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Podcasts littéraires "Chantal Thomas et Monica Sabolo, les deux sirènes de la rentrée littéraire"

La grande table : 28 août 2017

durée : 00:29:50 - La Grande table - par : Olivia Gesbert - Première émission de la saison avec deux auteures marquantes de la rentrée littéraire : Monica Sabolo qui fait paraître &quot ;Summer&quot ; aux éditions JC Lattès et Chantal Thomas qui a écrit &quot ;Souvenirs de la marée basse&quot ; (éditions du Seuil). - réalisé par : Peire Legras


Summer de Monica Sabolo

Ce roman édité par JC Lattès est apprécié par la blogosphère.

Les lectures d’Antigone : Au cours de ma lecture, j’ai compris le succès de ce roman. Monica Sabolo a une écriture magnifique. Elle sait créer une ambiance que l’on retrouve dans certains romans américains, rarement dans des romans français.

Tête de lecture : Superbe roman sur la disparition, l’absence dans une langue subtile et poétique.

Les mots de la fin : Brillant, effervescent, ce roman emporte et submerge. Sa puissance poétique inonde tout.

T Livres ? T Arts ? : Ce roman est bouleversant, il est aussi profondément lumineux. Je vous le conseille absolument.

Charlotte Parlotte : C’est pour moi une bonne lecture d’été, qui en quelques pages plonge le lecteur dans une ambiance très particulière dont il ne ressortira qu’à la toute fin du roman...

Totalybrune : Le style est assez onirique et philosophique mais on veut savoir et aller au bout du roman pour en connaitre l’issue. Mais je m’attendais à autre chose à quelque chose de plus prenant.

Tasha’s books : Assurément, ce ne sera pas une lecture marquante.

Psych3desLivres : Un roman humain bouleversant, étonnant, à côté duquel il ne faut pas passer !

Lire au lit : Une belle lecture, magnétique et envoûtante.

Lecturissime : Elle analyse avec profondeur et poésie les scories laissées par l’adolescence et les rapports familiaux, les sacrifices des uns et des autres pour garder la face et ne pas fissurer une image trop lisse.

Shangols : Une belle réussite donc pour ce livre, peut-être un peu trop dans l’admiration pour l’instant, peut-être un peu long, peut-être pas tenu jusqu’au bout par excès d’ambition, mais déjà superbe dans son style, sa fluidité et sa justesse.

L’Obs : Le lecteur s’y aventure avec une excitation mêlée d’effroi et s’accroche à chaque indice dont elle jalonne le récit pour faire un pas de plus vers le chaos émotionnel qu’il pressent.

Meelly lit : Summer est un roman qui se lit en apnée, les nerfs à fleur de peau, tant on redoute la fin qui se révèle à la hauteur du grand talent de Monica Sabolo.

Cathulu : Un texte qui a su me séduire, alors que j’avais beaucoup d’a priori en le commençant, craignant par-dessus tout que ce ne soit qu’un roman d’atmosphère et que je demeure frustrée par la fin.

Le blog de mimi : Summer est un roman qui m’aura semblé paradoxal du début à la fin. Paradoxal parce qu’en définitive je ne sais pas si je l’ai aimé. Et pourtant j’ai eu un mal fou à le lâcher. Son écriture est assez addictive, son style fluide et facile.

Bricabook : Une montagne russe que j’aurais aimée ascendante jusqu’au bout tant l’ambiance de départ m’avait scotchée. La deuxième partie tombe dans une certaine facilité.

L’Express avec Lire : Avec Summer, l’enquête tardive d’un frère sur la disparition de sa jolie soeur sur les rives du Léman, Monica Sabolo livre l’un des plus beaux romans de la rentrée, sélectionné pour le Goncourt.

Sur la route de Jostein : Les chroniques de la presse littéraire comparent souvent l’ambiance de ce roman avec Virgin Suicides de Jeffrey Eugenides ou des romans de Laura Kasischke. Cela aurait dû me faire douter, je n’entre pas facilement dans ce type de récit.

Tu vas t’abimer les yeux : Je ne suis pas sûre que ce livre plaise à tout le monde, il faut adhérer à cette ambiance, à ce milieu bourgeois plein de faux-semblants, à l’alternance entre deux périodes, mais j’ai été séduite par ce que propose Monica Sabolo.

Les livres de Joëlle : Le sujet était pourtant prometteur mais l’intrigue psychologique est tombée à plat pour moi. Une rencontre ratée avec cette auteure dont tout le monde dit tant de bien.

Au bordel culturel : Entre réminiscences et songes, poésie et détresse, Monica Sabolo nous plonge dans le quotidien d’une famille aisée des années 80.

Entre les lignes : On referme le livre secoué, ému et on sait déjà que l’attente sera longue jusqu’au prochain roman de cette auteure qui comme le bon vin, se bonifie avec le temps, prenant ampleur et force, gommant verdeur et sucrosité écœurante.

La république des livres : Summer tire sa force d’une écriture au cordeau dénuée de trucs mélodramatiques, de sa pudeur dans le déploiement des sentiments et de la maitrise de l’intrigue de bout en bout.

Télérama : Entre le thriller efficace et le récit poétique, soyeux et toxique — on pense beaucoup, en lisant Summer, à Laura ­Kasischke, notamment à son entêtant Oiseau blanc dans le blizzard —, Monica Sabolo ne choisit pas.

Dans le manoir aux livres : Le contexte du lac Léman se prête très bien à cette histoire. J’ai particulièrement apprécié ce mélange de souvenirs, de songes et de visions révélatrices.


Souvenirs de la marée basse de Chantal Thomas

Ce roman édité par Seuil est très apprécié par la blogosphère.

Les livres de Joëlle : Je trouve que les mots qui définissent le mieux ce roman constitué de courts chapitres, de souvenirs non datés, sont délicatesse et élégance.

Lecturissime : Dans ce beau récit, de petits riens en petits riens, Chantal Thomas peint le portrait touchant de cette Jacky fantasque et chante son amour pour la mer et la mère avec tendresse et pudeur.

Mic Mélo : Un hommage intime et lumineux, ponctué parfois de références historiques de têtes princières ou couronnées, qui en augmente la saveur romanesque.

Charybde 27 : « Souvenirs de la marée basse » fait partie de ces livres qui nous mettent au cœur du monde, au plus près du lien fait de sensations et de gestes entre une mère et sa fille, un lien d’éloignement et de proximité retrouvée.

Lire au lit : J’ai tellement eu envie de découvrir ces lieux magiques si bien décrits dans ce livre que j’ai réservé une maison pour les vacances de printemps, à Arcachon, la ville des quatre saisons…

Libération : Dans « Souvenirs de la marée basse », Chantal Thomas relate la passion de sa mère pour la natation.

L’Obs : Chantal Thomas donne un portrait saisissant de cette mère si obscure à la maison et si lumineuse dans les vagues, qui semblait toujours flotter pour ne jamais couler.

L’Express avec Lire : Une fois encore, nous serons du voyage, émerveillés et reconnaissants devant la sensibilité, l’érudition de Chantal Thomas.

La république des livres : Ce roman, publié dans la collection « Fiction & Cie », laisse une empreinte durable alors qu’il est d’une forme on ne peut plus classique, qu’il ne manie pas le moindre effet, ne crache pas du feu, ne gonfle pas ses pectoraux, ne la ramène pas.

Petit carré jaune : Fort, délicieux, inoubliable. Comme les premières et dernières fois. Comme ces bonheurs que l’on fuit de peur qu’ils se sauvent.

Télérama : Chantal Thomas fait revivre, sur les plages de son enfance, une mère secrète qui lui a légué la passion des bains de mer, le goût de s’abandonner à la volupté de la nage.







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