Podcasts littéraires "L’écrivain français Tanguy Viel"

Littérature sans frontières : 19 février 2017
Tanguy Viel est né en 1973 à Brest. Il publie son premier roman Le Black Note en 1998, aux Editions de Minuit, où paraissent aussi Cinéma (1999), L’Absolue perfection du crime (2001), Insoupçonnable (2006), Paris-Brest (2009), La Disparition de Jim Sullivan (2013). Pensionnaire de la Villa Médicis en 2003-2004, il a obtenu le prix Fénéon et le prix de la Vocation pour L’Absolue perfection du crime.Son nouveau roman s’intitule Article 353 du Code pénal.« Pour avoir jeté à la mer le (…)
Article 353 du Code pénal de Tanguy Viel
Ce roman policier édité par Minuit est très apprécié par la blogosphère.Jeanne Desaubry : Avant de vous laisser noyer par le torrent de la rentrée, prenez le temps de lire celui-ci. Son intelligence, sa force, sa grande humanité, l’absence d’affectation dans la peinture de la France d’en bas…
Trois ou quatre livres : A lire pour un récit profondément humain et pour une narration parfaitement maîtrisée !
Le blog de Yv : Tanguy Viel use des codes du polars en ménageant ses effets et du suspense quant au devenir de Kermeur et aux diverses actions des uns et des autres jusqu’à l’acte ultime.
Bricabook : Roman social sur fond noir de polar, voici un récit sur la complexité de l’âme humaine, sur ses tréfonds, mais aussi sa candeur.
Coin lecture de Nath : Je l’ai lu d’une traite, retenant mon souffle à l’approche du dénouement final. Excellent roman. Un très grand livre couronné par le Grand Prix Lire de RTL.
Tu vas t’abimer les yeux : Tanguy Viel nous raconte l’histoire d’une escroquerie, menée par un manipulateur qui au lieu de s’enfuir, reste sur les lieux de son crime. Une histoire racontée de manière addictive par Martial Kerneur et qui m’a complètement ferrée.
Les fanas de livres : Ce qui est prenant dans ce livre, c’est la force du discours de Martial, la tension qui augmente petit à petit, l’ineluctable qui se profile. Sans être voyeur, on est à l’écoute, on comprend.
Sur la route de Jostein : Difficile de ne pas être indigné, révolté, touché par ce récit.
Les livres de Joëlle : J’ai aimé la très belle écriture de Tanguy Viel, son goût des détails et sa façon de décortiquer les relations humaines et familiales.
A l’ombre du noyer : Tanguy Viel excelle. Il maîtrise parfaitement son art de romancier et nous offre un superbe roman qui est un des meilleurs que j’ai lu depuis longtemps.
Les lectures du mouton : J’ai été emportée par ce roman au rythme soutenu, qui enchaîne les événements au fil de la parole qui se libère de Kermeur. Une très belle découverte que je vous conseille chaudement.
Lire au lit : Magistral et terrible !
La mer pour horizon : Tanguy Viel ne juge pas. Il regarde, comme le juge, ces hommes essayer de surnager, se laisser « rouler » par de mauvais rêves
La Croix : Roman noir dans tous les sens du terme, Article 353 du code pénal ménage un suspense dont la délicatesse s’appuie sur l’amplitude croissante du récit de son personnage.
Cinéphile m\’était conté ... : Une chose est certaine : Tanguy Viel n’a jamais été aussi maître de son art de romancier.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : Après avoir entendu au Masque des critiques très contrastées de ce livre, et à l’écoute en particulier de la joute verbale ayant opposé Jérôme Garcin à Arnaud Viviant, au meilleur de leur numéro de duettistes qui m’a fait hurler de rire, j’ai couru chez mon libraire préféré...
Mots pour mots : Article 353 du code pénal est un livre implacable, maîtrisé de bout en bout d’une écriture précise et tenue
Le Temps : Tout se passe comme si, dans « Article 353 du code pénal », une gravité nouvelle s’était emparée d’un romancier qui ne sacrifie rien de ses talents.
Shangols : Un roman qui passe comme de rien, très modeste dans l’écriture et en même temps ambitieux dans le fond, encore une fois un travail sans tâche de notre bon Tanguy Viel.
Mic Mélo : Quelle réussite que ce dernier roman, assez court et qui s’avale d’une traite, quel plaisir de retrouver le Tanguy Viel que j’aime, une ambiance bizarre, une Bretagne très présente avec ses vents, ses marées, ses bateaux...
From the avenue : Tanguy Viel est un des rares écrivains dont j’achète les livres à leur sortie les yeux fermés. Une fois de plus, j’ai été saisi par son écriture qui lui est si propre.
Les carnets du Pr. Platypus : C’est un roman de pure mécanique, comme certains livres d’Echenoz, et le plaisir se situe justement dans cette perfection du récit.
Libération : Sept romans en vingt ans avec toujours la même écriture à la fois déliée et incisive et autant de propositions littéraires différentes
L’Obs : Ce roman noir sous couverture blanche est un polar social où le désabusement tient lieu de suspense, une tragédie humaine déguisée en thriller maritime...
Télérama : Puissant roman d’un auteur passé maître dans l’usage de toutes les nuances de gris.
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