Podcasts littéraires "Il n’y a que Gaël Faye qui nous aille !"

Boomerang : 29 mars 2017
durée : 00:28:25 - Boomerang - par : Augustin TRAPENARD - Son premier roman Petit Pays, paru à la rentrée dernière, est un franc succès. Mais avant d’être écrivain, il est d’abord musicien. Gaël Faye est l’invité d’Augustin Trapenard. - invités : Gaël FAYE - Gaël FAYE (Interprète) - réalisé par : Lola COSTANTINI
Petit pays de Gaël Faye
Ce roman édité par Grasset est très apprécié par la blogosphère.Errances immobiles : Mais quelle évidence ! Que ce roman ait eu un prix attribué par des lycéens est d’une logique à toute épreuve.
PatiVore : Il m’a finalement arrachée des larmes car Petit pays est un premier roman impressionnant de maturité – plus ou moins autobiographique – qui mérite vraiment tout le bien que les lecteurs en ont dit et les prix qu’il a reçus !
Sylire : Toute l’absurdité des guerre ethniques nous apparaît au travers des yeux de cet enfant.
hop ! sous la couette : Petit pays est certes un beau et bon roman, sans failles ni faiblesses. Seulement, je ne lui ai pas trouvé toutes les qualités qu’on lui prête.
Zazymut : Petit pays est écrit à hauteur d’enfant, à la fois mutin et dur avec des mots simples, sans affectation aucune. C’est d’ailleurs ce qui lui donne tant de puissance. Un coup de cœur pour un premier roman fort et puissant.
Tu vas t’abimer les yeux : J’ai été bluffée par le talent d’écriture de Gaël Faye. Malgré la difficulté de certains passages, le récit ne sombre jamais ni dans le pathos ni dans un excès de poésie.
Les fanas de livres : C’est amusant, je retrouve un peu dans l’écriture de Gaël Faye celle de Mathias Malzieu. Deux musiciens-chanteurs-interprètes qui nous livrent dans leurs livres tout un pan de leur histoire avec une poésie et une douceur spéciale.
Ca va mieux en l’écrivant : J’étais bien décidé à le lire en me tenant à distance, afin de me protéger de pages dont je prévoyais qu’elles pourraient être insoutenables. Et je me suis fait avoir !
Shangols : Sur le sujet, lisez Jean Hatzfeld : c’est dix fois plus intelligent, dix fois mieux écrit.
Bricabook : Petit Pays n’est pas un roman sur la guerre au Rwanda et au Burundi, c’est un roman madeleine de Proust qui dessine avec une justesse magnifique et puissante les frontières du pays de notre enfance.
Wodka : Ce roman dépasse la classique autobiographie pour s’élever à l’universel, à tous les jeunes stigmatisés par la violence des contextes historico-politiques.
Lire au lit : Un texte sublime fait de soleils puissants et de tempêtes destructrices, de bonheurs sans limites et de douleurs mortelles, à l’image de la vie d’un petit garçon dont « l’existence avait bien commencé » et qui ne voulait pas la guerre...
Mic Mélo : Bravo Gaël Faye, qui réussit magistralement son premier essai, qui brille autant dans la légèreté que dans le drame, avec un style littéraire personnel fluide et travaillé, sensible et drôle.
Les chroniques de Koryfée : Avec une sensibilité à fleur de plume, l’auteur nous fait osciller entre sourire et larmes, comédie et tragédie. Un concentré d’émotions dans un écrin de talent.
A livre ouvert : Gaël Faye n’a pas peut-être pas cherché à faire oeuvre de militantisme avec ce livre, et pourtant on ne peut pas s’empêcher de se sentir profondément concerné par ce qu’il écrit.
Les lectures d’Antigone : Gaël Faye explore dans ce premier roman un monde disparu, fait de moments simples, avant que l’Histoire ramène chacun à son identité ethnique, détruise et sépare.
Coin lecture de Nath : Ce sujet difficile est raconté d’une façon magnifique avec une poésie, une écriture nécessaire, indispensable qui m’a envoûtée. J’ai dévoré ce récit. Une très très belle découverte, docu, autobio-fiction.
Libération : C’est cette mécanique implacable du « eux contre nous » que raconte le roman, lequel réserve une surprise, lourde de sens, assénée à la dernière phrase.
Les lectures du mouton : Un beau roman, brillant, humain, non dénué d’humour malgré le sujet qui mérite l’emballement médiatique et les prix et nominations qui pleuvent à l’image du Prix du roman Fnac.
Télérama : Jeune compositeur et interprète de rap, Gaël Faye s’impose ainsi d’emblée, magnifiquement, avec ce premier roman, largement autobiographique...
Tamaculture : Petit pays, grand livre sur l’enfance qui s’envole trop vite, ne laissant derrière elle que le goût d’une tragique nostalgie.
A l’ombre du noyer : Beau, fort, dur, émouvant… ce roman d’apprentissage est assurément une des belles et grandes surprises de cette rentrée.
Lecturissime : Dans un texte puissant, à la poésie évocatrice, Gaël Faye nous raconte un peu de son histoire, un épisode de l’Histoire de son pays.
L’Express avec Lire : Rien n’échappe à Gaël Faye, qui dépeint tout en finesse le racisme ambiant au Burundi, les bruits de la capitale...
Cinéphile m\’était conté ... : On a peut-être lu ailleurs ce type de récit d’une enfance maltraitée par la guerre mais l’écriture tendre, chatoyante et veloutée de Gaël Faye séduit immédiatement, aussi colorée dans la comédie que tendue et terrible dans la tragédie.
Sur mes brizées : La plume de Gaël Faye excelle à nous plonger dans l’Afrique qu’il a connue et emportée avec lui. Un premier roman vibrant qui atteint son lecteur comme jamais.
Les battements de mon coeur : Un très beau livre, porté par une langue qui sait se faire joyeuse, poétique ou tragique. Un hymne à l’innocence perdue, aux "petits pays" que la violence des hommes tue.
La règle du jeu : Un premier roman à la langue juste, sans effet appuyé, presque en retenue en regard de ce qu’il raconte.
Les livres de Joëlle : Ce roman d’inspiration autobiographique porte sur l’identité, l’exil et la perte de l’innocence. Il est très bien écrit, empreint de nostalgie pour l’enfance, plein de poésie et de pudeur.
Appuyez sur la touche lecture : "Petit pays" s’ouvre et se referme sur deux chapitres en italique, dans lesquels Gabriel raconte sa situation actuelle, son exil et sa douleur.
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