Podcasts littéraires "La vie d’après, avec Erwan Lahrer et Frederika Amalia Finkelstein"

Survivre de Frederika Amalia Finkelstein

Ce roman édité par Gallimard est peu apprécié par la blogosphère.

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Shangols : L’écriture de Finkelstein est peut-être jeune, mais elle prouve poing levé que quand on se penche un tant soit peu sur le style, on peut arriver à des choses merveilleuses.

Meelly lit : Survivre scrute ce point de non-retour que nous avons dépassé. Mais s’il évoque la violence, la mort, il n’est en rien morbide, il permet au contraire au lecteur d’avancer dans sa compréhension du monde, et de se sentir peut être encore davantage vivant.

Coin lecture de Nath : Le début de lecture m’a au départ un peu perturbé mais la magnificience de l’écriture qui porte littéralement le récit, m’a happée et emmenée rapidement au terme de celui-ci

Les livres de Joëlle : J’ai été particulièrement choquée par la description ultra réaliste et à mon sens malsaine des victimes du Bataclan sur la photo récupérée par la narratrice. Était-ce bien utile ? Un roman qui va très vite sortir de mon esprit…

Le livre que je ne voulais pas écrire de Erwan Larher

Ce roman édité par Quidam est très apprécié par la blogosphère.

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T Livres ? T Arts ? : Dans une plume joyeuse, généreuse, lumineuse, Erwan LAHRER, qui dépasse d’une bonne tête l’ensemble de nos concitoyens, nous livre une philosophie de vie à sa dimension, EXTRAordinaire !

Shangols : Un très beau témoignage, vrai et intelligent.

PatiVore : En général, je ne suis pas friande des romans autobiographiques mais celui-ci est vraiment différent, au-dessus du lot, il est littéraire, profond, prenant, passionnant !

Garoupe : Erwan Larher, à son corps doublement défendant – parce qu’il ne l’a pas souhaité et parce qu’il en a souffert dans ses chairs –, se trouve être le seul écrivain à avoir vécu les événements du Bataclan de l’intérieur.

Les lectures du mouton : Cette bulle d’amour distillée dans le livre permet de rendre la lecture moins rude et surtout montre que l’horreur, même la plus absolue, ne pourra jamais enlever cet essentiel.

Errances immobiles : Je ne crois pas que j’arriverais à en dire plus tellement ce livre a touchée la lectrice, l’amie, la maman, l’infirmière urgentiste, la femme française que je suis.

La bibliothèque de Delphine-Olympe : Erwan Larher a écrit un livre généreux et puissant, intelligent et bienveillant qui interroge autant le monde dans lequel nous vivons que la manière dont la littérature peut nous permettre de l’appréhender, un livre dans lequel chacun peut se retrouver...

Bonnes feuilles et mauvaise herbe : Ce livre aura forcément une place particulière dans cette rentrée, littéraire, ou alors c’est à désespérer de tout.

Les chroniques de Koryfée : Après avoir lu ce livre, vous aurez envie d’aimer davantage, de célébrer la vie dans ses bonheurs les plus infimes. Une claque magistrale. Un hymne à la vie.

L’Express avec Lire : Sept ans et six livres plus tard, Larher a toujours des titres un peu pied de nez, l’écriture et le défi vissés à l’âme. On appelle ça la survie.

L’or des livres : Erwan Larher aime le rock et les mots. C’est un romancier qui invente des histoires, des héros, et surtout une écriture pour tenter de changer, ou du moins d’interroger le monde et l’humain.

Mots pour mots : C’est fort, très fort. A travers ce récit, c’est de nous dont il s’agit, que nous ayons été de près ou de loin concernés par cette funeste soirée.

Petit carré jaune : Que vous soyez simple quidam, lecteurs, rockeurs ou voyeurs, humain… achetez ce livre, offrez le et bon sang si vous pleurez, riez, souriez, avez le cœur gonflé ou gros lors de sa lecture...

L’insatiable : Il est magnifique ce roman, porteur d’un souffle parfois coupé mais toujours chaud et magnifique.

En lisant en voyageant : Dans ses précédents romans Erwan Larher laissait transparaître ses coups de coeur, détestations et opinions, tout en faisant preuve d’une belle imagination. Cette fois, on attaque le vécu.

Les livres de Joëlle : J’ai apprécié la grande sincérité de ce récit très intime où il se met à nu sans aucun apitoiement sur lui-même sans aucun voyeurisme.