Podcasts littéraires "Kaouther Adimi, Olivier Guez, MC Solaar et Paul Wamo"

Librairie francophone : 11 novembre 2017
durée : 00:54:24 - La Librairie francophone - par : Emmanuel KHERAD - Aujourd’hui, dans la Librairie francophone, deux romans saisissants et une halte en Nouvelle-Calédonie. - réalisé par : Henri-Marc MUTEL
La disparition de Josef Mengele de Olivier Guez
Ce roman édité par Grasset est apprécié par la blogosphère.Les fanas de livres : C’est très intéressant de voir non seulement comment un homme aussi recherché peut échapper à la justice, mais aussi quels sont les arrangements diplomatiques et les choix gouvernementaux concernant la recherche des anciens nazis.
Fragments de lecture : Olivier Guez prouve que tout sujet peut être traité, et que même les pires monstres de l’Histoire peuvent devenir des personnages à défaut d’être des héros de roman.
Carobookine : Ce qu’il y a de plus terrible dans ce roman finalement, c’est qu’on se rend compte que, quoi qu’il ait pu faire, « l’ange de la mort » du camp d’Auschwitz, le monstre qui estimait ses relations au nombre de victimes faites pendant la guerre, n’était pas un sur-homme.
Ca va mieux en l’écrivant : Je ne cache pas que la lecture des souffrances et des tourments de Mengele y a contribué. J’imagine que l’auteur a ressenti le même plaisir en les décrivant. Les histoires où les méchants sont punis, ça fait toujours du bien.
Charybde 27 : Il manque sans doute à ce roman un petit quelque chose de fort et de magique pour emporter vraiment pleinement l’adhésion ...
Shangols : Guez, dans cette enquête de belle facture sur l’un des plus ignobles bouchers du Reich, nous faire ressentir à quel point, à aucun moment, l’homme a la volonté remettre en question ses actes passés.
Mots pour mots : Je reste sur mon sentiment de malaise, plus encline à conseiller le livre des Klarsfeld à quiconque voudrait avoir une vision plus exhaustive des enjeux de ces traques pour l’avenir de l’humanité.
Le blog de mimi : Une lecture à la fois instructive et agréable, sur le forme, j’entends, mais révoltante sur le fond devant tant d’occasions manquées et d’hypocrisie.
Sur la route de Jostein : D’une belle écriture littéraire, Olivier Guez propose davantage une enquête. Certes passionnante, juste et bien documentée. Mais le sujet reste difficile et le personnage si détestable que je ne serais pas allée naturellement vers ce roman.
Lire au lit : Un texte extrêmement documenté, un récit haletant qui nous fait vivre la période de l’après-guerre en Amérique latine, la fuite de ces démons qui vont espérer retrouver ailleurs un nouvel Eldorado.
La Croix : Sous la plume alerte et précise d’Olivier Guez, on retrouve Joseph Mengele en Argentine.
Libération : La prouesse d’Olivier Guez est d’être parvenu à s’imprégner d’une documentation considérable, enrichie d’enquêtes dans les différents pays d’Amérique du Sud utilisés comme caches par le fuyard, tout en donnant un souffle romanesque à son récit.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : Au bout du compte, et si l’on pourrait disserter des jours sur les contours de ce genre littéraire, je me dis que si ce récit n’avait pas été estampillé « roman », je ne l’aurais sans doute pas lu... et, très honnêtement, ça aurait été dommage.
Les lectures du mouton : Un parcours étonnant, révoltant, mené tambour battant, à mi-chemin entre le roman et l’essai historique que je ne peux que vous conseiller de lire !
Les livres de Joëlle : J’ai trouvé ce récit, qui tient à la fois du document et du roman, passionnant et instructif.
Tu vas t’abimer les yeux : Le livre d’Olivier Guez est présenté comme un roman mais il est très informatif et écrit d’une manière plus journalistique que littéraire – même si quelques paragraphes dont plus lyriques – si bien que je l’ai plutôt appréhendé comme un document.
Tête de lecture : D’une certaine façon, Olivier Guez dépouille le mythe : aucun charisme en lui, aucune aura. L’Ange de la mort était juste un pauvre type.
Nos richesses de Kaouther Adimi
Ce roman édité par Seuil est apprécié par la blogosphère.Les fanas de livres : J’ai aimé le rythme apporté par le mélange entre les extraits de journal intime et l’histoire contemporaine d’un étudiant ayant pour mission de vider la librairie.
Coin lecture de Nath : J’ai dévoré cette petite merveille. La plume est fluide, c’est passionnant. Je ne connaissais pas Edmond Charlot, un éditeur passionnant, il m’a vraiment captivée.
Le site de Carmen Robertson : J’adore ces romans qui n’en sont pas réellement, solidement documentés (comme en fait foi la bibliographie), qui ravivent des époques, des lieux, des gens autrement inaccessibles
Ca va mieux en l’écrivant : Un livre qui parle de livres, une écriture maîtrisée, une lecture inattendue et plaisante : un moment d’enrichissement.
Zazymut : Ce bouquin est un hymne à la littérature, aux livres, à la connaissance, l’ouverture aux autres, l’amitié qui pourraient bien être nos vraies richesses.
Libération : Le roman se dévore à la vitesse de l’éclair et l’on retient son souffle au fil des pages quant à l’issue réservée à ce lieu, comme l’on suit le fil des riches heures d’Edmond Charlot.
Bonnes feuilles et mauvaise herbe : Kaouther Adimi rend un hommage émouvant à la littérature, à ceux et celles qui l’a font, la défende, dans sa diversité et ses multiples voix.
Sylire : Des bémols mais un roman à découvrir toutefois.
Tu vas t’abimer les yeux : J’ai trouvé cette lecture très intéressante sur le plan historique mais aussi très plaisante pour cette passion pour la littérature qu’elle communique.
Wodka : On comprend l’idée de l’auteure, née en 1986 à Alger. Mais la part romanesque de son récit reste la plus maladroite.
Les élucubrations de fleur : Mon avis est donc mitigé, même si j’ai passé un agréable moment en lisant Nos richesses.
Les chroniques de Koryfée : Si j’ai été très intéressée par l’histoire de cette librairie, sa génèse, son envol, sa disparition, je ne suis pas parvenue à me laisser emporter par le roman...
La Croix : Kaouther Adami fait revivre dans l’Alger d’aujourd’hui une grande aventure intellectuelle de la ville au siècle dernier.
Lecturissime : Kaouther Adimi a voulu rendre hommage à cet homme emblématique de la vie culturelle algérienne, mais son roman manque de souffle...
Les livres de Joëlle : Ce roman est un bel hommage aux livres, aux libraires et aux éditeurs. Par contre, en ce qui concerne l’évocation de l’Algérie, il est loin pour moi d’avoir la même envergure que le roman d’Alice Zeniter qui situe également son récit pour partie en Algérie.
Les lectures du mouton : Le tour de force de Kaouther Adimi est d’avoir su mêler la fiction à la réalité dans son roman.
Shangols : Un beau livre simple et lumineux, à acheter en priorité au "Haut Quartier" pour perpétuer la mémoire du grand Edmond Charlot.
Le blog de mimi : Si son précédent ouvrage "Des pierres dans ma poche" m’avait moins intensément marqué, "Nos richesse " aura intimement titillé la bibliophile et la défenderesse des vraies librairies que je suis.
Cannibales lecteurs : Kaouther Adimi signe un troisième livre passionnant, puissant, intensément vivant, qui saisit l’histoire algérienne par le prisme de la littérature et de la culture.
L’or des livres : Ce joli conte aux personnages attachants narré par Kaouther Adimi avec l’humour, la fantaisie et la poésie si caractéristiques de son écriture, dessine en parallèle un émouvant portrait d’Alger, de cette ville aimée où elle a grandi pendant les années noires...
Sur la route de Jostein : Kaouther Adimi nous embarque dans la passion d’Edmond Charlot et nous donne envie de se rendre dans ces ruelles en pente qui conduisent au 2bis rue Hamani pour vivre de plus près la magie des lieux.
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