Podcasts littéraires "C'est à lire du 04 juin 2017"

C’est à lire : 4 juin 2017
Quand sort la recluse de Fred Vargas
Ce roman policier édité par Flammarion est très apprécié par la blogosphère.The far side of the blog : Encore une fois, je me laisse aller à chipoter – mais c’est toujours ainsi, quand on place la barre assez haut avec son auteur favori – alors qu’évidemment, j’ai pris un plaisir fou à cette lecture (roman dévoré en deux jours).
Lecturissime : Comme toujours chez Fred Vargas, les personnages sont bien campés et le plaisir des mots se fait sentir avec des dialogues enlevés et spirituels. Un vrai plaisir !
L’Obs : Fred Vargas a en tout cas saisi l’intérêt de jouer sur nos phobies, et les unes de journaux aujourd’hui ne disent pas le contraire.
A l’ombre du polar : Le sport cérébral proposé est un peu chiant, pardon, et la résolution de l’histoire sur trente dernière pages laborieuses témoigne du besogneux du casse-tête.
Trois ou quatre livres : Quand sort la recluse est un polar d’ambiance, où les mots prennent tout leur sens et toute leur importance.
Le Devoir : Une histoire de vengeance meurtrière. On pourrait résumer ainsi le nouveau roman déjà best-seller de celle qu’on se plaît à appeler « la reine du polar français », traduite dans une quarantaine de langues. Mais ce serait réducteur. Et pour cause.
Tu vas t’abimer les yeux : J’ai retrouvé dans « Quand sort la recluse » les qualités qui m’ont fait aimer les livres de Fred Vargas et qui m’ont fidélisée en tant que lectrice
Mon roman ? Noir et bien serré ! : Bien que Fred Vargas s’en défende, il y a désormais, derrière la série Adamsberg, une histoire de gros sous qui s’assortit inévitablement avec un manque de créativité et d’originalité.
Lire au lit : Il n’y a pas que la chaleur qui m’accable ! Non, il y a que je viens de terminer le dernier Vargas et ça, ça veut dire qu’il va falloir que j’attende au mieux un an pour « revoir » Adamsberg, évidemment, et les autres.
Nyctalopes : Elle réussit à nous tenir en haleine jusqu’au bout et nous offre un roman fort qui nous confronte au Mal et résonne longtemps après avoir refermé le livre
Sous les pavés ... la page : Toujours j’ai attendu ses romans avec frénésie et empressement pour me retrouver accablée de devoir attendre encore le suivant. Mais l’envoûtement est là, le charme opère. Toujours.
La bibliothèque de Delphine-Olympe : Une toile savamment tissée, qui m’a une fois de plus prise dans ses rets...
Sur mes brizées : Avec Vargas, on lit des polars (j’en lis peu) mais surtout des romans qui ont leur musique bien à eux et l’entendre à nouveau est un vrai bonheur.
Journal d’une lectrice : Il y a toujours chez Vargas ce formidable mélange de passé et de présent, de rationalité et de poésie, de biologie et d’archéologie.
Cinéphile m\’était conté ... : En d’autres mains, Quand sort la recluse aurait été un salmigondis illisible. Dans celles de Fred Vargas, on ne retient que l’indicible grâce de l’alchimiste.
Bruno Ménétrier : C’est bien là la substantifique moelle des romans de Dame Vargas, une fois qu’on a été piqué, on y revient, accro.
Cathulu : On imagine très bien ce qu’un romancier "classique" aurait fait de cette histoire de vengeance par delà le temps, lui ôtant tout charme et toute poésie. Laissez-vous piéger par Fred Vargas , c’est un pur bonheur !
Journal du dimanche : A partir de là, l’imagination diabolique de Fred Vargas et les surprises d’Adamsberg vont croître et prospérer, le lecteur étant lui-même mordu jusqu’à l’os par un roman policier arachnéen...
La Croix : Ce polar charrie beaucoup de terre, sonde et tamise là où personne ne veut retourner voir, jusqu’à des siècles en arrière.
Télérama : Chez Vargas, attention, ce sont les mots, les idées et les images qui y sont associées qui mènent la danse, font avancer l’enquête et le récit, au fur et à mesure qu’on les décortique, au fil d’une logique ondoyante dont Adamsberg est familier.
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