Lilas rouge
que disent les 3 avis scannés sur le web du roman historique de Reinhard Kaiser-Mühlecker traduit par Olivier Le Lay ?
Tableau de bord
Un soir à la nuit tombante, au début des années quarante, un père et sa fille arrivent dans un village de Haute- Autriche sur une carriole tirée par un cheval, avec leurs malles et leurs meubles, et s’installent dans une ferme abandonnée qui leur a été attribuée. La jeune fille traumatisée serre dans son poing un bouquet de lilas rouge.
Ferdinand Goldberger, chef de section du parti nazi, a dû fuir son village d’origine, mais ses crimes pèseront sur sa descendance. Au moment où la lignée semble devoir s’éteindre, puisqu’aucun des petits-enfants du patriarche n’a eu d’enfant à son tour, voici que surgit un ultime héritier, né à l’insu de tous, édiqué au loin. Comme son grand-père et son arrière-grand-père, il s’appelle Ferdinand.... Avec ce roman, Reinhard Kaiser-Mühlecker raconte, dans une langue somptueuse, le destin de l’Autriche rurale aux prises avec l’héritage du nazisme. La littérature de langue allemande n’avait pas produit depuis longtemps une fresque narrative d’une telle ampleur, comparable aux plus grands classiques européens. Riche en personnages inoubliables, Lilas rouge a été salué par la critique allemande comme une révélation.
Carrousel
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