Podcasts littéraires "L’écrivain français Hervé Le Corre"

Littérature sans frontières : 29 janvier 2017
Auteur de romans noirs, Hervé Le Corre a publié une dizaine de livres, dont L’Homme aux lèvres de Saphir (Prix Mystère de la critique), Les Coeurs déchiquetés (Grand prix de littérature policière) ainsi que Après la guerre (Prix du Polar européen du Point), une fresque historique située dans la ville de Bordeaux qu’il connaît bien.Hervé Le Corre revient avec une histoire contemporaine et brûlante intitulée Prendre les loups pour des chiens, aux éditions Rivages."Franck, environ 25 ans, (…)
Prendre les loups pour des chiens de Hervé Le Corre
Ce roman policier édité par Rivages est très apprécié par la blogosphère.Black novel 1 : Et c’est probablement, à mon avis, le meilleur roman de la part d’un des meilleurs auteurs de romans noirs français.
jack is back again : Hervé Le Corre aime et surtout s’entend à créer des atmosphères oppressantes et anxiogènes.
Fondu au noir : Comment formuler une déception ?| Faut-il se taire quand un auteur dont les romans vous ont tant plu fait un raté ?
Black roses for me : Restent dans la bouche un goût de cendre et des scènes que l’enfermement moite rend éprouvantes, qui ne sont pas sans rappeler Canicule de Jean Vautrin.
Collectif polar : Hervé Le Corre nous revient avec un roman noir magistral.
D’une berge à l’autre : Un roman où la bestialité le dispute à la sauvagerie, où s’exacerbent le désir et la brutalité. Dans une langue simple et directe comme un uppercut qui vous cueille au menton et vous laisse KO pour le compte.
L’Express avec Lire : A la mécanique du thriller qui aime bien rajouter de l’huile dans les rouages, Hervé Le Corre préfère les grincements rageurs, les perdants à la poursuite de leur enfance, les belles filles dangereuses, à la fois toxiques et tragiques.
Mon roman ? Noir et bien serré ! : Hervé Le Corre a opté, cette fois-ci, pour la mise en scène d’un drame contemporain se déroulant dans l’intimité d’un cadre familiale où le piège s’installe impitoyablement pour broyer les différents protagonistes.
A l’ombre du noyer : Parfaitement maîtrisé, ce polar est de nouveau de très haute volée et d’une grande qualité. L’auteur confirme une nouvelle fois qu’il est un acteur majeur de ce domaine en France.
Trois ou quatre livres : L’écriture convoque les sens chez le lecteur : on souffre de la chaleur, de cette indolence qu’elle entraîne. Le réalisme nous entraîne et l’air devient irrespirable. Vraiment, un bon roman.
Shangols : Le Corre décrit les ciels, la nuit, la forêt, avec un certain allant, ce qui permet de patienter devant le scénario qui met des plombes à exploser.
Quatre sans quatre : Prendre les loups pour des chiens est indiscutablement un extraordinaire roman noir qui sue le sordide par tous les pores...
Le blog de Demosthène : Prendre les loups pour des chiens est un roman noir vous l’aurez devinez, beau et sincère, qui va droit au cœur, sans concessions et un peu douloureusement je dois dire. Entre l’ombre et la lumière l’auteur nous ballote sans ménagement.
Psych3desLivres : C’est sec, la gorge gratte, pour l’océan et les vacanciers qui s’amusent au loin, il faudra repasser !!!!
Tasha’s books : Du country noir, je ne sais, mais du très grand noir, ça oui, j’en suis certaine.
Actu du noir : Des dizaines de polars sont construits sur ce schéma, beaucoup sont sans intérêt, quelques-uns, dont Prendre les loups pour des chiens sont magnifiques. Pourquoi ?
Lire au lit : Je viens d’achever ce roman noir et si je me sens peut-être un peu moins enthousiaste que certains, je reconnais que ce livre a des qualités littéraires évidentes.
Action-suspens : Un roman noir de très belle qualité, dense et implacable, dans la meilleure veine de ce genre littéraire.
Le blog du polar de Velda : Hervé Le Corre nous donne là un roman noir de la plus belle eau, et démontre à ceux qui n’en étaient pas encore convaincus que la littérature se moque bien des querelles de genre.
Télérama : On pense également à certains auteurs américains, peintres des terres oubliées, des paumés et des vaincus, à leurs histoires sauvages, à leur poésie sèche, Larry Brown par exemple.
Libération : Il a une telle façon de décrire la solitude, l’abandon, la misère sociale, affective ou économique que l’on ressort essoré de ses récits, la gorge nouée par tant de noirceur.
L’Obs : Son regard sans emphase ouvriériste, mais sans vacherie non plus, sur des personnages qui peuvent se montrer ahuris ou impitoyables fait qu’ils ne sont jamais regardés de haut
Nyctalopes : Hervé Le Corre est maître de son art et offre à l’amateur de polars, un roman noir qui n’est pas prêt d’être égalé en qualité d’écriture comme en émotion.
The killer inside me : Il y a énormément de classe, une nouvelle fois, dans ce roman.
Encore du noir : Il y a dans Prendre des loups pour des chiens une sorte de quintessence du roman noir qui rappelle incontestablement parfois Jim Thompson sans en être une resucée.
Journal du dimanche : L’auteur a fait court et dur, puissant et cinglant. Prendre les loups pour des chiens, un hommage au style du Noir, très noir.
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