Podcasts littéraires "Explorateurs avec Pierre Bayard, Miguel Bonnefoy et François-Henri Désérable"

Le temps des écrivains : 23 décembre 2017
durée : 01:01:29 - Le temps des écrivains - par : Christophe Ono-Dit-Biot - Les romanciers et explorateurs littéraires Pierre Bayard, Miguel Bonnefoy et François-Henri Désérable sont les invités de Christophe Ono dit Biot à l’occasion de la thématique de fin d’année de la chaine, " ;Les explorateurs" ;. - réalisé par : Anne-Laure Chanel
Sucre noir de Miguel Bonnefoy
Ce roman édité par Rivages est apprécié par la blogosphère.Les Lectures de Cannetille : Miguel Bonnefoy excelle à faire tenir dans ses formats courts des récits colorés, à la fois fables et sagas historiques, offrant plusieurs niveaux de lecture et l’accès à ce qui, au fil de son œuvre, construit peu à peu un univers particulier.
T Livres ? T Arts ? : Avec "Sucre noir", je me suis laissée porter par l’esprit aventurier de la prose, mais là, n’était que l’introduction d’un roman captivant.
Carobookine : Dans une prose musicale, passionnée et poétique, Miguel Bonnefoy réussit à nous entrainer dans une fiction chatoyante aux airs de conte philosophique. Personnellement, j’ai été conquise. Une vraie réussite !
Le petit poucet des mots : Un roman de pirates, de chasseurs de trésors et d’artisans-rhumier. N’en jetez plus, le mojito est servi. Parfait par ces temps polaires.
Les lectures du mouton : Un roman intelligent, porteur d’une belle morale dans un écrin magique. Nul doute que Miguel Bonnefoy se bonifie avec le temps…
Ca va mieux en l’écrivant : Roman, conte, fable, poésie. On trouve tout cela dans Sucre noir. Un livre bien construit et joliment écrit, qui n’a pourtant pas réussi à emporter mon enthousiasme et mon émotion.
A livre ouvert : Sucre Noir s’est révélé être un roman très surprenant et je pense qu’il plaira aux lecteurs qui ont envie de sortir des sentiers battus de la rentrée littéraire pour découvrir des romans vraiment différents.
Lire au lit : Un très beau texte à savourer lentement et à méditer longuement...
Zazymut : Ce roman est un conte quelque fois cruel, où les personnages peuvent être outrés, une métaphore sur le Venezuela qui a tout arrêté pour ne vivre que des mannes du pétrole et dont comme pour la ferme des Otero il ne reste que des cendres.
Les fanas de livres : Et rien ne se passe ... et je me suis retrouvée engluée ... plus d’une semaine pour le lire (ce qui n’est pas tout à fait mon rythme). Pas envie de le retrouver le soir, oublié ce que j’avais lu la veille ...
L’Express avec Lire : Tout y est déjà, l’exotisme et la fantaisie, le merveilleux et le folklore, les mirages et le réalisme, sans oublier quelques tonneaux de rhum pour irriguer les veines des hommes et des femmes.
Meelly lit : J’ai dévoré Sucre noir avec le même ravissement éprouvé lors de ma lecture de Le voyage d’Octavio. Avec ce second roman Miguel Bonnefoy, démontre même que, comme le bon rhum son style s’est bonifié.
Sur la route de Jostein : Tout l’univers de l’auteur ! Mais si cette chasse au trésor m’a amusée, je n’y ai pas trouvé la magie de son précédent roman,
Cannibales lecteurs : Voilà donc un deuxième roman dont les belles dispositions et le ton rare en littérature française promettent le meilleur à son auteur. On sera au rendez-vous du prochain Miguel Bonnefoy, sans hésiter.
Charybde 27 : Roman émouvant aux allures de conte philosophique, « Sucre noir » est aussi remarquable par la beauté classique de sa forme circulaire, reflet de la fragilité de la bonne fortune et du mirage de l’or, qu’il soit doré ou noir.
Garoupe : A coup de métaphores, d’images, de paraboles, de références, Miguel Bonnefoy, une fois de plus, explore plusieurs mailles narratives, un point à l’envers, un point à l’endroit, un point de croix, pour esquisser son motif.
L’or des livres : Son roman, d’une facture classique (récit au passé simple et à la troisième personne, et progression linéaire) est porté par une très belle langue, fluide, concrète et imagée, et parfois flamboyante.
Bricabook : Envoûtée serait le mot le plus proche pour définir mon émotion face à cette lecture.
Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable
Ce roman édité par Gallimard est apprécié par la blogosphère.Bibliblog : Je me suis régalée et ne saurais trop vous conseiller de foncer vers votre librairie préférée pour dénicher ce très bon roman !
Zazymut : Un livre léger mais pas que. J’aime sa façon d’écrire des biographies, de faire des rapprochements entre la mère de Romain Gary et sa propre mère. J’aime sa façon de parler de cet auteur aux multiples facettes.
Lettres exprès : La construction du texte et l’écriture sont pleines d’une grande liberté, tout en étant rigoureuses, car il ne faut pas perdre de vue qu’il s’agit d’une enquête visant à retrouver des traces de Mr Piekielny...
Tu vas t’abimer les yeux : « Un certain Mr Piekielny » de François-Henri Désérable est un livre drôle, vif, malin, extrêmement plaisant à lire. Un bel hommage à Romain Gary et à la littérature.
Mic Mélo : J’ai vraiment été ravie de retrouver ce jeune auteur que je trouve, outre qu’il est très sympathique, extrêmement talentueux.
Mots pour mots : Bien inspirée je fus ce soir-là de m’en aller écouter M. Désérable... je m’en serais voulu de rater un si bon moment de lecture. Et j’espère convaincre ceux qui hésiteraient encore.
Journal d’une lectrice : La plume de François-Henri Désérable est très élégante, délicatement ironique, bourrée d’autodérision, et l’auteur se garde de toute admiration béate envers Gary, sur lequel il porte un regard amicalement critique.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : ne chose est sûre, c’est que j’ai eu envie de le croire, que je l’ai cru, et seul compte le plaisir que j’ai eu à le suivre.
Lire au lit : La littérature vous a rendu immortel, Monsieur Piekielny. Votre vœu est exaucé et nous penserons souvent à vous, même les jours où nous ne passerons pas par le 16 de la rue Grande-Pohulanka…
Les lectures du mouton : C’est tellement bien mené qu’on se laisse porter… et puis, l’auteur finit par percer plus ou moins le mystère de la phrase de Piekielny.
Cahiers Attard : L’écriture est si parfaite, le style si fluide, avec tant de finesse dans les traits d’humour, tant de précision dans les descriptions des états d’âme que je suis pris au jeu.
Télérama : Coincé à Vilnius, l’auteur mêle avec brio ses vérités et ses mensonges à ceux de son maître en affabulations, le Romain Gary de La Promesse de l’aube.
Les livres de Joëlle : Contrairement à d’autres je n’ai pas été gênée par le fait que François-Henri Désérable parle régulièrement de lui, je n’ai à aucun moment trouvé qu’il faisait preuve de suffisance, toutes ses digressions personnelles ont un sens par rapport à Romain Gary, par rapport à la littérature.
La Croix : Parti à la recherche d’un inconnu rendu célèbre par Romain Gary, ce jeune écrivain signe un roman impressionnant, au ton grave et léger, l’un des favoris des prix littéraires de la rentrée.
Shangols : C’est de la non-littérature, et le truc ne serait pas paru chez Gallimard (Gallimard...!), on aurait bien compris qu’on était là face à un nouveau Marc Lévy, en moins drôle.
Un dernier livre avant la fin du monde : Tout dépend de ce que l’on veut croire et F-H Désérable nous laisse cette liberté.
Cathulu : De l’humour, une écriture enlevée, ne parviennent pourtant pas à faire "décoller" ce récit qui semble parfois un peu vain.
Le petit poucet des mots : D’abord assez dubitatif sur les 50 premières pages (en fait j’étais carrément furax …), je me suis laissé aspiré dans cette lecture à nulle autre pareille tant le mélange des styles, des genres, des thèmes, est un régal.
Le blog de mimi : Au cours du roman, on peut lire « Je commence toujours mes romans par cinquante pages ennuyeuses. Pour décourager les cons. » Mission réussie Mr Désérable…..une fois, mais pas deux !!
Entre les lignes : Un livre contrasté mais qui mérite d’être lu pour son originalité.
La règle du jeu : Entre enquête méticuleuse et rencontres imaginaires, le roman de François-Henri Désérable est aussi une confession littéraire.
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