Podcasts littéraires "C’est à lire du 01 octobre 2017"

Par le vent pleuré de Ron Rash

Ce roman policier édité par Seuil est apprécié par la blogosphère.

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Aux Bouquins Garnis : Ronrashette convaincue, j’avoue être malgré tout restée sur ma faim avec ce roman assez court et trop facile.

Mic Mélo : Une nouvelle fois, Ron Rash enthousiasme avec un roman centré autour de deux jeunes frères, qui font la rencontre au cours d’un été de Ligeia Mosely, plus libre...

D’une berge à l’autre : Un texte sans grande originalité, tant au niveau du fond que de la forme, mais dont l’écriture élégante et les dialogues ciselés m’ont au final fait passer un agréable moment de lecture.

hop ! sous la couette : Je retiendrai à quel point l’alcool peut faire des ravages et détruire des vies. C’est bien mince, mais c’est déjà ça !

From the avenue : Ron Rash signe avec Par le vent pleuré une perle noire dont la construction romanesque est méticuleusement soignée et participe grandement à sa réussite.

AmericaPolyphony : Le tableau d’ensemble est très réussi, subtil, à la fois impressionniste et expressionniste.

Bob polar express : Sans jamais aguicher il émeut et peut bouleverser les cœurs émoussés.

Black novel 1 : Incontestablement, ce roman est à classer aux cotés des meilleurs Thomas H.Cook. Et ce n’en est pas une pâle copie mais une déclinaison avec le style propre à l’auteur.

Le blog du polar de Velda : Ron Rash offre avec Dans le vent pleuré un roman plus paisible en apparence que ceux qui l’ont précédé et qui ont fait sa réputation.

Tu vas t’abimer les yeux : Si l’intrigue est assez convenue, l’auteur est vraiment doué pour faire renaître cette petite ville des Appalaches de 1969, préservée de toutes les mutations de l’époque, et pour peindre avec une certaine tendresse le portrait d’un homme abîmé par la vie.

Actu du noir : Peut-être parce que ce roman est moins âpre que ceux que j’avais lus avant, parce qu’il évoque, dans une coloration sépia, des moments heureux, une innocence perdue. Parce que les allers retours en présent et passé sont imbriqués comme ceux de Cook …

Marc Villard (blog) : Ron Rash a publié Le monde à l’endroit. Chef d’oeuvre. Alors avec celui-ci on redescend sur le plancher des vaches. Finalement, Rash est comme tous les écrivains. Il peut aussi faire des livres ordinaires.

Bonnes feuilles et mauvaise herbe : L’écriture est limpide et direct et le récit porté à l’épure par le talent de Ron Rash. Un superbe roman.

Fragments de lecture : Au delà de l’intrigue, c’est avant tout un roman sur les choix que l’on prend et qui déterminent votre vie.

Trois ou quatre livres : Regard affûté de l’auteur, qui ne ménage ni ses personnages ni la société, écriture efficace : cela donne un roman bien construit et agréable à lire. L’histoire, noire, est menée avec poésie sur fond de rivière bordée de rhododendrons.

Unwalkers : Bravo !!! le petit Ron Rash réussit sa rentrée parfaitement, rien que le premier chapitre vaut son pesant d’or...

The killer inside me : Ce n’est pas aussi jouissif que dans les précédents romans. Mais, car il y a un mais, il n’empêche que c’est Ron Rash à la plume et quelques pages de Par le vent pleuré retournent les tripes juste ce qu’il faut.

Le blog de mimi : Par le vent pleuré, n’est pas, à mon sens son meilleur roman. Je l’ai trouvé plus rapide que les autres.

Cannibales lecteurs : Sans être le livre le plus impressionnant ni le plus complexe de Ron Rash, Par le vent pleuré fait très belle figure dans son œuvre, et confirme s’il en est besoin la place incontestable que le romancier occupe dans les lettres américaines.

Action-suspens : La qualité supérieure de l’écriture de Ron Rash n’est plus à démontrer, il suffit d’avoir lu n’importe lequel de ses précédents titres pour s’en convaincre. Ici, elle s’exprime entre autres par la forme stylistique passé-présent...

Nyctalopes : Fidèle à sa réputation justifiée, Ron rash offre, à nouveau et qui pourrait encore en douter, un roman magnifique d’humanité, d’une écriture et d’une construction virtuoses qui l’installent définitivement comme un grand écrivain de son époque.

Encore du noir : Tout cela fait de Par le vent pleuré, un très beau livre qui n’a certes peut-être pas la force d’une partie des autres romans de Ron Rash, un peu coincé entre la nouvelle dangereusement étirée et le roman limité par un sujet ...