Podcasts littéraires "Del Amo, Ani-mots"

Règne animal de Jean-Baptiste Del Amo

Les chroniques de Petite Balabolka : Il a les mots et ce talent inouï pour tout faire ressentir, tout évoquer, le sordide, l’abject, la folie des hommes mais aussi leurs poésies secrètes, leurs sentiments indicibles et leurs forces profondes.

Lire au lit : Seule l’écriture d’un véritable écrivain pouvait traduire par des mots un tel entrelacs de sentiments et d’émotions. La prose de Jean-Baptiste Del Amo a atteint son but de façon magistrale !

Mic Mélo : C’est autre chose, c’est au-delà, c’est original, c’est osé, c’est bien écrit, c’est intéressant aussi, et puis, même au risque de ne pas aimer, quoiqu’il en soit, il faut vraiment découvrir la plume de Jean-Baptiste Del Amo.

Mots pour mots : Une écriture charnelle, belle, forte, qui fait jaillir les images (terriblement crues), un style magnifique. Ce livre ne ressemble à aucun autre, vraiment, il faut le lire.

Libération : Nous ne sommes pas dans un feuilleton diffusé sur TF1, genre le Vent des moissons, mais dans un grand roman apocalyptique où l’échange entre les bêtes et les gens se trouve dévoyé.

Clara et les mots : L’écriture de Jean-Baptiste Del Amo que je découvre est indéniablement très forte mais toutes ces descriptions donnent trop de haut-le-coeur (était-ce bien nécessaire ?).

Shangols : C’est un coup au ventre, et c’est le coeur au bord des lèvres qu’on termine ce roman âpre et éprouvant. L’alliance du style et du dégoût...

L’Obs : C’est tout de même très démonstratif, pour ne pas démontrer grand-chose de bien nouveau sur la question.

Télérama : Jean-­Baptiste Del Amo, inspiré et engagé, explore avec une singulière puissance la violence faite aux animaux, s’interroge sur la transmission de cette brutalité d’une génération à l’autre, et pose in fine la question de notre humanité.

Une pause littéraire : Alors que le sujet aurait pu rebuter certains lecteurs, il faut avouer que dès les premières phrases, les mots accrochent, hypnotisent...

Adepte du livre : Synthèse magistrale du classicisme et de la modernité de la littérature, Règne animal est résolument une pièce majeure des lettres françaises qui mérite à ce double titre de s’inscrire dans les mémoires.

En lisant en voyageant : C’est donc noir, très noir, très écœurant ; l’auteur a chargé la mule pour tous ses personnages, je respecte son choix, mais il faut savoir que même morts, les malheureux ont encore droit aux descriptions sous la terre du cimetière.