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Podcasts littéraires "C'est à lire du 14 mai 2017"

C’est à lire : 14 mai 2017


La daronne de Hannelore Cayre

Ce roman policier édité par Métailié est très apprécié par la blogosphère.

Trois ou quatre livres : C’est caustique, ça a du rythme et c’est cash : bref, c’est trop bien !

Lecturissime : Un roman percutant, marquant qui mérite amplement tous les prix obtenu...

Le Temps : Hannelore Cayre ne vit pas encore de sa plume. Une option cependant envisageable à court terme, si elle continue à nous inonder de chefs-d’œuvre et à en vendre les droits d’adaptation ciné...

Le blog de Yv : J’ai passé un très bon moment, je dois même confesser -merci mon père- une impatience à connaître le final et savoir si Patience s’en sortait ou pas et comment.

Carobookine : Mon libraire me l’avait recommandé et, en refermant le livre, je comprends pourquoi. La Daronne est un polar différent ce que qu’on a l’habitude de lire, très bien écrit et bien ficelé.

Black novel 1 : Il y a tant de choses dans ce roman mais aussi une justesse, un ton véridique, que l’on a l’impression d’entendre une confession.

Tu vas t’abimer les yeux : J’ai adoré ce roman noir porté par une héroïne attachante.

Totalybrune : On ne tombe jamais dans le graveleux ni dans le pathos, l’auteur dépeint juste des faits qui je suis sure est le quotidien de la brigade des stups mais également des familles vivant dans les quartiers dans lesquels se déroulent les trafics.

Ca va mieux en l’écrivant : Une syntaxe parfaite, des tournures empreintes d’humour, des phrases mâtinées d’argot et de mots arabes, tout cela m’a ramené des années en arrière lorsque, adolescent, je passais de San Antonio en San Antonio.

Book’ing : Et on finit par réaliser, en constatant la persistance de ces "bizarreries", qu’Hannelore Cayre ne s’est pas contentée d’écrire un roman noir, mais qu’elle a volontairement pris le parti fortement risqué de mêler les genres, parvenant ainsi à une curieuse osmose entre humour, action et sordide.

Zazymut : Un polar politiquement incorrect, plein d’humour grinçant, d’ironie cinglante, une écriture jubilatoire, vivante, quelque peu provocante.

Lire au lit : C’est très « politiquement incorrect » et j’adore ça !

Bob polar express : Un récit morderne et mordant qui vire au noir.

Télérama : Très juste et extrêmement drôle, ce roman noir bien serré est porté par une vigueur insolente, avec une vraie réflexion sociale et politique.

Encore du noir : Un roman très plaisant qui, sans bouleverser le genre ni être le grand roman que l’on a parfois dit ici ou là, touche juste et se révèle, en ces temps où le politiquement correct rampant ne cesse de gagner du terrain...

Mots pour mots : Vous savez ce qu’il vous reste à faire... Vous verrez, c’est un bon gros kif de lecture qui vous donnera plein de mauvaises idées, et vous n’en aurez même pas honte.

Cathulu : Enfin, une héroïne en colère, amorale et qui ne trouve pas son salut dans l’amooouuuur, voilà qui fait bien fou ! (Plein de femmes fortes d’ailleurs dans ce roman , chacune dans leur genre !).

Journal d’une lectrice : Le tout n’est pas très moral, mais c’est un régal !

Unwalkers : Ce roman est un véritable bol d’air frais, drôle bien que cynique, merveilleusement rafraîchissant, qui se joue de nombreux clichés et rempli de bon sens.

Chez Clarabel : Emballez, c’est pesé. Voici un roman incisif, particulièrement bluffant et au suspense habilement troussé, qui rappelle aussi le bon goût des Chamonix !

Le goût des livres : Un roman que vous ne lâcherez plus quand vous l’aurez commencé et qui vous fera passer un excellent moment.

En lisant en voyageant : Rien ou presque n’est épargné, et c’est souvent l’occasion de réfléchir, par exemple sur la fin de vie et la consommation de drogue !

Cunéipage : Ca tient du miracle, et une fois terminé ce cinquième roman d’Hannelore Cayre je suis allée commander les quatre précédents, parce qu’un coup de foudre littéraire comme ça, c’est rare.

Nyctalopes : Souvent hilarant, « la daronne » est un bon polar bien ficelé et particulièrement roboratif.

Libération : Au regard du reste de la production polar qui abonde en pavés, « la Daronne » est maigre, 172 pages. « La Daronne » est en réalité plein, pléthorique, et autant poignant que bidonnant.

Actu du noir : Un roman d’Hannelore Cayre c’est avant tout un ton, une écriture et un regard. Et les trois sont sacrément acérés.

Marc Villard (blog) : L’écriture est dopée comme son sujet et Hannelore s’amuse avec les mots à chaque coin de phrase.







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