Podcasts littéraires "Littérature : Summer, Le petit garçon sur la plage, La Serpe"

La Dispute : 15 septembre 2017
urée : 00:55:43 - La dispute - par : Arnaud Laporte - La rentrée littéraire occupe, ce soir encore, la Dispute : Summer, de Monica Sabolo ; Le petit garçon sur la plage, de Pierre Demarty et La Serpe de Philippe Jaenada. - réalisé par : Daniel Finot
La Serpe de Philippe Jaenada
Ce roman édité par Julliard est apprécié par la blogosphère.Voyager... lire... : J’ai aimé le regard minutieux sur les crimes, le fait que chaque élément qui semble parfois anodin ait été dépoussiéré, avec en plus beaucoup de dérision et d’humour.
Le site de Carmen Robertson : a démarche de Jaenada est fascinante, son écriture, claire et précise, son humour, imparable. L’histoire, ainsi dépoussiérée, fouillée, interrogée, nous captive tout autant que celles d’un John Le Carré.
Les élucubrations de fleur : Il faut lui reconnaître un vrai travail de structuration du récit, contrairement à ce que pourraient laisser supposer les nombreuses parenthèses et le ton léger de la narration.
En lisant en voyageant : Jaenada (Il existe, je l’ai rencontré) est pote avec des gens que j’aime bien, et de plus il est bourré de talent. Mon manque d’objectivité sera total, mais mon avis en phase avec celui de la blogosphère, alors autant ne pas se retenir bêtement dans les louanges.
Blablabla mia : Bénéficiant d’un travail gigantesque, de personnages hautement romanesques, et du talent indéniable d’un Philippe Jaenada en grande forme, La Serpe mériterait bien, à mon humble avis, un prix...
Coin lecture de Nath : Grosse déception. Un premier gros flop cette année.
Sur la route de Jostein : Je salue l’intelligence et la ténacité de l’auteur dans cette quête méticuleuse de la vérité mais personnellement, quand un livre ne m’apprend rien ( à part la vie de l’auteur du Salaire de la peur), je peine à accrocher sur autant de pages.
Journal d’une lectrice : Je n’avais encore jamais lu Philippe Jaenada, et c’était une erreur, j’ai découvert un auteur aussi bienveillant que malicieux, qui se joue avec délectation de son double de papier, et se révèle un formidable raconteur d’histoires.
Tu vas t’abimer les yeux : Impossible de ne pas penser à Agatha Christie avec cette histoire de guerre, de château, de jeune bourgeois à la vie dissolue, et de mystère… et Philippe Jaenada est très convaincant dans son double rôle d’auteur/enquêteur. Une excellente lecture !
Les livres de Joëlle : Philippe Jaenada a écrit un livre passionnant sur un crime sordide et sur un personnage aux multiples facettes et a abouti à des conclusions qui interpellent.
Dans le manoir aux livres : Une nouvelle fois, Philippe Jaenada m’a totalement convaincue.
Shangols : Le truc se lit comme un bon vieux polar à l’ancienne, en même temps que comme l’auto-portrait d’un écrivain pris la main dans le sac d’une obsession maladive. A ce titre, un livre sympathique.
Lire au lit : Eh bien, en plein dans le mille la copine, pas un millimètre à côté, le coeur du coeur, l’hyper centre de la cible. Dire que j’ai aimé relève de l’euphémisme, c’est beaucoup plus que ça…
Tête de lecture : Messieurs mesdames les jurés (des prix littéraires), il grand temps de reconnaître l’excellence de maître Jaenada, avocat des causes perdues et virtuose de la prose en apparence alambiquée.
La règle du jeu : Philippe Jaenada fait la lumière – toute la lumière ? Là est question… – sur une affaire oubliée qui passionnera tout un chacun. La Serpe, l’un des romans les plus troublants de cette rentrée littéraire.
La Croix : On l’avait compris au fil de dix romans : chez Jaenada, le rocambolesque de la quête importe autant que sa résolution.
Libération : a Serpe est affaire de recherches et de libre interprétation. Le lecteur est facile à manipuler....
Télérama : Du sale gosse capricieux au jeune homme qui claque l’argent de ses parents économes, Henri n’est pas vraiment un type séduisant, mais c’est justement l’ambiguïté du personnage qui séduit l’inspecteur Jaenada.
Garoupe : On retrouve aussi avec bonheur les incessantes, innombrables et parfaitement à propos digressions de Philippe Jaenada.
Summer de Monica Sabolo
Ce roman édité par JC Lattès est apprécié par la blogosphère.Les lectures d’Antigone : Au cours de ma lecture, j’ai compris le succès de ce roman. Monica Sabolo a une écriture magnifique. Elle sait créer une ambiance que l’on retrouve dans certains romans américains, rarement dans des romans français.
Tête de lecture : Superbe roman sur la disparition, l’absence dans une langue subtile et poétique.
Les mots de la fin : Brillant, effervescent, ce roman emporte et submerge. Sa puissance poétique inonde tout.
T Livres ? T Arts ? : Ce roman est bouleversant, il est aussi profondément lumineux. Je vous le conseille absolument.
Charlotte Parlotte : C’est pour moi une bonne lecture d’été, qui en quelques pages plonge le lecteur dans une ambiance très particulière dont il ne ressortira qu’à la toute fin du roman...
Totalybrune : Le style est assez onirique et philosophique mais on veut savoir et aller au bout du roman pour en connaitre l’issue. Mais je m’attendais à autre chose à quelque chose de plus prenant.
Tasha’s books : Assurément, ce ne sera pas une lecture marquante.
Psych3desLivres : Un roman humain bouleversant, étonnant, à côté duquel il ne faut pas passer !
Lire au lit : Une belle lecture, magnétique et envoûtante.
Lecturissime : Elle analyse avec profondeur et poésie les scories laissées par l’adolescence et les rapports familiaux, les sacrifices des uns et des autres pour garder la face et ne pas fissurer une image trop lisse.
Shangols : Une belle réussite donc pour ce livre, peut-être un peu trop dans l’admiration pour l’instant, peut-être un peu long, peut-être pas tenu jusqu’au bout par excès d’ambition, mais déjà superbe dans son style, sa fluidité et sa justesse.
L’Obs : Le lecteur s’y aventure avec une excitation mêlée d’effroi et s’accroche à chaque indice dont elle jalonne le récit pour faire un pas de plus vers le chaos émotionnel qu’il pressent.
Meelly lit : Summer est un roman qui se lit en apnée, les nerfs à fleur de peau, tant on redoute la fin qui se révèle à la hauteur du grand talent de Monica Sabolo.
Cathulu : Un texte qui a su me séduire, alors que j’avais beaucoup d’a priori en le commençant, craignant par-dessus tout que ce ne soit qu’un roman d’atmosphère et que je demeure frustrée par la fin.
Le blog de mimi : Summer est un roman qui m’aura semblé paradoxal du début à la fin. Paradoxal parce qu’en définitive je ne sais pas si je l’ai aimé. Et pourtant j’ai eu un mal fou à le lâcher. Son écriture est assez addictive, son style fluide et facile.
Bricabook : Une montagne russe que j’aurais aimée ascendante jusqu’au bout tant l’ambiance de départ m’avait scotchée. La deuxième partie tombe dans une certaine facilité.
L’Express avec Lire : Avec Summer, l’enquête tardive d’un frère sur la disparition de sa jolie soeur sur les rives du Léman, Monica Sabolo livre l’un des plus beaux romans de la rentrée, sélectionné pour le Goncourt.
Sur la route de Jostein : Les chroniques de la presse littéraire comparent souvent l’ambiance de ce roman avec Virgin Suicides de Jeffrey Eugenides ou des romans de Laura Kasischke. Cela aurait dû me faire douter, je n’entre pas facilement dans ce type de récit.
Tu vas t’abimer les yeux : Je ne suis pas sûre que ce livre plaise à tout le monde, il faut adhérer à cette ambiance, à ce milieu bourgeois plein de faux-semblants, à l’alternance entre deux périodes, mais j’ai été séduite par ce que propose Monica Sabolo.
Les livres de Joëlle : Le sujet était pourtant prometteur mais l’intrigue psychologique est tombée à plat pour moi. Une rencontre ratée avec cette auteure dont tout le monde dit tant de bien.
Au bordel culturel : Entre réminiscences et songes, poésie et détresse, Monica Sabolo nous plonge dans le quotidien d’une famille aisée des années 80.
Entre les lignes : On referme le livre secoué, ému et on sait déjà que l’attente sera longue jusqu’au prochain roman de cette auteure qui comme le bon vin, se bonifie avec le temps, prenant ampleur et force, gommant verdeur et sucrosité écœurante.
La république des livres : Summer tire sa force d’une écriture au cordeau dénuée de trucs mélodramatiques, de sa pudeur dans le déploiement des sentiments et de la maitrise de l’intrigue de bout en bout.
Télérama : Entre le thriller efficace et le récit poétique, soyeux et toxique — on pense beaucoup, en lisant Summer, à Laura Kasischke, notamment à son entêtant Oiseau blanc dans le blizzard —, Monica Sabolo ne choisit pas.
Dans le manoir aux livres : Le contexte du lac Léman se prête très bien à cette histoire. J’ai particulièrement apprécié ce mélange de souvenirs, de songes et de visions révélatrices.
Le petit garçon sur la plage de Pierre Demarty
Ce roman édité par Verdier est apprécié par la blogosphère.Zazymut : Un livre qui ne se donne pas à la première page, il faut l’accepter, se laisser porter par les vagues des phrases de l’auteur se laisser saisir, submerger par la douleur.
Charybde 27 : La lecture du « Petit garçon sur la plage » laisse une empreinte profonde, inoubliable.
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