? Tourner la page et partir vers de nouveaux horizons littéraires. Ce ne sont pas les livres qui manquent et qui ne demandent qu’à être aimés.
L’Express avec Lire : Cette rage naturelle fait oublier le simple exercice de virtuosité, et rend particulièrement aimable Anguille sous roche...
Libération : Si la filiation entre Sagan et Zamir ne va pas de soi, c’est qu’Anguille sous roche est un roman formellement expérimental...
Appuyez sur la touche lecture : Il y a quelque chose d’antique, chez Anguille, mais aussi un incroyable charisme, un magnétisme qui captive le lecteur et l’emmène dans son sillage...
Télérama : Puisque les cyclones ont droit à des noms d’humains, on se souviendra longtemps du cyclone littéraire nommé Ali Zamir.
Taqawan de Eric Plamondon
Ce roman édité par Quidam est apprécié par la blogosphère.Cornelia : Tout au long du livre, le lecteur est happé, tantôt par l’intensité de la fiction, tantôt par l’intérêt de l’éclairage donné au travers de multiples ‘micro-histoires’ bien réelles.
Lettres exprès : Quant à cette lecture, si elle a été rapide, prenante et somme toute, pas désagréable, elle ne fut pas exactement à la hauteur de mes attentes.
PatiVore : Un roman fort, beau, passionnant, violent, pas tendre avec les colons anglais, français et leurs gouvernements…
Les livres de Joëlle : Dans ce roman, Eric Plamondon mêle les genres car Taqawan est à la fois un roman d’aventure, un roman noir, un roman politique, un roman historique dans lequel sont insérés des éléments documentaires, ce qui en fait un roman complètement atypique.
Fondu au noir : Alors que le gouvernement du Québec a officiellement reconnu en 2015 le génocide culturel envers les autochtones, notamment mis en œuvre avec le régime des pensionnats, Taqawan est une puissante piqûre de rappel.
Passion polar : Ce roman est touchant autant qu’il peut être violent, magnifique autant qu’il donne à voir ce qu’il peut y avoir de sombre dans la relation humaine.
Mon roman ? Noir et bien serré ! : Un roman à la fois social et politique absolument saisissant qui parvient en moins de 200 pages à nous immerger dans le contexte historique de cette « guerre du saumon », sur fond de polar nerveux, tout en appréhendant les aspects ethnographiques d’une population amérindienne révoltée....
Café Powell : Roman court mais intense, Taqawan est une bonne introduction à la littérature québécoise, pour tous les néophytes que ça intéresse. Au-delà, c’est un texte engagé et très maîtrisé, qui surprend et intéresse, qui révolte et qui séduit.
Shangols : Plamondon aurait dû renoncer à son polar pour se concentrer sur ces belles pages qui décrivent l’histoire, les légendes, les faits et gestes de ces Indiens. Il a voulu faire son Harrison, alors que sa veine est de toute évidence plus melvilienne.
Bonnes feuilles et mauvaise herbe : C’est un magnifique et percutant roman que nous offre Eric Plamondon, qui nous impose de nous tenir au côté de tous les Mig’Mag du monde.
Un dernier livre avant la fin du monde : Il ne vous reste qu’à suivre le Taqawan, saumon revenu pour la première fois de la mer et remonter avec lui le cours bouillonnant de cette histoire, terriblement féconde. Une lecture passionnante, dévorante.
Lire au lit : Mélangez le tout et vous aurez un livre divertissant,passionnant, engagé comme on les aime,plein de suspense etqui se lit d’une traite !
Evadez-moi : Un court roman, inhabituel dans sa construction mais très agréable à lire et assurément à découvrir.
The killer inside me : Sans prétention, sans morale abusive, avec une contextualisation parfaite (ah le tee shirt Britsh Steel !), ce roman est une belle bouffée d’oxygène, avec notamment ce mélange d’expressions de la Belle Province, cette langue que l’on retrouvait déjà avec bonheur chez Andrée Michaud.
Actu du noir : Un roman qui se lit tout seul, avec un véritable plaisir de lecture au premier degré, et que l’on referme en se sentant plus intelligent. Une belle réussite à ne pas manquer.
Nyctalopes : « Taqawan » propose donc un instantané de ce qu’était le Québec au début des années 80 tout en rendant un bel hommage aux Amérindiens et à leur sagesse concernant la nature...
Action-suspens : C’est un kaléidoscope de chapitres courts que nous présente Éric Plamondon. Dont le point central serait le fameux saumon, que les Indiens nomment taqawan quand il revient dans sa rivière natale.
Le blog de mimi : On ne comprend pas forcément tout, il y a des choses qui nous dépassent tant elles sont chargées de symboles .En revanche on se laisse vite embarquer dans ce tourbillon aux multiples entrées et dans cette construction originale...
En lisant en voyageant : En 200 pages l’auteur aborde vraiment pas mal de sujets sensibles, tout en donnant à lire une histoire bien bâtie, avec retournements de situations, et... pas mal d’action !
Encore du noir : Tout cela constitue un mille-feuilles littéraire que l’on prend un évident plaisir à déguster en en savourant chacune des strates.
Mots pour mots : Roman aussi ambitieux que divertissant, Taqawan est de ces lectures dont on mesure l’importance au fur et à mesure que ses propos s’ancrent en nous et contribuent à enrichir notre regard sur le monde.
Quatre sans quatre : Taqawan pour commencer à comprendre les luttes des minorités amérindiennes et lire une belle intrigue de polar !
Charybde 27 : En un rare compromis entre la légèreté malicieuse et la profondeur nécessaire, Éric Plamondon nous offre un roman de 200 pages au charme décisif.
Manger l’autre de Ananda Devi
Ce roman édité par Grasset est très apprécié par la blogosphère.Les livres de Joëlle : Dans ce roman très sombre qui est une sorte d’allégorie de notre société de consommation Ananda Devi pose la question de la norme, du diktat de la minceur, des préjugés et de la solitude dans nos sociétés.
Le Temps : Avec « Manger l’autre », la romancière Ananda Devi quitte ses territoires habituels et s’installe dans un corps obèse. Un conte gargantuesque pour dire des sociétés mondialisées dont l’appétit de croissance n’empêche pas les cloisonnements
Les lectures du mouton : Ce livre est une énorme claque et je suis ravie de l’avoir découvert avec le prix Orange. Si seulement ce type de livre pouvait faire changer les mentalités.
L’ivresse littéraire : Je ne vais pas y aller par quatre chemins, pas faire durer le suspense, pas tourner autour du pot, Manger l’autre est magistral ! Tant dans le fond que dans la forme.
Télérama : Gargantuesque, la narratrice glisse de l’humour à l’horreur, des images médicales aux tortures mentales.
Mot-à-mots : Une lecture qui m’a poursuivi une fois le livre refermé. Un roman qui interroge sans discriminer, ce que j’apprécie toujours.
Cathulu : Un roman au rythme soutenu, à l’écriture tantôt rabelaisienne, tantôt sensuelle, qui ne tombe jamais dans le voyeurisme ni le pathos, soulignant toutes les ambiguïtés des personnages et des relations qu’ils entretiennent entre eux.
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