Podcasts littéraires ""L’Homme qui s’envola" d’Antoine Bello"

Amuse-Bouche : 3 juin 2017
durée : 00:37:02 - L’amuse-bouche - par : Clara Dupont-Monod - Il faut se méfier des gens heureux… Walker a tout pour l’être et pourtant il décide de disparaître. Antoine Bello propose le récit de cette mort simulée dans L’Homme qui s’envola. - invités : Antoine BELLO - Antoine BELLO - réalisé par : Marie-Annick RAIMBAULT
L’homme qui s’envola de Antoine Bello
Ce roman édité par Gallimard est apprécié par la blogosphère.Tu vas t’abimer les yeux : C’est un roman distrayant, qui mélange des ingrédients bien choisis et bien dosés pour que l’on passe un bon moment : burn-out, machination, suspense, duel, trio amoureux…
Shangols : Quand aucun livre ne trouve grâce à vos yeux, quand vous traversez une période de sécheresse lecturative (je viens de me taper la rentrée littéraire Actes Sud, une des pires de ce siècle), un bon conseil : saisissez L’Homme qui s’envola.
En lisant en voyageant : J’ai englouti ce roman à vitesse record, terminant à plus de 23 heures (ceux qui me connaissent savent que c’est un super critère de page turner !).
Livrogne : Agréable, distrayant mais fugace…
Lire au lit : Allez, je ne vous en dis pas plus sinon que c’est génial, que vous allez adorer et attendre comme moi le prochain Bello avec impatience !
La lectrice à l’oeuvre : Le personnage de Walker est le type-même du salaud magnifique. [...] Solaire à sa façon, alors qu’il doit rester dans l’ombre. Un personnage solidement bâti, qui aurait mérité que l’on fasse l’économie d’un épilogue à l’eau de rose.
Sur mes brizées : L’homme qui s’envola » se lit avec plaisir.
Garoupe : Antoine Bello poursuit donc la construction de son « œuvre », méthodiquement, chaque livre ayant sa propre place dans cet univers multi-facettes et multi-fascinant, chaque livre renouvelant les capacités narratives et/ou inventives de l’auteur.
Mots pour mots : Je m’aperçois qu’Antoine Bello est entré dans la famille des auteurs dont je me précipite sur la dernière livraison sans même me soucier du sujet abordé. De toute façon, on ne s’ennuie jamais avec lui.
Charybde 27 : Fort riche en clins d’œil appréciables (le roulé-boulé homérique du Westley de « Princess Bride » n’en est pas le moindre) et en ruses traversières, « L’homme qui s’envola » est sans doute moins joueur et moins subtil que « Roman américain » ou « Ada ».
Journal d’une lectrice : qui nous entraîne aux quatre coins des États Unis dans une poursuite où se mêlent l’émotion et l’humour, le suspense et l’angoisse.
Cunéipage : Duel psychologique de haute volée, il contient tous les éléments capables de passionner son lecteur et on ne le lâche pas.
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