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Podcasts littéraires "Les écrivains Alice Zeniter et Lola Lafon"

L’invité du 8h20 : 25 août 2017

Durée : 00:08:56 - L’invité de 8h20 - Alice Zeniter et Lola Lafon sont les invitées de Nicolas Demorand à l’occasion de la révélation de la sélection pour le prix France Inter - JDD


Mercy, mary, patty de Lola Lafon

Ce roman édité par Actes sud est apprécié par la blogosphère.

Bricabook : Métamorphoses, femmes funambules, fuite en avant ou liberté ultime ? Ces femmes tracent leur route, se réinventent, et refusent le confort que la vie leur offrait pour vivre selon leurs idéaux.

Garoupe : C’est à mon sens un roman important, essentiel de cette rentrée littéraire et ce d’autant plus qu’il ne met jamais à côté de son objet. Un grand coup de chapeau à l’auteur.

Lire au lit : Difficile d’y voir clair. Dommage. Non je n’ai pas trouvé ce procédé de narration judicieux. Mais bon, le reste, je l’ai avalé cul sec. Et puis, j’aime bien aussi l’écriture de Lola Lafon, elle est dynamique, vivante, très punchy.

A livre ouvert : Mercy, Mary, Patty est un roman ouvert sur le monde qui lance un défi à ses lecteurs : accepter de regarder le chaos du monde tel qu’il est, dans sa violence et toute sa complexité.

Mic Mélo : J’étais tant perdue dans la narration et le déroulé du roman...

Tu vas t’abimer les yeux : Un livre fascinant, qui ne parle pas à la place de Patty Hearst mais qui pose de nombreuses questions sur la place de la femme dans la famille et dans la société, un sujet toujours d’actualité même si l’affaire a lieu en 1974-75, à la fin de la période hippie

Lecturissime : ola Lafon peint de très beaux portraits féminins, s’interrogeant avec subtilité sur ce qui forge l’identité et sur ces chemins de traverse que la vie peut prendre quelquefois.

Le Devoir : « Mercy, Mary, Patty » raconte comment une jeune fille peut devenir toxique...

Télérama : Cette grâce, Lola Lafon l’a justement attrapée au vol, saisissant la minute où certaines décident de prendre l’autocar pour une destination inconnue, changent de nom ou de prénom, fuient droit devant elles en abandonnant le confort pour la vie.

Le blog de mimi : Une chose est certaine, je n’y reviendrai pas !

Cathulu : Des destins de femmes qui résonneront longtemps dans nos mémoires, un style percutant, des phrases soulignées à la pelle font de ce roman un indispensable.

Le journal d’un lecteur : Tremblez, bonnes gens, toutes vos certitudes font face à un tremblement de terre dans un roman à la construction complexe et aux interrogations fondamentales.

Entre les lignes : En tous cas, ce roman est une réussite dans sa forme, sa maîtrise narrative et ses audaces stylistiques. Finalement, un roman très rock comme il en manque dans le paysage littéraire français.


L’art de perdre de Alice Zeniter

Ce roman historique édité par Flammarion est très apprécié par la blogosphère.

T Livres ? T Arts ? : J’ai été captivée de bout en bout par ce roman servi par une plume que je ne connaissais pas.

Sur mes brizées : De « L’Art de perdre », j’attendais un éclairage supplémentaire sur cette guerre d’Algérie dont les échos n’ont pas fini de résonner en nous. En réalité, j’ai obtenu bien davantage de cette œuvre remarquablement écrite...

Tu vas t’abimer les yeux : « L’Art de Perdre » d’Alice Zeniter est un livre dense mais jamais ennuyeux, porté par un vrai souffle littéraire. Un récit passionnant sur la quête des origines et sur la définition d’une identité, entre la France et l’Algérie.

Mic Mélo : C’est un roman puissant, profond, juste, touchant sur l’identité, sur la filiation, sur tellement de choses. A ne manquer sous aucun prétexte.

Les lectures du mouton : C’est un roman sur la perte et la quête des origines mais aussi sur l’identité en France quand on est le fruit d’une culture mixte. C’est également un récit sur la difficulté d’être soi quand on se sent différent de la place qu’on souhaite t’attribuer.

Les fanas de livres : L’écriture est fluide et oscille entre roman et documentaire. Il faut prendre le temps de le lire parce que les informations sont denses mais c’est un très bon livre.

Lecturissime : L’art de perdre c’est celui de perdre un pays, une langue, des illusions, des biens minuscules mais essentiels, perdre pour avancer, et fonder une nouvelle vie, une nouvelle oeuvre, un nouveau monde, pour, enfin, peut-être, se libérer.

Sur la route de Jostein : Alice Zeniter réussit à transmettre un passé pour ne pas qu’il se perde avec la richesse du récit romanesque et l’éclairage d’une analyse sociologique pour laquelle elle a une grande légitimité.

Lire au lit : Le livre d’Alice Zeniter m’a beaucoup, beaucoup touchée, ses personnages semblent incarnés : on les sent, on les voit, on vit, on partage leurs émotions, leurs souffrances, leur détresse.

Garoupe : Cet « Art de perdre » est une petite merveille d’écriture, de style, de construction, d’idées, d’humanité, de vie, d’espoir malgré tout, d’envie, d’intime… un petit bijou.

Un dernier livre avant la fin du monde : Alice Zeniter nous avait convaincu dès son premier roman (Sombres dimanches – Prix du livre Inter 2013) par la justesse et la sensibilité de son écriture...

Le Devoir : « Mon projet n’était pas de raconter l’histoire de ma famille, mais de combler les silences de mon histoire familiale. J’ai inventé beaucoup de choses… », convient Alice Zeniter.

Les livres de Joëlle : Foisonnant, passionnant, jamais ennuyeux malgré ses 512 pages, ce récit sur une tranche d’histoire m’a paru également très objectif, sans parti pris.

Mots pour mots : Il se lit avec un plaisir immense mais sa profonde réussite c’est cette proximité, cette empathie qui se crée au fil des pages entre le lecteur et Naïma, nourrie de ce passé reconstitué. Oui, L’Art de perdre est un très grand roman.

Le blog de mimi : Ce roman que l’on prend à pleines mains pour ne pas le lâcher se lit ave à la fois facilité et gravité. Il semble bien engagé dans les premiers prix littéraires de la saison. J’espère qu’il aura devant lui un beau parcours .

La Croix : À une époque où la société française est traversée par la grande crise identitaire des deuxième et troisième générations d’émigrés, ce roman de la dépossession prend le temps des descriptions, des introspections...

Télérama : Zeniter décrit en cinq cents pages, tout ensemble violentes et mélancoliques, la progressive réconciliation avec soi.







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