Podcasts littéraires ""La folle du logis" de Rosa Montero"

La prescription littéraire : 12 février 2017
"La folle du logis" de Rosa Montero
La chair de Rosa Montero
Ce roman édité par Métailié est apprécié par la blogosphère.Bricabook : Voici un roman doux amer sur la fuite du temps, le corps et la folie. Portrait mélancolique d’une femme toujours rattrapée par ces fantômes, mais mue par un côté solaire qui embarque son lecteur.
Le Devoir : Dans La chair, elle pousse l’audace jusqu’à se mettre elle-même en scène, comme écrivaine et journaliste, en face de son héroïne de papier.
Chez Clarabel : Quel beau roman ! J’avais à peine lu les premières pages que j’étais déjà complètement envoûtée par l’écriture de Rosa Montero, touchée par le personnage de Soledad et intriguée par sa relation avec Adam.
La bibliothèque de Noukette : Un roman espiègle, intime, charnel et cruel qui dévoile toutes ses subtilités au fur et à mesure des pages. Irrésistible… !
Livrogne : Autant cette histoire m’a beaucoup amusée, autant j’ai été déçue par le manque d’originalité de la thématique, sommes toutes assez banale…
L’Express avec Lire : Dans la lignée de ses romans précédents (notamment dans La Folle du logis, qui reparaît en poche), l’auteure brandit le pouvoir de la culture pour surpasser les douleurs intimes.
En attendant Nadeau : Rosa Montero, qui feint le désenchantement, le désabusement de l’âge, est une optimiste qui sait mettre au pas la folle du logis.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : Si le sujet n’est pas nouveau, Rosa Montero lui confère une dimension très charnelle et porte sur son personnage un regard à la fois lucide et tendre, non dénué d’un certain humour, qui a touché la lectrice que je suis.
En lisant en voyageant : L’auteur encore une fois nous livre un roman palpitant du début à la fin, sans graisse superflue et bien musclé, à l’instar du héros, Adam.
Nyctalopes : Les récits s’imbriquent avec une grande habileté, ils se répondent, se font écho et Rosa Montero, mine de rien, nous met face à nos plus grandes angoisses tout en louant la splendeur de la vie.
Zazymut : La chair est un roman sur l’amour charnel, la peur du vieillissement, de ne plus être au cœur de la vie, de la solitude, du travail, de la mort -Soledad est hypocondriaque- et, surtout, la peur du vide, du néant qui ramènent au passé.
Cinéphile m\’était conté ... : C’est un fait : le dernier livre de Rosa Montero n’est ni son meilleur, ni son plus ambitieux, surtout si on compare La chair à Instructions pour sauver le monde ou Des larmes sous la pluie.
Libération : Ce pourrait être sinistre, ça l’est par moments, mais c’est aussi très drôle. Une sorte de Bridget Jones qui ne parviendrait pas à s’imaginer sexagénaire.
Cunéipage : Excentrique, survoltée, vivante et très attachante, elle se heurte au besoin d’amour sous toutes ses formes, ce qui l’entraîne dans une aventure échevelée. Un roman ébouriffant.
Micmag : Un roman sur la peur de vieillir, la solitude, l’amour et l’art. Et si vous pensez que cette histoire peut être triste ou ennuyeuse c’est que vous n’avez jamais lu Rosa Montero.
Il y a au total 5 440 podcasts dans cette rubrique :