Podcasts littéraires ""Comme beaucoup de juifs américains j’ai une relation compliquée avec Israël", Jonathan Safran Foer"

Le temps des écrivains : 14 octobre 2017

durée : 00:58:43 - Le temps des écrivains - par : Christophe Ono-Dit-Biot - Le romancier américain Jonathan Safran Foer est l’invité de Christophe Ono dit Biot à l’occasion de la parution de &quot ;Me voici&quot ; aux éditions de L’Olivier. - réalisé par : Anne-Laure Chanel

Me voici de Jonathan Safran Foer

Ce roman édité par L’Olivier est apprécié par la blogosphère.

Book’ing : Paradoxalement, l’une des plus grandes qualités de ce roman foisonnant en est aussi sa limite.

La viduité : Les récits spéculatifs quand ils ne sont pas illustration d’une belle incertitude spirituelle donne à voir un très joli flottement narratif.

Les mots de la fin : Me voici est un roman impressionnant opulent spirituel émaillé de dialogues percutants. Comme tout pavé – 741 pages -, certains passages pâtissent de l’attention du lecteur mais celle-ci est toujours ravivée.

Journal d’une lectrice : Le tout n’est pas exempt de longueurs et semble parfois partir un peu dans tous les sens, mais c’est un labyrinthe si brillant et si profond qu’on s’y égare avec le plus grand bonheur.

Tu vas t’abimer les yeux : Un pari risqué, mais réussi à mes yeux !

En lisant en voyageant : En abordant ce pavé de 740 pages, le lecteur qui connaît (un peu) l’auteur se doute qu’il y aura du copieux et du non linéaire, et que l’effort demandé sera récompensé.

La Croix : Jonathan Safran Foer, écrivain new-yorkais très en vogue, explore la transmission père-fils sur quatre générations dans l’intimité d’une famille juive sur le point d’exploser.

Cunéipage : Un roman qui ne ressemble à aucun autre et dont il est impossible de parler sans dévoiler une part de son âme – ce à quoi je ne me risquerai pas. Une merveille.

Télérama : Un sommet de sagacité… et de drôlerie sur la corrosion des sentiments.