Podcasts littéraires "La romancière franco-iranienne Maryam Madjidi"

Littérature sans frontières : 21 mai 2017
Maryam Madjidi, née en 1980 à Téhéran, a quitté l’Iran avec sa famille à l’âge de six ans pour vivre à Paris. Aujourd’hui, elle enseigne le français à des mineurs étrangers isolés, après l’avoir enseigné à des collégiens et lycéens de banlieue puis des beaux quartiers, des handicapés moteur et psychiques, des étudiants chinois et turcs, et des détenus. Elle a vécu quatre ans à Pékin et deux ans à Istanbul.Elle vient de publier Marx et la poupée, publié par Le Nouvel Attila, couronné par le (…)
Marx et la poupée de Maryam Madjidi
Ce roman édité par Nouvel Attila est très apprécié par la blogosphère.Tête de lecture : Le mélange des genres et les identités plurielles sont les moteurs d’une écriture riche et dynamique, qui ne résout pas les contradictions mais les utilise.
Le blog de mimi : On y perçoit l’extrême sensibilité de l’auteur, mais également son humour, sa maturité, mais aussi sa fragilité dans ses deuils de petite fille.
Agathe The Book : Mais… Pourquoi n’avais-je pas lu ce roman avant ? Sublime texte au souffle immense que je vous recommande absolument.
Hannibal le lecteur : Pour le lecteur francophone, difficile de ne pas penser à Marjane Satrapi en lisant Marx et la poupée. Le sujet, le pays d’origine, l’exil forcé, le ton, entre nostalgie, humour et colère… La liste des points communs entre ces deux belles œuvres est longue
Cunéipage : J’ai adoré, conquise par la forme (des éclats qui s’enchaînent sans se suivre forcément) et le fond (l’exil et ses vicissitudes), en passant par la joie de l’enfance, séduite par le charme puissant.
Le site de Carmen Robertson : Dans un aller-retour constant entre le présent et le passé, nous suivons les traces de la jeune Iranienne, fille de parents communistes et activistes dans un pays écrasé sous les lois obscurantistes de l’ayatollah Khomeini et des Gardiens de la révolution.
Les fanas de livres : Une belle leçon sur l’exil et contre les préjugés de la double culture.
Mic Mélo : Un livre d’une finesse et d’une poésie qui laisse sans voix.
Les lectures d’Antigone : Un très beau moment de lecture, particulier, universel, et intime.
Le boudoir de Nath : J’ai été bouleversée par le destin de cette famille, par le lien entre l’enfant et ses parents, par cette grand-mère aux « mains ridées, aux veines saillantes », symbole de la libération et de la liberté d’Etre Soi.
L’Express avec Lire : Comme le raconte Maryam Madjidi dans Marx et la poupée, ses parents lui apprennent à donner ses poupées et à se défaire de tout instinct de propriété. Le choix de Mazarine Pingeot.
Zazymut : Un très bon premier livre à la fois tendre, triste, drôle, original d’une très belle plume, qui se lit d’une seule traite : un petit bonheur de lecture.
Les livres de Joëlle : Je n’avais jamais rien lu d’aussi profond sur l’exil, sur la nostalgie du pays, sur la difficulté à se construire dans une double culture...
L’Express avec Lire : Tour à tour grave, tendre et plein d’humour, il retrace la construction chaotique d’une identité, depuis l’exil à Paris en 1986, avec père et mère.
Garoupe : Un très beau livre donc sur l’exil, la fuite, l’enfance, le déracinement, la mémoire, l’oubli et le souvenir, sur la construction d’une personne à travers diverses épreuves...
Lire au lit : Un très beau texte, sensible et original, mêlant prose des souvenirs, contes et poésies, multiples formes d’expression pour dire l’arrachement, la violence du départ, la coupure de l’exil, la difficulté de renaître ailleurs...
La bibliothèque de Delphine-Olympe : C’est pour tomber sur ce genre de divine surprise que je lis des livres ! Pour éprouver ce délicieux frisson à la découverte de pages pleines de grâce.
Mots pour mots : C’est un livre précieux que nous offre Maryam Madjidi, encore magnifié par le très beau travail d’édition et de direction artistique du Nouvel Attila. Un livre magnifique, touchant, puissant et sensible.
Un dernier livre avant la fin du monde : Française en Iran, Iranienne en France, Maryam Madjidi tente de résoudre le paradoxe douloureux de l’exil et démêle les nœuds d’une identité construite, déconstruite...
Petit carré jaune : Cette fraicheur, cette jeunesse, cette gaieté, sa rédemption, sa force de vie, sa sincérité touchante et sensible, son humanité et sa chaleur. Il y a la beauté, la force des jours et de la vie devant soi.
Charybde 27 : Le premier roman autobiographique de Maryam Madjidi est poignant, tendre et poétique. Il est construit comme un chemin entre deux pays, entre la langue maternelle et la langue de l’exil...
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