Palmarès littéraire 1918
Le palmarès littéraire 1918 de Bibliosurf recense plus de 2 parutions marquantes de l’année. Vous y trouverez les romans incontournables de la rentrée littéraire 1918, les ouvrages déjà distingués par des prix littéraires, ainsi que les coups de cœur de la critique et de la blogosphère. Ce panorama met aussi en lumière les auteurs disparus en 1918, dont l’héritage continue d’inspirer le monde des lettres. Qu’il s’agisse de découvrir de nouveaux écrivains, de suivre les grandes tendances éditoriales ou d’explorer les nouveautés les plus commentées, ce classement offre une vision vivante et actualisée de l’actualité du livre.
FAQ
Quels romans ont obtenu le plus de prix littéraires en 1918 ?
Les romans les plus primés sont :
Mon vrai nom est Elisabeth de
Adèle Yon
Un perdant magnifique de
Florence Seyvos
La Maison vide de
Laurent Mauvignier
Cliquez sur ce lien pour accéder à tous les prix de l'année 1918.
Quels sont les premiers romans les plus marquants ?
Les premiers romans les plus marquants sont :
Mon vrai nom est Elisabeth de
Adèle Yon
: À travers Betsy, la narratrice rompt le silence familial et répare une absence.
Les Bouchères de
Sophie Demange
: Plusieurs avis parlent d’un récit jubilatoire, jouissif, parfois gore et déjanté, tendu jusqu’au rebondissement final.
Quatre jours sans ma mère de
Ramsès Kefi
: La présence d’Archie et des copains, l’exil tunisien des parents et le quartier lui-même nourrissent l’enquête et la métamorphose de Salmane.
La bonne mère de
Mathilda Di Matteo
: Le récit glisse de l’idylle à la critique sociale et à une conscience féministe, avec des personnages féminins inoubliables.
Quels sont les meilleurs romans 1918 ?
Les romans les plus appréciés et commentés sont :
Le Chant du prophète de
Paul Lynch
: Certains parlent d’une expérience inoubliable, et l’ouvrage a été récompensé par le Booker Prize.
Bleus, Blancs, Rouges de
Benjamin Dierstein
: Ce premier tome d’une trilogie prometteuse est à la fois un polar politique et une satire mordante des années Giscard.
Rares ceux qui échappèrent à la guerre de
Frédéric Paulin
: Le livre est décrit comme instructif et passionnant, sans simplifications.
J’emporterai le feu de
Leïla Slimani
: Le récit, à la fois intime et universel, se distingue par sa profondeur mélancolique et sa capacité à captiver le lecteur jusqu’à la dernière page.
Les principaux accès
Auteur.es à la une en 1918
Mon vrai nom est Elisabeth de Adèle Yon. À travers Betsy, la narratrice rompt le silence familial et répare une absence.
Bleus, Blancs, Rouges de Benjamin Dierstein. Ce premier tome d’une trilogie prometteuse est à la fois un polar politique et une satire mordante des années Giscard.
Le Chant du prophète de Paul Lynch. Certains parlent d’une expérience inoubliable, et l’ouvrage a été récompensé par le Booker Prize.
Henua de Marin Ledun. Le décor révèle les conséquences de la colonisation, le spectre des essais nucléaires et les dérives d’un capitalisme prédateur, au sein d’un regard humaniste parfois teinté d’éco-féminisme.
Panorama des romans les plus appréciés sur le web en 1918
Ce tableau vous permet de découvrir les romans qui font le plus parler d’eux : triez par auteur, par maison d’édition ou par indice de présence en ligne.
Titre | Auteur | Éditeur | Date | Genre | Note | Avis | |
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L’étang | Bennett, Claire-Louise | L’Olivier | 04/01/1918 | roman | 3 | 3 |