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Podcasts littéraires "Un certain Romain Gary"

La grande table : 5 septembre 2017

durée : 00:28:26 - La Grande table - par : Olivia Gesbert - Emile Ajar, Fosco Sinibaldi, Shatan Bogat, Romain Gary... Tous ces noms pour désigner le même écrivain incontournable du XXe siècle, lauréat à deux reprises du prix Goncourt, en 1956 et 1975. Aujourd’hui dans La Grande Table, retour sur l’oeuvre de Gary avec Pierre Bayard et François-Henri Désérable - réalisé par : Peire Legras


Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable

Ce roman édité par Gallimard est apprécié par la blogosphère.

Bibliblog : Je me suis régalée et ne saurais trop vous conseiller de foncer vers votre librairie préférée pour dénicher ce très bon roman !

Zazymut : Un livre léger mais pas que. J’aime sa façon d’écrire des biographies, de faire des rapprochements entre la mère de Romain Gary et sa propre mère. J’aime sa façon de parler de cet auteur aux multiples facettes.

Lettres exprès : La construction du texte et l’écriture sont pleines d’une grande liberté, tout en étant rigoureuses, car il ne faut pas perdre de vue qu’il s’agit d’une enquête visant à retrouver des traces de Mr Piekielny...

Tu vas t’abimer les yeux : « Un certain Mr Piekielny » de François-Henri Désérable est un livre drôle, vif, malin, extrêmement plaisant à lire. Un bel hommage à Romain Gary et à la littérature.

Mic Mélo : J’ai vraiment été ravie de retrouver ce jeune auteur que je trouve, outre qu’il est très sympathique, extrêmement talentueux.

Mots pour mots : Bien inspirée je fus ce soir-là de m’en aller écouter M. Désérable... je m’en serais voulu de rater un si bon moment de lecture. Et j’espère convaincre ceux qui hésiteraient encore.

Journal d’une lectrice : La plume de François-Henri Désérable est très élégante, délicatement ironique, bourrée d’autodérision, et l’auteur se garde de toute admiration béate envers Gary, sur lequel il porte un regard amicalement critique.

La bibliothèque de Delphine-Olympe : ne chose est sûre, c’est que j’ai eu envie de le croire, que je l’ai cru, et seul compte le plaisir que j’ai eu à le suivre.

Lire au lit : La littérature vous a rendu immortel, Monsieur Piekielny. Votre vœu est exaucé et nous penserons souvent à vous, même les jours où nous ne passerons pas par le 16 de la rue Grande-Pohulanka…

Les lectures du mouton : C’est tellement bien mené qu’on se laisse porter… et puis, l’auteur finit par percer plus ou moins le mystère de la phrase de Piekielny.

Cahiers Attard : L’écriture est si parfaite, le style si fluide, avec tant de finesse dans les traits d’humour, tant de précision dans les descriptions des états d’âme que je suis pris au jeu.

Télérama : Coincé à Vilnius, l’auteur mêle avec brio ses vérités et ses mensonges à ceux de son maître en affabulations, le Romain Gary de La Promesse de l’aube.

Les livres de Joëlle : Contrairement à d’autres je n’ai pas été gênée par le fait que François-Henri Désérable parle régulièrement de lui, je n’ai à aucun moment trouvé qu’il faisait preuve de suffisance, toutes ses digressions personnelles ont un sens par rapport à Romain Gary, par rapport à la littérature.

La Croix : Parti à la recherche d’un inconnu rendu célèbre par Romain Gary, ce jeune écrivain signe un roman impressionnant, au ton grave et léger, l’un des favoris des prix littéraires de la rentrée.

Shangols : C’est de la non-littérature, et le truc ne serait pas paru chez Gallimard (Gallimard...!), on aurait bien compris qu’on était là face à un nouveau Marc Lévy, en moins drôle.

Un dernier livre avant la fin du monde : Tout dépend de ce que l’on veut croire et F-H Désérable nous laisse cette liberté.

Cathulu : De l’humour, une écriture enlevée, ne parviennent pourtant pas à faire "décoller" ce récit qui semble parfois un peu vain.

Le petit poucet des mots : D’abord assez dubitatif sur les 50 premières pages (en fait j’étais carrément furax …), je me suis laissé aspiré dans cette lecture à nulle autre pareille tant le mélange des styles, des genres, des thèmes, est un régal.

Le blog de mimi : Au cours du roman, on peut lire « Je commence toujours mes romans par cinquante pages ennuyeuses. Pour décourager les cons. » Mission réussie Mr Désérable…..une fois, mais pas deux !!

Entre les lignes : Un livre contrasté mais qui mérite d’être lu pour son originalité.

La règle du jeu : Entre enquête méticuleuse et rencontres imaginaires, le roman de François-Henri Désérable est aussi une confession littéraire.







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