Ordesa
que disent les 5 avis scannés sur le web du récit de Manuel Vilas traduit par Isabelle Gugnon ?
Tableau de bord

Métadonnées du livre

Sous-sol, août 2019
Collection Feuilleton non fiction
Prix Femina du roman étranger 2019
« Mon coeur ressemble à un arbre noir couvert d’oiseaux jaunes qui piaillent et me perforent la chair. » Tel est l’autoportrait brut et sans tabou d’un écrivain confronté à la disparition de ses parents. Assailli par les fantômes de son passé, il retrouve espoir dans le souvenir baigné de lumière jaune de leur amour et de la beauté d’antan. À travers l’évocation d’une famille modeste, c’est alors la peinture d’une certaine Espagne qui se révèle à nous dans toute sa complexité. L’appartenance à une classe sociale, l’éducation, l’alcoolisme ou encore la paternité sont autant de sujets traités ainsi de façon personnelle et collective à la fois. Profondément sincère, bruyamment intime, merveilleusement écrit dans une langue à la fois poétique et crue, Ordesa se lit comme la catharsis d’un deuil impossible, celui de la mort de nos parents et de la fin d’une époque, une expérience pour le moins universelle. Phénomène de librairie en Espagne, Ordesa a été désigné Meilleur livre de l’année par les grands quotidiens El País et El Mundo, imposant Manuel Vilas comme un écrivain majeur de la littérature espagnole.
« Voici l’album, les archives, la mémoire sans mensonges ni consolation d’une vie, d’une époque, d’une famille, d’une classe sociale condamnée à tant d’efforts pour obtenir si peu. Il faut beaucoup de précision pour dire ces choses, un acide, un couteau aiguisé, une aiguille assez fine pour faire éclater le ballon de la vanité. Ce qui reste à la fin, c’est l’émotion propre de la vérité et la détresse devant tout ce qui a été perdu. » Antonio Muñoz Molina « Un livre magnifique, courageux et bouleversant »
ISBN 9782364683976Carrousel
L’Empreinte

Mangeterre

Je ne reverrai plus le monde

Je ne suis pas seul à être seul

Nomadland

Péquenots

Où vont les fils ?

Kentukis

Vingt-trois secrets bien gardés

Big Bang

Par-delà la pluie

Alegria

Berta Isla

Le Temps de la haine

Chansons pour l’incendie

Antonia. Journal 1965-1966

J’entends des regards que vous croyez muets

Cafés, etc.

Ce que la mort nous laisse

Un promeneur solitaire dans la foule
