Podcasts littéraires "Exil avec Shumona Sinha, Laura Alcoba et Maryam Madjidi"

Le temps des écrivains : 21 janvier 2017
durée : 00:59:00 - Le temps des écrivains - par : Christophe Ono-Dit-Biot - Shumona Sinha, Laura Alcoba et Maryam Madjidi sont ce jour les invitées de Christophe Ono dit Biot.- réalisé par : Anne-Laure Chanel
La danse de l’araignée de Laura Alcoba
Ce roman édité par Gallimard est apprécié par la blogosphère.Mic Mélo : Derrière la belle écriture de Laura Alcoba, les confidences de la jeune déracinée semblent directement sorties de sa tête de petite fille intelligente, avec un naturel et une fraîcheur enchanteresse qui donne le sourire au lèvre.
Livrogne : À travers une plume baignée de rosée et de fraîcheur mais aussi mouillée de mélancolie parfois, l’auteure nous émeut et nous livre un message profond, une histoire en camaïeu de gris clair et gris foncé…
La Croix : Laura Alcoba fait entendre une voix délicate, précise et douce, pour recomposer un passé tissé d’incertitudes et de découvertes.
Télérama : Laura Alcoba écrit en français, la langue de l’exil devenue pour elle la langue de la liberté — comment lire aujourd’hui son histoire sans songer à d’autres familles contraintes à la fuite, d’autres individus déracinés, d’autres exils ?
En attendant Nadeau : Ce roman pourrait s’intituler « Laura devient française », mais ce serait le réduire plus que célébrer cette nouvelle identité de la narratrice.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : C’est avec un réel plaisir que j’ai retrouvé le personnage de la petite Laura, dont j’avais suivi le parcours en Argentine, sous la dictature, puis l’arrivée en France avec l’apprentissage d’une langue nouvelle.
Marx et la poupée de Maryam Madjidi
Ce roman édité par Nouvel Attila est très apprécié par la blogosphère.Tête de lecture : Le mélange des genres et les identités plurielles sont les moteurs d’une écriture riche et dynamique, qui ne résout pas les contradictions mais les utilise.
Le blog de mimi : On y perçoit l’extrême sensibilité de l’auteur, mais également son humour, sa maturité, mais aussi sa fragilité dans ses deuils de petite fille.
Agathe The Book : Mais… Pourquoi n’avais-je pas lu ce roman avant ? Sublime texte au souffle immense que je vous recommande absolument.
Hannibal le lecteur : Pour le lecteur francophone, difficile de ne pas penser à Marjane Satrapi en lisant Marx et la poupée. Le sujet, le pays d’origine, l’exil forcé, le ton, entre nostalgie, humour et colère… La liste des points communs entre ces deux belles œuvres est longue
Cunéipage : J’ai adoré, conquise par la forme (des éclats qui s’enchaînent sans se suivre forcément) et le fond (l’exil et ses vicissitudes), en passant par la joie de l’enfance, séduite par le charme puissant.
Le site de Carmen Robertson : Dans un aller-retour constant entre le présent et le passé, nous suivons les traces de la jeune Iranienne, fille de parents communistes et activistes dans un pays écrasé sous les lois obscurantistes de l’ayatollah Khomeini et des Gardiens de la révolution.
Les fanas de livres : Une belle leçon sur l’exil et contre les préjugés de la double culture.
Mic Mélo : Un livre d’une finesse et d’une poésie qui laisse sans voix.
Les lectures d’Antigone : Un très beau moment de lecture, particulier, universel, et intime.
Le boudoir de Nath : J’ai été bouleversée par le destin de cette famille, par le lien entre l’enfant et ses parents, par cette grand-mère aux « mains ridées, aux veines saillantes », symbole de la libération et de la liberté d’Etre Soi.
L’Express avec Lire : Comme le raconte Maryam Madjidi dans Marx et la poupée, ses parents lui apprennent à donner ses poupées et à se défaire de tout instinct de propriété. Le choix de Mazarine Pingeot.
Zazymut : Un très bon premier livre à la fois tendre, triste, drôle, original d’une très belle plume, qui se lit d’une seule traite : un petit bonheur de lecture.
Les livres de Joëlle : Je n’avais jamais rien lu d’aussi profond sur l’exil, sur la nostalgie du pays, sur la difficulté à se construire dans une double culture...
L’Express avec Lire : Tour à tour grave, tendre et plein d’humour, il retrace la construction chaotique d’une identité, depuis l’exil à Paris en 1986, avec père et mère.
Garoupe : Un très beau livre donc sur l’exil, la fuite, l’enfance, le déracinement, la mémoire, l’oubli et le souvenir, sur la construction d’une personne à travers diverses épreuves...
Lire au lit : Un très beau texte, sensible et original, mêlant prose des souvenirs, contes et poésies, multiples formes d’expression pour dire l’arrachement, la violence du départ, la coupure de l’exil, la difficulté de renaître ailleurs...
La bibliothèque de Delphine-Olympe : C’est pour tomber sur ce genre de divine surprise que je lis des livres ! Pour éprouver ce délicieux frisson à la découverte de pages pleines de grâce.
Mots pour mots : C’est un livre précieux que nous offre Maryam Madjidi, encore magnifié par le très beau travail d’édition et de direction artistique du Nouvel Attila. Un livre magnifique, touchant, puissant et sensible.
Un dernier livre avant la fin du monde : Française en Iran, Iranienne en France, Maryam Madjidi tente de résoudre le paradoxe douloureux de l’exil et démêle les nœuds d’une identité construite, déconstruite...
Petit carré jaune : Cette fraicheur, cette jeunesse, cette gaieté, sa rédemption, sa force de vie, sa sincérité touchante et sensible, son humanité et sa chaleur. Il y a la beauté, la force des jours et de la vie devant soi.
Charybde 27 : Le premier roman autobiographique de Maryam Madjidi est poignant, tendre et poétique. Il est construit comme un chemin entre deux pays, entre la langue maternelle et la langue de l’exil...
Apatride de Shumona Sinha
Ce roman édité par L’Olivier est apprécié par la blogosphère.Aux Bouquins Garnis : "Apatride" est une lecture coup de poing - les dernières pages sont absolument mémorables- sa noirceur étant à peine adoucie par une écriture très belle, chatoyante et métaphorique.
Il y a au total 5 440 podcasts dans cette rubrique :