Podcasts littéraires "C'est à lire du 02 juillet 2017"

C’est à lire : 2 juillet 2017
Dans la forêt de Jean Hegland
Ce nature writing édité par Gallmeister est très apprécié par la blogosphère.Book’ing : Jean Hegland propose avec "Dans la forêt" un autre avenir possible, une alternative à l’illusion consistant à croire que l’accomplissement de l’humanité réside dans l’optimisation du progrès technologique...
Tasha’s books : Ce roman est à la fois terrible, tragique, angoissant, émouvant, et très beau... C’est l’une de mes lectures marquantes de cette année, assurément.
Libération : Où un roman de l’hiver pourrait bien devenir un livre de l’été. Dans la forêt, de l’Américaine Jean Hegland, sorti en France au mois de janvier (et en 1996 aux Etats-Unis), est apparu récemment dans les quinze meilleures ventes de Datalib.
Journal d’une lectrice : J’ai adoré la fable en forme de métaphore qui sous-tend ce roman post-apocalyptique : quand le vieux monde que tu as toujours connu s’effondre, plutôt que de le retenir, il faut songer à en bâtir un nouveau.
Le goût des livres : C’est une histoire captivante où l’on suit jour après jour l’évolution des deux soeurs.
hop ! sous la couette : Dans la forêt demeure un beau et fort roman d’apprentissage sur le courage et la résilience. Ne vous arrêtez donc pas à mon avis mitigé. Mes attentes étaient juste trop élevées !
Trois ou quatre livres : A lire pour découvrir deux personnages attachants, pour la douceur de la forêt... Magnifique !
Télérama : Il faut se laisser happer par ce livre-refuge aussi dévorant que régénérant, qui montre qu’on peut toujours se fabriquer un nid douillet avec des broussailles.
Cathulu : Un roman puissant et sensuel.
Lire au lit : J’avais déjà vécu cela en lisant Une année à la campagne de Sue Hubbell et la découverte de Dans la forêt de Jean Hegland vient de me précipiter dans le même état. J’en émerge à peine, comme encore sous le choc.
Quoi de neuf sur ma pile ? : Bien écrit, bien pensé, est-ce alors un roman sans défaut ? Je ne le crois pas. La faute au dernier tiers. Là, Hegland devient si explicitement militante que c’en est gênant.
D’une berge à l’autre : J’ai vraiment beaucoup aimé, même si j’ai essentiellement lu ce roman comme un texte à message, une leçon de vie ne niant pas les difficultés d’un retour au monde sauvage mais faisant de la symbiose avec la nature le sens même de l’existence.
Le blog de mimi : A première vue, dans la forêt peut sembler étouffant de par les lieux, et sa construction sans chapitre – les paragraphes sont à peine distincts les uns des autres…Il n’en est rien tant l’écriture est belle et entrainante.
Le bouquineur : Nous sommes en présence d’un de ces romans qui enchante complètement le lecteur, dès les premières pages il est séduit par l’écriture et son rythme maintenu jusqu’à la fin...
Charybde 27 : Ce roman de survie dans la forêt dose au centimètre le degré de précision technique nécessaire pour faire partager à la lectrice ou au lecteur l’angoisse du lendemain...
Alamblog : Le livre de Jean Hegland est assurément important sur un point — au-delà de ses qualités de roman prenant : il nous jette à la figure ce que nous nous empressons d’occulter, tous autruches que nous sommes
La bibliothèque de Noukette : C’est une lecture visuelle, saisissante de réalisme. C’est un premier roman que l’on ressent au plus profond de ses tripes et qui remue, beaucoup, beaucoup…
Tu vas t’abimer les yeux : « Dans la forêt » de Jean Hegland est un très beau roman, qui possède un vrai souffle à la fois littéraire et idéologique.
Mic Mélo : Tout en intériorité, ce huis clos atteint tellement bien son objectif, qu’il pourrait déranger les lecteurs claustrophobes ou adeptes d’actions et de mouvements.
Nyctalopes : Elle montre avec une écriture simple et une véracité profondément touchante ces sentiments puissants qui les submergent par vagues mais aussi l’instinct de survie, la force et le courage qui les animent.
A sauts et à gambades : C’est magnifiquement évoqué. Une vie pleine et belle, un avenir radieux qui s’annoncent et brusquement l’obligation de vivre autrement, de compter l’une sur l’autre et sur la nature pour survivre.
Fragments de lecture : Jean Hegland signe un roman d’apprentissage bien écrit, qui livre une vision pessimiste du devenir de notre civilisation.
Blog du Grenier : Vous dire d’abord que lorsque j’ai refermé cet ouvrage , j’ai aussi fermé les yeux et versé ma larme. Pas une larme de tristesse, une larme d’intense émotion plutôt.
Soupe de l’espace : Véritable célébration de la nature, de la vie en autarcie, de l’amour, le roman est empli d’une énergie animale, brute et d’un courage qui transporte celle/celui qui lit en Caroline du Nord dans ces forêts de séquoias à l’atmosphère si particulière.
From the avenue : Jean Hegland est amoureuse de la nature et nous offre de magnifiques descriptions sur la beauté de la végétation et de ses pouvoirs guérisseurs Les passages de la clairière avec la souche sont incroyables tant par le décor que pour ses symboles.
Cunéipage : Quiconque a le goût des Robinsonnades va, à mon instar, se couler avec une délectation non feinte entre ces pages.
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