Podcasts littéraires "C'est à lire du 18 juin 2017"

C’est à lire : 18 juin 2017
Pssica de Edyr Augusto
Ce roman policier édité par Asphalte est très apprécié par la blogosphère.Un dernier livre avant la fin du monde : Dans ce roman d’une noirceur impressionnante, somme toute peu plaisant mais extrêmement marquant, Edyr Augusto parvient remarquablement à faire ressentir, dans toute sa brutalité et son injustice, le poids d’un déterminisme implacable sur les êtres.
Mon roman ? Noir et bien serré ! : A l’image d’une fièvre malsaine, qui brouille l’esprit, Pssica ensorcellera le lecteur pour l’emmener dans cet univers de violence qui agit comme une véritable catharsis afin d’offrir une possibilité de rédemption qui se révélera bien aléatoire.
Bob polar express : Parce que Pssica est souvent insoutenable, parce qu’il sort de la norme, parce que son auteur témoigne, il faut le lire.
Le blog de mimi : Ce livre est court, mais âpre, rugueux et terriblement violent. La prose de l’auteur, aux dialogues qui se suivent et sont inclus dans le texte ne laisse aucun répit, aucune illusion. Les mots tranchent, font mal, donnent la nausée.
Black novel 1 : Avec ce roman, Edyr Augusto va encore plus loin dans la dénonciation et la dérive de son pays. Il ne met pas de gants, et ne nous épargne rien. C’est un roman fort, un roman coup de poing...
Actu du noir : Attention, c’est violent, sans concession et les rudes aspérités du roman ne sont adoucies par rien. Pas de personnage auquel se raccrocher, ou si peu, pas de scènes de repos. C’est court, sec et ça secoue.
Nyctalopes : Edyr Augusto, n’est pas le premier à écrire des romans chocs qui vous cognent, vous agressent mais il a un talent que l’on ne trouve pas chez beaucoup d’auteurs.
Quatre sans quatre : Pssica est un coup de vent furieux, des bourrasques qui balaient le calme du lecteur, dialogues et descriptions, éléments de récit et faits, tout est cul par-dessus tête...
The killer inside me : Une fois de plus, Augusto donne des cauchemars mais lui n’a pas besoin de serial killer, de menaces terroristes, de bombes, il prend juste des hommes.
Charybde 27 : Le spectacle est rude, sans concessions, mais ne verse à aucun moment dans le voyeurisme...
Encore du noir : Une fois encore Edyr Augusto impressionne par la brutalité de son écriture et la rage qui émane de ses histoires. Féroce et engagé, Pssica vous laisse groggy.
Il y a au total 5 440 podcasts dans cette rubrique :