Un dernier verre au bar sans nom
que disent les 11 avis scannés sur le web du roman de Don Carpenter traduit par Céline Leroy ?
Tableau de bord
Oeuvre posthume, « Un dernier verre au bar sans nom » met en scène un couple d’écrivains, Jaime Froward et Charlie Monel, depuis leur rencontre à l’université jusqu’au moment de leur séparation, une quinzaine d’années plus tard. Tableau de la vie littéraire sur la côte Ouest des Etats-Unis au tournant des années 1960-70, le roman concentre la plupart des thématiques chères à Carpenter : comme « Sale Temps pour les braves », le livre présente un épisode carcéral ; comme dans « Deux Comédiens », Hollywood y apparaît dans sa démesure et sa folie ; comme dans tous ses romans, la fragilité des destins humains et l’angoisse de la perte, la dépression et la nécessité de faire face apparaissent comme les motifs majeurs de ce livre – avec, comme un corollaire inéluctable, comme une évidence bien ancrée au cœur de ces vies : l’alcool. Le livre s’ouvre sur la gueule de bois consécutive au mariage express de Jaime et Charlie, et s’achève sur ces mots « il lui restait beaucoup de verres à boire ». La publication de ce roman demeuré inédit vingt ans après la mort de l’auteur, dont l’édition a été confiée à Jonathan Lethem, a fait événement aux Etats-Unis.
ISBN grand format 9782366241914ISBN poche 10-18 9782264065278
Carrousel
Repose-toi sur moi

La fin d’une imposture

Celles qui ne meurent pas

Un paquebot dans les arbres

Une mort qui en vaut la peine

Le Verger de marbre

Garde-corps

La Rivière

Tout plutôt qu’être moi

Une bouche sans personne

La Terre des Wilson

Nora Webster

L’insouciance

Etat des lieux

Une comédie des erreurs

Chanson douce

Memorial Drive

En attendant Bojangles

La ferme de cousine Judith

Le Garçon
