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Podcasts littéraires "Le masque et la plume littérature"

Le masque et la plume : 12 mars 2017

« Inhumaines », P. Claudel /« Baïkal-Amour », O. Rolin/« Un saint homme », A. Wiazemsky/« Prendre les loups pour des chiens », H. Le Corre/« VIP », L. Chalumeau


Prendre les loups pour des chiens de Hervé Le Corre

Ce roman policier édité par Rivages est très apprécié par la blogosphère.

Black novel 1 : Et c’est probablement, à mon avis, le meilleur roman de la part d’un des meilleurs auteurs de romans noirs français.

jack is back again : Hervé Le Corre aime et surtout s’entend à créer des atmosphères oppressantes et anxiogènes.

Fondu au noir : Comment formuler une déception ?| Faut-il se taire quand un auteur dont les romans vous ont tant plu fait un raté ?

Black roses for me : Restent dans la bouche un goût de cendre et des scènes que l’enfermement moite rend éprouvantes, qui ne sont pas sans rappeler Canicule de Jean Vautrin.

Collectif polar : Hervé Le Corre nous revient avec un roman noir magistral.

D’une berge à l’autre : Un roman où la bestialité le dispute à la sauvagerie, où s’exacerbent le désir et la brutalité. Dans une langue simple et directe comme un uppercut qui vous cueille au menton et vous laisse KO pour le compte.

L’Express avec Lire : A la mécanique du thriller qui aime bien rajouter de l’huile dans les rouages, Hervé Le Corre préfère les grincements rageurs, les perdants à la poursuite de leur enfance, les belles filles dangereuses, à la fois toxiques et tragiques.

Mon roman ? Noir et bien serré ! : Hervé Le Corre a opté, cette fois-ci, pour la mise en scène d’un drame contemporain se déroulant dans l’intimité d’un cadre familiale où le piège s’installe impitoyablement pour broyer les différents protagonistes.

A l’ombre du noyer : Parfaitement maîtrisé, ce polar est de nouveau de très haute volée et d’une grande qualité. L’auteur confirme une nouvelle fois qu’il est un acteur majeur de ce domaine en France.

Trois ou quatre livres : L’écriture convoque les sens chez le lecteur : on souffre de la chaleur, de cette indolence qu’elle entraîne. Le réalisme nous entraîne et l’air devient irrespirable. Vraiment, un bon roman.

Shangols : Le Corre décrit les ciels, la nuit, la forêt, avec un certain allant, ce qui permet de patienter devant le scénario qui met des plombes à exploser.

Quatre sans quatre : Prendre les loups pour des chiens est indiscutablement un extraordinaire roman noir qui sue le sordide par tous les pores...

Le blog de Demosthène : Prendre les loups pour des chiens est un roman noir vous l’aurez devinez, beau et sincère, qui va droit au cœur, sans concessions et un peu douloureusement je dois dire. Entre l’ombre et la lumière l’auteur nous ballote sans ménagement.

Psych3desLivres : C’est sec, la gorge gratte, pour l’océan et les vacanciers qui s’amusent au loin, il faudra repasser !!!!

Tasha’s books : Du country noir, je ne sais, mais du très grand noir, ça oui, j’en suis certaine.

Actu du noir : Des dizaines de polars sont construits sur ce schéma, beaucoup sont sans intérêt, quelques-uns, dont Prendre les loups pour des chiens sont magnifiques. Pourquoi ?

Lire au lit : Je viens d’achever ce roman noir et si je me sens peut-être un peu moins enthousiaste que certains, je reconnais que ce livre a des qualités littéraires évidentes.

Action-suspens : Un roman noir de très belle qualité, dense et implacable, dans la meilleure veine de ce genre littéraire.

Le blog du polar de Velda : Hervé Le Corre nous donne là un roman noir de la plus belle eau, et démontre à ceux qui n’en étaient pas encore convaincus que la littérature se moque bien des querelles de genre.

Télérama : On pense également à certains auteurs américains, peintres des terres oubliées, des paumés et des vaincus, à leurs histoires sauvages, à leur poésie sèche, Larry Brown par exemple.

Libération : Il a une telle façon de décrire la solitude, l’abandon, la misère sociale, affective ou économique que l’on ressort essoré de ses récits, la gorge nouée par tant de noirceur.

L’Obs : Son regard sans emphase ouvriériste, mais sans vacherie non plus, sur des personnages qui peuvent se montrer ahuris ou impitoyables fait qu’ils ne sont jamais regardés de haut

Nyctalopes : Hervé Le Corre est maître de son art et offre à l’amateur de polars, un roman noir qui n’est pas prêt d’être égalé en qualité d’écriture comme en émotion.

The killer inside me : Il y a énormément de classe, une nouvelle fois, dans ce roman.

Encore du noir : Il y a dans Prendre des loups pour des chiens une sorte de quintessence du roman noir qui rappelle incontestablement parfois Jim Thompson sans en être une resucée.

Journal du dimanche : L’auteur a fait court et dur, puissant et cinglant. Prendre les loups pour des chiens, un hommage au style du Noir, très noir.


Un saint homme de Anne Wiazemsky

Ce roman édité par Gallimard est apprécié par la blogosphère.

Lire au lit : Une magnifique histoire d’amour, un don de soi à l’autre, un sentiment que l’on porte toute sa vie au fond de son cœur, quoi qu’il arrive…

L’Obs : C’est sans s’exalter et dans un style païen, comme si elle voulait seulement prolonger leur conversation post-mortem, qu’Anne Wiazemsky fait revivre ce prêtre disparu ...

Cinéphile m\’était conté ... : Un ange tutélaire, ce "Saint homme", pour un livre dont le plus grand défaut est la brièveté.

Télérama : Cela s’appelle l’amour, et Anne Wiazemsky restitue à merveille le mystère de cet attachement qui a porté ces deux êtres vers ce qu’ils pouvaient donner de meilleur.


Baïkal-amour de Olivier Rolin

Ce récit édité par Paulsen est apprécié par la blogosphère.

Télérama : Ce qui, en Russie, aimante Olivier Rolin, c’est la conjonction entre l’espace incommensurable et l’empreinte poignante qu’y a laissée l’Histoire...

L’Express avec Lire : Une plongée dans l’histoire et la géographie de ces territoires si souvent évoqués par Soljenitsyne, Chalamov, Colin Thubron...

La Croix : Traversant l’immensité de la Russie éternelle, à bord du Baïkal-Amour, Olivier Rolin constate que les traces du Goulag ne s’effacent pas.

La bibliothèque de Delphine-Olympe : Avec Rolin, le monde est un ensemble de signes que chacun déchiffre à l’aide de ses propres connaissances, souvenirs, expériences et surtout de ses réminiscences littéraires.


Inhumaines de Philippe Claudel

Ce roman édité par Stock est peu apprécié par la blogosphère.

Livrogne : L’auteur nous assomme de son amertume quant à la dégringolade de la société actuelle, mais plutôt que nous guider vers des solutions pour retrouver la quiétude, ou à tout le moins un peu de sérénité, il se renfrogne...

Le boudoir de Nath : A la façon d’un Montesquieu ou d’un Voltaire, l’auteur appelle le lecteur à réfléchir, à reprendre le pouvoir, à se regarder et à cesser de céder à l’appel des sirènes du spectacle de divertissement offert par une société surmédiatisée.

A l’ombre du noyer : S’éloignant de la « bienpensance » actuelle, dépassant allègrement toutes les bornes de la bienséance, Philippe Claudel « agresse », « violente », choque délibérément son lecteur.

L’Obs : C’est réussi. Son livre est débectant. Pas pour ce qu’il raconte, mais pour ce qu’il augure

Shangols : Claudel plonge très loin dans la noirceur, mais reste à distance, et nous offre un cauchemar ricanant très cathartique, qui nous permet de mettre à plat nos belles pensées bobo du début de XXIème siècle.


VIP de Laurent Chalumeau

Ce roman policier édité par Grasset est apprécié par la blogosphère.

Sur mes brizées : Bref, ça fonctionne, on est accroché de bout en bout, on se demande si oui ou non la vérité pourra être révélée par un flic/un juge/un journaliste et on applaudit au dénouement, très bien vu.

Black roses for me : Quand c’est Chalumeau qui s’emploie, avec délectation, à passer à la moulinette les relations ambiguës entre journalistes et élus, à démonter les mécanismes qui poussent les deux univers à cohabiter, ça donne un roman jubilatoire, drôle à pleurer....

Encore du noir : Tout cela est mené tambour battant avec un réel talent pour pousser les stéréotypes juste assez loin pour ne pas tomber dans la grosse caricature. C

Cunéipage : Un nouveau roman de Laurent Chalumeau, c’est toujours réjouissant. Sa gouaille et son rythme emportent complètement le lecteur, c’est reconnaissable entre mille et je trouve ça irrésistible.

La Croix : La leçon de VIP, roman réaliste et moraliste, est on ne peut plus actuelle : ce n’est pas le délit qui cause la perte mais les efforts pour le cacher.







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