Podcasts littéraires "Véronique Olmi, une sainte se raconte"

La grande table : 14 septembre 2017
durée : 00:28:40 - La Grande table - par : Olivia Gesbert - Dans son roman " ;Bakhita" ;, la romancière, dramaturge et comédienne Véronique Olmi raconte l’histoire vraie d’une femme qui, enlevée enfant et réduite en esclavage, devint religieuse avant d’être canonisée par le pape Jean-Paul II. Véronique Olmi est l’invitée de La Grande Table ce midi. - réalisé par : Peire Legras
Bakhita de Véronique Olmi
Ce roman édité par Albin Michel est très apprécié par la blogosphère.T Livres ? T Arts ? : J’ai été frappée par sa façon singulière de s’approprier le monde, où qu’elle soit, avec qui elle soit, comme un appel aux sens en l’absence de la maîtrise de la langue.
Le monde de mirontaine : Parfois, les biographies me font peur. Peur de trahir un substrat historique mais Véronique Olmi, que je lis pour la première fois, m’a totalement emportée dans la curiosité mobile de cette fillette née au Soudan, devenue esclave et religieuse en Italie.
Les livres de Joëlle : Globalement, j’ai trouvé ce roman assez inégal et j’y ai déploré un certain nombre de longueurs, malgré tout je suis ravie d’avoir découvert l’histoire de Bakhita à qui Véronique Olmi rend un bel hommage avec ce roman.
Les fanas de livres : Un magnifique plaidoyer contre l’esclavage et le racisme, et porte un message d’amour et de bienveillance au delà de la souffrance et du côté haïssable des hommes.
Dealer de lignes : Si cette histoire n’est pas merveilleuse, elle est incroyable et merveilleusement contée.
Trois ou quatre livres : Malgré une fin de récit plus factuelle et moins poétique, Bakhita est un très beau roman, dans lequel Véronique Olmi réussit à illuminer son personnage. Un texte magnifique !
Les lectures du mouton : Du coup, j’ai trouvé le récit un peu inégal mais, très franchement, ce roman reste une belle réussite. Véronique Olmi est véritablement habitée par son personnage, émue par ce destin hors du commun. Elle lui rend un très vibrant hommage.
Les chroniques de Koryfée : Un roman magnifique, indiciblement émouvant, sur un être d’une résistance intérieure et d’une bonté exceptionnelles.
Publik art : C’est le récit d’une vie inimaginable et qui a pourtant existé. Un livre qui nous ouvre des chemins de la réflexion, toujours valables aujourd’hui, au XXI siècle.
Lecturissime : L’auteure ressuscite cette magnifique Bakhita canonisée en l’an 2000 par le pape Jean-Paul II, et lui offre en cadeau ses mots bouleversants, qui l’inscrivent une nouvelle fois dans l’éternité de l’humanité.
Blablabla mia : Belle leçon de vie et de courage que cet incroyable destin évoqué avec talent par Véronique Olmi dans ce roman puissant empli d’humanité, qui rend un bel hommage aux opprimé(e)s/victimes oublié(e)s par le biais de cette enfant miraculée.
Histoire du soir : Toutefois, je le regrette, je n’ai pas ressenti ce souffle romanesque qui a bouleversé tant de lecteurs avant moi… C’est dommage !
Télérama : Refermant le roman de Véronique Olmi, c’est surtout la foi en l’écriture qu’on renouvelle — cette écriture qui, durablement, a inscrit dans notre esprit le prénom d’une petite esclave qui n’en avait plus.
Livrogne : Il y a peu d’auteurs à l’instar de Véronique Olmi – j’ai la chance d’en connaître un seul – pour nous donner de telles lignes délicates et traiter une thématique pourtant grave et sombre en y glissant un message d’espoir et une fin heureuse.
Coin lecture de Nath : L’écriture est poétique même si la noirceur, la violence de la première partie est parfois insoutenable. La narration est magnifique, une plume très visuelle dégageant énormément d’humanité. Un récit lumineux.
Lire au lit : Ce roman fait ainsi le portrait d’une femme inoubliable, pleine d’humanité, dévouée corps et âme aux autres, se donnant sans compter jusqu’à la fin de son existence.
L’Express avec Lire : Véronique Olmi compose un opéra sur la vie de cette ancienne esclave du Soudan, morte en 1947 à l’âge de 78 ans après cinquante-trois ans de vie religieuse en Vénétie
Le blog de mimi : De ce que j’ai pu lire de Véronique Olmi, ce livre est le plus abouti, le plus beau et le plus ambitieux.
Marc Page : Avec une rare puissance d’évocation, Véronique Olmi en restitue le destin, les combats incroyables, la force et la grandeur d’âme dont la source cachée puise dans le souvenir de sa petite enfance avant qu’elle soit razziée.
Entre les lignes : Avec ce roman, on part en aventure ailleurs et on se retrouve soi, et surtout on questionne le monde aujourd’hui qui part certains aspects s’inscrit hélas dans la même démarche discriminante et où l’égalité n’est parfois qu’une vague idée abstraite dépassée.
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