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Le masque et la plume : 21 mai 2017

« Fendre l’armure », Gavalda/« Quand sort la recluse », Vargas/« Tout un été sans Facebook », Puértolas/« Dans ce jardin qu’on aimait », Quignard/« La mémoire n’en fait qu’à sa tête », Pivot


Tout un été sans Facebook de Romain Puértolas

Ce roman policier édité par Le dilettante est apprécié par la blogosphère.

Tête de lecture : Avec tout ça, je n’ai pas ri. Juste un peu souri quand un personnages explique à quel point il est difficile d’être raciste aujourd’hui et au cours de l’épisode (trop bref) de la chasse aux écureuils radioactifs. Ça fait peu sur près de 400 pages (« jubilatoires », « hilarantes » lit-on partout…).

Sous les pavés ... la page : Parce qu’un Puertolas, ce n’est jamais pareil et qu’on a la sensation que son imagination n’a aucune limite puisque cette fois-ci, il s’essaie au polar et qu’il franchit la ligne d’arrivée avec talent et honneur sous les vivas de la foule en délire.

L’Obs : L’auteur de “l’Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea” s’essaie à un nouveau genre, le polar. Poilant.

La Croix : Romain Puértolas met à profit sa verve et sa loufoquerie pour revisiter l’univers du polar américain dans une bourgade du Colorado privée de connexion.

EmOtionS : Cette nouvelle extravagance est une réussite totale, un polar comme celui-ci vous n’en avez jamais lu. Un livre certifié à 99,99 % sans internet, mais avec plein de calories qui font du bien au moral. Juste irrésistible !


Quand sort la recluse de Fred Vargas

Ce roman policier édité par Flammarion est très apprécié par la blogosphère.

The far side of the blog : Encore une fois, je me laisse aller à chipoter – mais c’est toujours ainsi, quand on place la barre assez haut avec son auteur favori – alors qu’évidemment, j’ai pris un plaisir fou à cette lecture (roman dévoré en deux jours).

Lecturissime : Comme toujours chez Fred Vargas, les personnages sont bien campés et le plaisir des mots se fait sentir avec des dialogues enlevés et spirituels. Un vrai plaisir !

L’Obs : Fred Vargas a en tout cas saisi l’intérêt de jouer sur nos phobies, et les unes de journaux aujourd’hui ne disent pas le contraire.

A l’ombre du polar : Le sport cérébral proposé est un peu chiant, pardon, et la résolution de l’histoire sur trente dernière pages laborieuses témoigne du besogneux du casse-tête.

Trois ou quatre livres : Quand sort la recluse est un polar d’ambiance, où les mots prennent tout leur sens et toute leur importance.

Le Devoir : Une histoire de vengeance meurtrière. On pourrait résumer ainsi le nouveau roman déjà best-seller de celle qu’on se plaît à appeler « la reine du polar français », traduite dans une quarantaine de langues. Mais ce serait réducteur. Et pour cause.

Tu vas t’abimer les yeux : J’ai retrouvé dans « Quand sort la recluse » les qualités qui m’ont fait aimer les livres de Fred Vargas et qui m’ont fidélisée en tant que lectrice

Mon roman ? Noir et bien serré ! : Bien que Fred Vargas s’en défende, il y a désormais, derrière la série Adamsberg, une histoire de gros sous qui s’assortit inévitablement avec un manque de créativité et d’originalité.

Lire au lit : Il n’y a pas que la chaleur qui m’accable ! Non, il y a que je viens de terminer le dernier Vargas et ça, ça veut dire qu’il va falloir que j’attende au mieux un an pour « revoir » Adamsberg, évidemment, et les autres.

Nyctalopes : Elle réussit à nous tenir en haleine jusqu’au bout et nous offre un roman fort qui nous confronte au Mal et résonne longtemps après avoir refermé le livre

Sous les pavés ... la page : Toujours j’ai attendu ses romans avec frénésie et empressement pour me retrouver accablée de devoir attendre encore le suivant. Mais l’envoûtement est là, le charme opère. Toujours.

La bibliothèque de Delphine-Olympe : Une toile savamment tissée, qui m’a une fois de plus prise dans ses rets...

Sur mes brizées : Avec Vargas, on lit des polars (j’en lis peu) mais surtout des romans qui ont leur musique bien à eux et l’entendre à nouveau est un vrai bonheur.

Journal d’une lectrice : Il y a toujours chez Vargas ce formidable mélange de passé et de présent, de rationalité et de poésie, de biologie et d’archéologie.

Cinéphile m\’était conté ... : En d’autres mains, Quand sort la recluse aurait été un salmigondis illisible. Dans celles de Fred Vargas, on ne retient que l’indicible grâce de l’alchimiste.

Bruno Ménétrier : C’est bien là la substantifique moelle des romans de Dame Vargas, une fois qu’on a été piqué, on y revient, accro.

Cathulu : On imagine très bien ce qu’un romancier "classique" aurait fait de cette histoire de vengeance par delà le temps, lui ôtant tout charme et toute poésie. Laissez-vous piéger par Fred Vargas , c’est un pur bonheur !

Journal du dimanche : A partir de là, l’imagination diabolique de Fred Vargas et les surprises d’Adamsberg vont croître et prospérer, le lecteur étant lui-même mordu jusqu’à l’os par un roman policier arachnéen...

La Croix : Ce polar charrie beaucoup de terre, sonde et tamise là où personne ne veut retourner voir, jusqu’à des siècles en arrière.

Télérama : Chez Vargas, attention, ce sont les mots, les idées et les images qui y sont associées qui mènent la danse, font avancer l’enquête et le ­récit, au fur et à mesure qu’on les décortique, au fil d’une logique ondoyante dont Adamsberg est familier.


Fendre l’armure. de Anna Gavalda

Ce recueil de nouvelles édité par Le dilettante est apprécié par la blogosphère.

From the avenue : Des nouvelles émouvantes et fragiles tout comme les personnages dont l’armure ne demande qu’à se fendre pour mieux se défendre et vivre.

Bricabook : Un vrai régal de lecture, Gavalda revient à la nouvelle, et c’est une réussite ! Les émotions sont fortes, alors on se fout de savoir pourquoi sept histoires au lieu d’une seule, on savoure le recueil et on ne boude pas son plaisir !

La Croix : Dans son nouveau recueil de nouvelles, l’auteur de « La Consolante » est la messagère de personnages désemparés qui remontent la pente en quelques heures.|

Publik art : Anna Gavalda est toujours aussi sensible et son côté humain rejaillit avec puissance à travers ces nouvelles. Ce côté à la fois très simple mais aussi très intimiste de l’écriture de Gavalda nous emballe !

Cathulu : Sa tendresse, son attention à d’infimes détails, sa malice dans la chute de la dernière nouvelle, sous forme de clin d’œil au lecteur, et surtout l’émotion qu’elle fait naître chez lui, fait qu’à son tour celui-ci ne peut que Fendre l’armure .

Cunéipage : J’ai été extrêmement touchée par l’ensemble de ces textes qui ont le don de mobiliser l’empathie comme rarement. Il y a, me semble-t-il, une volonté de simplicité qui vient farfouiller dans nos défenses et on se retrouve désarmé.


Dans ce jardin qu’on aimait de Pascal Quignard

Ce roman édité par Grasset est apprécié par la blogosphère.

Lecturissime : Le portrait triste et touchant d’une homme hanté par la mort de sa bien-aimée.

L’Obs : Livre sur la musique d’avant la musique et sur l’éternité de l’amour, « Dans ce jardin qu’on aimait » devrait être bientôt, du moins on l’espère, une de ces performances des ténèbres...

La république des livres : Ni roman ni essai ni biographie mais suite de séquences, moments, instants entre eux tressés à l’oreille par le plus musicien des écrivains dans un rythme de nô japonais et dans l’intime et ancienne fascination pour Olivier Messiaen...

Télérama : Un chant grave et épuré, un hymne à l’amour éternel.







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