Podcasts littéraires "Philippe Jaenada, Jeanne Cherhal et Mélanie Chappuis"

Librairie francophone : 16 décembre 2017
durée : 00:55:21 - La Librairie francophone - par : Emmanuel KHERAD - Cette semaine dans la Librairie francophone, une grande enquête dans la France des années 1940, une halte dans une maison d’édition malgache, un roman très féminin et un live de la chanteuse Jeanne Cherhal. - invités : Philippe JAENADA, Jeanne Cherhal, Mélanie Chappuis - Philippe JAENADA pour " ; La Serpe " ; aux éditions Julliard, Prix Femina 2017 Rencontre entre Jeanne CHERHAL et Philippe Jaenada, avec (…)
La Serpe de Philippe Jaenada
Ce roman édité par Julliard est apprécié par la blogosphère.Voyager... lire... : J’ai aimé le regard minutieux sur les crimes, le fait que chaque élément qui semble parfois anodin ait été dépoussiéré, avec en plus beaucoup de dérision et d’humour.
Le site de Carmen Robertson : a démarche de Jaenada est fascinante, son écriture, claire et précise, son humour, imparable. L’histoire, ainsi dépoussiérée, fouillée, interrogée, nous captive tout autant que celles d’un John Le Carré.
Les élucubrations de fleur : Il faut lui reconnaître un vrai travail de structuration du récit, contrairement à ce que pourraient laisser supposer les nombreuses parenthèses et le ton léger de la narration.
En lisant en voyageant : Jaenada (Il existe, je l’ai rencontré) est pote avec des gens que j’aime bien, et de plus il est bourré de talent. Mon manque d’objectivité sera total, mais mon avis en phase avec celui de la blogosphère, alors autant ne pas se retenir bêtement dans les louanges.
Blablabla mia : Bénéficiant d’un travail gigantesque, de personnages hautement romanesques, et du talent indéniable d’un Philippe Jaenada en grande forme, La Serpe mériterait bien, à mon humble avis, un prix...
Coin lecture de Nath : Grosse déception. Un premier gros flop cette année.
Sur la route de Jostein : Je salue l’intelligence et la ténacité de l’auteur dans cette quête méticuleuse de la vérité mais personnellement, quand un livre ne m’apprend rien ( à part la vie de l’auteur du Salaire de la peur), je peine à accrocher sur autant de pages.
Journal d’une lectrice : Je n’avais encore jamais lu Philippe Jaenada, et c’était une erreur, j’ai découvert un auteur aussi bienveillant que malicieux, qui se joue avec délectation de son double de papier, et se révèle un formidable raconteur d’histoires.
Tu vas t’abimer les yeux : Impossible de ne pas penser à Agatha Christie avec cette histoire de guerre, de château, de jeune bourgeois à la vie dissolue, et de mystère… et Philippe Jaenada est très convaincant dans son double rôle d’auteur/enquêteur. Une excellente lecture !
Les livres de Joëlle : Philippe Jaenada a écrit un livre passionnant sur un crime sordide et sur un personnage aux multiples facettes et a abouti à des conclusions qui interpellent.
Dans le manoir aux livres : Une nouvelle fois, Philippe Jaenada m’a totalement convaincue.
Shangols : Le truc se lit comme un bon vieux polar à l’ancienne, en même temps que comme l’auto-portrait d’un écrivain pris la main dans le sac d’une obsession maladive. A ce titre, un livre sympathique.
Lire au lit : Eh bien, en plein dans le mille la copine, pas un millimètre à côté, le coeur du coeur, l’hyper centre de la cible. Dire que j’ai aimé relève de l’euphémisme, c’est beaucoup plus que ça…
Tête de lecture : Messieurs mesdames les jurés (des prix littéraires), il grand temps de reconnaître l’excellence de maître Jaenada, avocat des causes perdues et virtuose de la prose en apparence alambiquée.
La règle du jeu : Philippe Jaenada fait la lumière – toute la lumière ? Là est question… – sur une affaire oubliée qui passionnera tout un chacun. La Serpe, l’un des romans les plus troublants de cette rentrée littéraire.
La Croix : On l’avait compris au fil de dix romans : chez Jaenada, le rocambolesque de la quête importe autant que sa résolution.
Libération : a Serpe est affaire de recherches et de libre interprétation. Le lecteur est facile à manipuler....
Télérama : Du sale gosse capricieux au jeune homme qui claque l’argent de ses parents économes, Henri n’est pas vraiment un type séduisant, mais c’est justement l’ambiguïté du personnage qui séduit l’inspecteur Jaenada.
Garoupe : On retrouve aussi avec bonheur les incessantes, innombrables et parfaitement à propos digressions de Philippe Jaenada.
Ô vous, soeurs humaines de Mélanie Chappuis
Ce édité par Slatkine est adoré par la blogosphère.Mots pour mots : Voici le livre que l’on a envie d’offrir à toutes ses copines, peut-être même à toutes les femmes de notre entourage.
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