Podcasts littéraires "Jean-Louis Fournier, Thomas Gunzig et le Tour du Monde de la Francophonie"

Librairie francophone : 16 septembre 2017
durée : 00:53:54 - La Librairie francophone - par : Emmanuel KHERAD - Jean-Louis Fournier, Thomas Gunzig et le Tour du Monde de la Francophonie avec Jean-Charles de Castelbajac, Métin Arditi, Sébastien Folin et Julien Clerc - réalisé par : Henri-Marc MUTEL
La vie sauvage de Thomas Gunzig
Ce roman édité par Au diable vauvert est peu apprécié par la blogosphère.Les livres de Joëlle : J’ai trouvé l’idée de départ intéressante même si j’ai été surprise de l’orientation générale que l’auteur donnait à son histoire car d’une critique de la société européenne le récit vire à une machination complètement machiavélique.
Livrogne : Je ferme ce livre, un peu dubitative… L’histoire semble parfois décousue et remplie de clichés. Dommage
Tête de lecture : D’emblée, on se fiche de savoir si de telles retrouvailles sont possibles. L’important n’est pas la crédibilité du prétexte, mais bien la violence que va subir Charles et le regard qu’il porte sur notre société.
Le Carnet et les Instants : Gunzig s’inscrit dans une longue tradition littéraire et cinématographique. On pense à Rudyard Kipling, François Truffaut et même à la comédie Un indien dans la ville.
Les fanas de livres : Une lecture en demi-teinte.
En lisant en voyageant : Ayant déjà lu deux romans de l’auteur, et bien aimé, j’y allais de confiance.
Mon autopsie de Jean-Louis Fournier
Ce récit édité par Stock est apprécié par la blogosphère.LU cie & co : "Mon autopsie" raconte, scalpel battant, les faits saillants de l’existence de l’auteur en regard des organes examinés, mais finalement rien de sa relation avec la doctoresse Egoïne.
A l’ombre du noyer : Je ne suis certainement pas objectif, c’est rare dans mes billets et je m’en excuse par avance. Mais je ne peux que vous conseiller de passer deux heures sur un banc au soleil, au coin du feu avec un plaid sur le corps ou tout simplement dans les transports.
Les livres de Joëlle : Ce sera donc le premier roman de Jean-Louis Fournier que je n’aurai pas aimé...
Cahiers Attard : Les habitués de cet auteur ne regretteront pas, les nouveaux venus seront charmés, je l’espère.
Blablabla mia : Dans Mon Autopsie Jean-Louis Fournier affirme, encore une fois, son grand appétit de vivre et d’aimer, et ce malgré les coups du sort, les dérapages et les bâtons dans les roues.
Shangols : Son ouvrage se croque comme un petit pain cuit maison et se déguste (conseil du chroniqueur) parfaitement sur la plage (oui, après, en métropole, en octobre... vous n’aviez qu’à choisir votre hémisphère et votre île, aussi).
La Croix : Dans un livre post mortem, Jean-Louis Fournier s’imagine sur le point d’être dépecé pour les besoins de la science, évoquant ce qu’il fut.
Les chroniques de Koryfée : Toute sa vie, J. L. Fournier a voulu faire rire. Et ce nouvel ouvrage, malgré ce que son titre laisserait présager de sombre, ne fait pas exception à la règle.
Cathulu : Une nouvelle fois, l’auteur de La servante du seigneur tend les bras métaphoriquement parlant à sa fille qui s’est éloignée de lui. Une œuvre sensible et touchante qui manie l’humour noir avec dextérité.
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