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Humeur vagabonde : 16 septembre 2017

durée : 00:35:14 - L’humeur vagabonde - par : Kathleen EVIN - Rencontre avec Marie Darrieussecq qui vient de faire paraître chez P.O.L. &quot ;Notre vie dans les forêts&quot ; - invités : Marie Darrieussecq - Marie DARRIEUSSECQ - réalisé par : Simone DEPOUX


Notre vie dans les forêts de Marie Darrieussecq

Ce roman édité par Editions POL est apprécié par la blogosphère.

Mic Mélo : Après le splendide Etre ici est une splendeur, une biographie artistique romancée, Marie Darrieussecq fait le pari d’étonner et de changer totalement de registre, et réussi brillamment à rester toute aussi convaincante.

Book’ing : Avec cette dystopie, Marie Darrieussecq interroge sur l’avenir de l’homme dans une société de l’omni-contrôle technologique, où l’on a perdu le sens et le respect du vivant, où l’être humain et son environnement sont relégués à des fonctions utilitaires.

Le Temps : Marie Darrieussecq invente une société de doubles, un monde sous surveillance dont il n’est pas facile de s’échapper. Son héroïne parle pourtant du fin fond des forêts...

Trois ou quatre livres : L’écriture à la première personne plonge dans une frénésie, une urgence d’écrire et de lire avant qu’il ne soit trop tard et c’est juste magnifique !

Le Devoir : Un monde déshumanisé, dominé par les écrans et les robots. Un monde où règnent la peur et l’injustice. Où le clonage humain est devenu réalité… pour les plus riches.

Cunéipage : J’ai ensuite lu quelques avis négatifs qui m’en ont écartée, avant que l’autrice elle-même de me redonne envie de la lire lors de son passage dans La Grande Librairie. J’aurais dû passer outre les avis des autres, car j’ai adoré.

Cathulu : Là où le premier roman de l’écrivaine prenait son temps pour nous décrire les changements de la société, Notre vie dans les forêts est beaucoup plus court (189 pages) et le sentiment d’urgence encore plus grand.

Cannibales lecteurs : Peut-être ai-déjà trop lu ou vu d’œuvres de ce genre, mais ces cousinages m’ont gêné, et donné des clefs de compréhension pour anticiper la conduite et les enjeux du récit.

Libération : C’est moins sur les ressorts de la dystopie qu’il faut s’attarder, que sur la qualité du monologue qui monte du bois où se cachent les réfugiés.

L’Obs : Cette course vers le néant, que Darrieussecq orchestre avec une précision mécanique, fait de son livre un texte rare, étrange et oppressant.

Télérama : Subtilement, brillamment, Marie Darrieussecq ajoute ses pro­pres grains de sable, aidée en cela par ­Viviane, personnage en perpétuel retard sur les événements, incapable de nouer tous les fils, perdue, naïve et délicieusement blagueuse.







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