Littératures asie du sud est

Humour grinçant, langue « sinueuse comme une bombe à retardement » : « le Parc aux Roseaux », le dernier roman de l’écrivaine, est un bijou à découvrir sans tarder.

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Peu de romanciers se sont emparés du Covid. Une relative amnésie qui redouble l’intérêt du dernier polar de Qiu Xiaolong,

Un petit livre étrange, qui, après L’usine qui s’attaquait sévèrement au monde du travail japonais, démonte cette fois la famille et le mode de vie au pays du Soleil Levant, si contraignant et aliénant qu’il pousse certains à s’en extraire totalement dans un isolement extrême, ou à s’inventer une réalité altérée.

Je ne sais pas d’où l’auteur, qui vit aux US, tire ses informations, mais le portrait qu’il dresse du pays fait froid dans le dos. Mépris de la vie humaine, violence de la répression, corruption, désespoir de la population, servilité totale envers qui détient une once de pouvoir …

Dans son nouveau livre, un récit, l’écrivain croise le destin de sa taiseuse famille, des Malaisiens d’origine chinoise, et le sien propre, depuis Londres où il vit.

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Dans “Amour, meurtre et pandémie”, l’écrivain installé aux États-Unis envoie son héros Chen enquêter sur une affaire de triple assassinat, au moment où le virus se propage. Une plongée spectaculaire dans la société totalitaire régie par Pékin.

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Le Trou doit se lire comme une métaphore. C’est aussi une version nippone d’Alice au pays des merveilles dans laquelle le lapin est remplacé par le chien noir.

Servi par une écriture délicieuse (merci à la traductrice) avec des poèmes choisis pour le message qu’ils offrent, ce texte m’a beaucoup touchée.

Avec son nouveau roman, l’écrivaine japonaise évoque un avenir de folie administrée, sans pour autant verser dans la dystopie. Espiègle et troublan

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Elle plonge son lecteur dans un tragique « réel merveilleux » japonais où la souffrance est un devoir, la douleur une honte et la mort une libération.

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