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Podcasts littéraires "L’homme de lettres"

Le temps des écrivains : 6 mai 2017

durée : 00:58:53 - Le temps des écrivains - par : Christophe Ono-Dit-Biot - Arturo Perez Reverte et Maurice Olender sont les invités de Christophe Ono dit Biot.- réalisé par : Anne-Laure Chanel


L’ordre du jour de Eric Vuillard

Ce roman historique édité par Actes sud est apprécié par la blogosphère.

Zazymut : Eric Vuillard fait là une démonstration historiquement implacable sur un ton ironique, grinçant ; une autre vue de la montée d’Hitler. Limpide, cinglant, ironique.

Le site de Carmen Robertson : Un coup de poing ciblé dont les ondes de choc se répercutent dans le présent, nous rappelant que des choses parfois hideuses se passent derrière la façade respectable des grandes entreprises qui gouvernent davantage le monde que les élus.

Le goût des livres : J’avais entendu parler ça et là d’un style trop sec, je n’ai rien ressenti de tel, le ton m’a paru adapté à l’histoire et très vivace. La narration coule, maintient un intérêt constant, je suis toute prête à relire l’auteur.

Lire au lit : J’ai lu L’ordre du jour comme une espèce de prologue en trois actes d’une des pires tragédies de tous les temps : le nazisme et ses terribles conséquences.

Lecturissime : Alors oui, le style marque les esprits, mais mon âme romanesque s’est sentie délaissée... Pour rappel , j’avais déjà été déçue par 14 juillet pour les mêmes raisons...

Les fanas de livres : Est-ce à cause du style de l’écriture avec de nombreuses énumérations et digressions ? Est-ce le côté "donneur de leçon" que je n’ai pas apprécié ?

Mic Mélo : Il ne faut pas lire L’ordre du jour pour l’émotion, la psychologie des personnages ou leurs rapports humains, mais pour l’intérêt du sujet, la qualité du style, et cette plume qui raconte avec une fougue toute personnelle des tranches de vies humaines.

Ca va mieux en l’écrivant : Tout cela, on le sait. Alors quel est le sens de ce livre si bizarrement (dé)structuré et comptant à peine cent soixante pages ? La presse se pâme en vagues dithyrambes : « Un texte de longue portée en dépit de sa brièveté ! ».

Les livres de Joëlle : Une démonstration qui fait froid dans le dos. Ce récit passionnant et instructif est porté par un style brillant, il n’a qu’un seul défaut : il est trop court !

Mots pour mots : Bon allez, j’ose le dire : Eric Vuillard est un écrivain génial ! J’avais vibré à la lecture de 14 juillet, j’ai été saisie par sa démonstration glaciale et implacable de L’ordre du jour.

Télérama : La démonstration d’Eric Vuillard est limpide, cinglante, implacable.

La république des livres : Eric Vuillard creuse un sillon, un seul. Il tisse une même toile depuis son premier livre. Pourvu qu’il continue.

Sur la route de Jostein : Eric Vuillard s’amuse et nous amuse en fouinant dans les petits travers de l’Histoire.

L’Express avec Lire : Un récit bref et saisissant dans la lignée des précédents travaux de l’auteur, aimant décrire les coulisses de l’Histoire.

Shangols : Le livre est très (trop ?) court, et sait mettre le doigt exactement là où ça fait mal, là où le petit détail va faire sens...

La bibliothèque de Delphine-Olympe : Plus encore que les récits des manuels d’Histoire, celui de Vuillard est terrifiant. Car il n’explique rien, il montre - avec quel talent !

Charybde 27 : Éric Vuillard manie une langue désormais familière, dans laquelle le sens du détail et de la juxtaposition acérée secrète une ironie glaciale et permanente, vertigineuse lecture de ces moments qui créent du sens invisible...


Deux hommes de bien de Arturo Pérez-Reverte

Ce roman historique édité par Seuil est peu apprécié par la blogosphère.

Les fanas de livres : Un roman très bien mené. Une belle qualité d’écriture.

Le Temps : Certes, comme tout roman historique, Deux hommes de bien laisse parfois un arrière-goût un peu artificiel. Il est aussi par moments un peu bavard, comme si l’auteur se laissait lui-même piéger par l’euphorie de ses propres découvertes.

Ca va mieux en l’écrivant : Un récit complexe, donc. Pas étonnant qu’un minimum de patience et de persévérance soient nécessaires au lecteur pour en prendre la mesure.

Polar noir et blanc : Le style d’Arturo Perez-Reverte est toujours aussi efficace. L’histoire prime, mais l’écriture rend la lecture agréable.

La Croix : Ce gros roman bourré de digressions un peu lassantes se laisse lire comme un bon feuilleton de cape et d’épée à dimension philosophique.

Tête de lecture : C’est avec le talent de romancier historique dont il fait souvent preuve qu’Arturo Pérez-Reverte fait revivre l’aventure de l’Encyclopédie en Espagne.

Cinéphile m\’était conté ... : Un hommage vibrant à la culture française, à l’esprit des Lumières et plus largement à tous ceux, dans le passé, illustres ou inconnus, qui ont combattu l’obscurantisme et les censures de tous poils au profit de la liberté de penser et de la tolérance.

La république des livres : Deux hommes de bien s’inscrit dans la lignée de plusieurs de ses précédents livres au succès mondial, non pas tant Le Tableau du maître flamand, le Maitre d’escrime... mais plutôt La Reine du sud

Micmag : Deux hommes de bien est un ouvrage captivant et enthousiasmant. Un ouvrage pour les passionnés d’Histoire mais aussi les amoureux de littérature et... les simples curieux.

La bibliothèque de Delphine-Olympe : J’avoue qu’en dépit de mon ardent désir de retrouver Perez-Reverte, j’ai eu toutes les peines du monde à m’attacher à ses deux académiciens.







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