Podcasts littéraires ""Valet de pique" de Joyce Carol Oates"

Valet de pique de Joyce Carol Oates

Ce roman édité par Philippe Rey est apprécié par la blogosphère.

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Les lectures d’Antigone : Une lecture en demi-teinte pour toi, donc, mais qui t’a pour autant donné envie de continuer à lire l’auteure.

Lire au lit : L’écriture est fluide et très agréable. Un bon thriller psychologique qui parle d’écrivain, de littérature, de création, de double ne pouvait que me séduire !

Café Powell : Celui-ci est véritablement magistral. On en tourne les pages à toute vitesse, et, comme Andrew, on se fascine pour la personnalité étonnante et trouble de Mme Haider, pour sa bibliothèque bien garnie, pour ses écrits mystérieux...

Journal d’une lectrice : La petite mécanique de Oates est parfaitement réglée pour nous montrer, avec une bonne dose d’humour, comment le réel le plus banal peut glisser insensiblement par une accumulation de petits décalages improbables vers la folie la plus meurtrière.

Blablabla mia : Joyce Carol Oates livre un récit très sombre sur les apparences qui dominent ce monde, et se révèlent souvent trompeuses, sur le secret, le processus d’écriture, la ligne ténue entre le génie et la folie, les pulsions violentes quand les digues lâchent.

Les mots de la fin : Une écriture alerte et pénétrante, une atmosphère enténébrée, un personnage pernicieux dont Joyce Carol Oates prend plaisir à satiriser, un suspense entretenu. Un roman haletant.

La bibliothèque de Noukette : Oates se joue du lecteur, sème le trouble tout en manipulant de façon subtile les codes du roman noir. Terriblement efficace, Valet de pique est un roman finement psychologique qui titille et tient le lecteur en haleine de bout en bout.

Fragments de lecture : Au départ, le lecteur est incrédule, il lit la mise en place de l’intrigue. Puis, l’incrédulité disparaît et le lecteur est convaincu, tant la trame narrative est brillante : l’histoire s’emballe, Valet de pique se dévoile, et la folie empiète de plus en plus sur la raison.

Au bordel culturel : Un roman qui happe le lecteur dès les premières pages ; un roman qu’on ne peut lâcher avant de l’avoir terminé. Le malaise se fait présent d’un bout à l’autre du récit. Et quelle fin !

La règle du jeu : Joyce Carol Oates signe à nouveau un roman remarquable. Elle choisit ici la littérature de genre pour explorer plus avant la folie latente.

En lisant en voyageant : Pour le malaise créé, c’est gagné, pour le roman qui se lit d’un coup sans le lâcher, c’est gagné aussi, je l’avoue honnêtement ! Mais les trucs non expliqués me laissent dubitative...