Podcasts littéraires "Leïla Slimani tient salon"

Boomerang : 23 mars 2017
durée : 00:29:54 - Boomerang - par : Augustin TRAPENARD - Prix Goncourt 2016 pour " ;Chanson douce" ;, elle sera présente au Salon Livre Paris qui met à l’honneur le Royaume du Maroc. Leïla Slimani est l’invitée d’Augustin Trapenard.
Chanson douce de Leïla Slimani
Ce roman édité par Gallimard est apprécié par la blogosphère.La lectrice hérétique : Chanson douce se dévore, avec intérêt, curiosité. La grande justesse psychologique des personnages et les questions relationnelles feront écho à n’importe quel lecteur.
Blablabla mia : Mon incapacité à apprécier la lecture de Chanson Douce à sa juste valeur réside essentiellement dans le fait que certains de ces thèmes me hantent et me braquent irrévocablement.
Lire au lit : Un roman magistral très maîtrisé, une tragédie des temps modernes qui mérite largement le prix qui lui a été attribué.
Tu vas t’abimer les yeux : J’ai trouvé que l’auteure savait vraiment créer des ambiances, que ce soit celle du domicile de Louise ou celle du foyer de Paul et Myriam.
Laurie Lit : Globalement je n’ai pas eu une grande émotion, un manque de surprise et des derniers chapitres qui m’ont déçue. Je suis malheureusement passée à côté de cette lecture, agréable, bien écrite pourtant.
Au bordel culturel : Un roman qui captive et qui ne peut laisser le lecteur indifférent. La tension est palpable. On ignore quand tout va basculer, mais on sait que cela va arriver car on connaît la fin, fatale.
Meelly lit : J’aurais réellement aimé me laisser totalement convaincre.
Ca va mieux en l’écrivant : La période des fêtes et des cadeaux approche. Offrir le prix Goncourt est une pratique courante. Peut-on offrir celui-ci à n’importe qui ?
hop ! sous la couette : Chanson douce n’est pas un roman gai, c’est le moins que l’on puisse dire. Une lecture éprouvante, certes, mais qui m’apparaît nécessaire pour toutes les réflexions qu’elle soulève.
Coin lecture de Nath : La tension est permanente et ce récit nous laisse un sentiment dérangeant, une culpabilité dans nos rapports avec nos enfants. Un roman fort qui secoue et ne laisse pas indifférent.
La bibliothèque de Noukette : Chanson douce est un roman brut très ancré dans son temps. Peut-être trop, à vous de voir… Il me laisse aujourd’hui une sensation difficilement explicable de malaise accentuée par cette fin que j’ai trouvé bien trop expéditive…
Sylire : Un roman dérangeant, sans nul doute, mais pas pour les raisons que j’imaginais avant de l’ouvrir.
Shangols : Un futur succès de librairie et un livre qu’on oubliera surement très vite. Mais tant mieux pour elle, pour cette jeune écrivaine, c’est pas non plus tous les jours que l’Académie des Vieux ose…
Le blog de mimi : Avec une plume affutée, de courts chapitres et une construction habile, Leïla Slimani parvient immédiatement à ferrer son lecteur.
Cinéphile m\’était conté ... : C’est ce que l’on peut appeler un tour de force romanesque qui rend addict et victime de ce livre terrible et implacable.
En lisant en voyageant : Un roman intéressant qui pourrait servir de base à des débats, c’est sûr. L’auteur ouvre pas mal de chemins possibles, exposant les faits sans tirer vers le pathos.
Lecturissime : Force est de constater qu’avec un roman basé sur un fait divers, l’auteur peut se faire le peintre d’une époque. A partir de lui, Leïla a su créer un roman prenant, envoûtant.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : Je dirais simplement que j’étais au départ absolument réfractaire à sa lecture, tant l’idée d’une nounou qui assassine les enfants dont elle a la garde me révulsait.
Trois ou quatre livres : L’écriture est fluide. Tout coule de source, comme si la fin était inéluctable. L’auteur réussit à montrer à quel point les rapports entre parents et nounou sont complexes : entre relation économique et relation familiale.
Les chroniques de Koryfée : C’est un thriller glaçant d’une efficacité redoutable que nous offre Leila Slimani. Impossible de reposer le roman une fois la lecture commencée.
La république des livres : Tout l’art de Leïla Slimani, et il est prometteur, s’emploie à susciter de la compassion pour un personnage monstrueux.
Clara et les mots : Avec beaucoup de psychologie, de finesse et et nuance mais toujours en gardant une distance, Leïla Slimani explore la relation entre Louise et le couple...
L’Obs : « Chanson douce » est un remake ultra-contemporain des « Bonnes » de Genet. Comme son modèle, il appuie exactement là où ça fait mal.
L’Express avec Lire : Dans cette tragédie à rebours, on avance en alerte, avides de déceler dans cet équilibre louche, bizarrement vénéneux, les signes annonciateurs de la catastrophe.
Cunéipage : Elle saisit l’attention du lecteur dès les premières pages et ne l’autorise à la relâcher qu’après son point final, le bousculant par l’impression de proximité de ce qu’elle décrit.
Journal d’une lectrice : Ce roman fait le procès d’une classe sociale, celle de ces trentenaires branchés supposés avoir le cœur à gauche et le portefeuille à droite, qui rêvent de réussite sociale sans vraiment l’assumer...
Mic Mélo : C’est envoûtant, comme une Chanson douce, et ça dérange, bien trop prêt d’une réalité quotidienne pour laisser de marbre et ne pas faire frissonner.
Télérama : Elle nous tient en haleine, maîtrisant cette Chanson douce qui glisse inéluctablement de la comptine pour bien dormir à l’âpre description de scène de crime.
Les lectures du mouton : Nous avons affaire à un très grand écrivain qui compte déjà et comptera encore plus dans les années à venir.
La lectrice à l’oeuvre : Chanson douce, jouant maladroitement avec les codes attendus de l’horreur et de la psychologie de comptoir, apparaît comme un roman évitable.
Histoire du soir : Chanson douce est un roman d’une incroyable profondeur psychologique. Une ritournelle particulièrement cruelle et sordide, que l’on garde à coup sûr en mémoire...
Les livres de Joëlle : Ce roman secoue énormément, il prend aux tripes. J’ai trouvé ce roman très fort, bien construit, bien rythmé, tout en détails, impossible à lâcher comme un thriller social.
L’Express avec Lire : Sa façon de distiller les bémols, d’alerter sur telle ou telle incongruité relève d’une belle maîtrise, d’autant qu’elle est portée par un style épuré et faussement détaché des plus efficaces.
Libération : D’où vient notre plaisir de lecture, alors que deux jeunes enfants vont mourir sous des coups de couteau ? De la vélocité de la plume de l’écrivain, qui saisit des situations et des personnages de l’époque....
Soupe de l’espace : Que ne ferions-nous pas pour garder de « son ptit confort » ? Et à quel prix ? Voilà la question que nous devrions TOUS nous poser. Chanson douce c’est certes une histoire de nounou, mais essentiellement celle des liens à l’Autre…
Il y a au total 5 440 podcasts dans cette rubrique :