Les comptes de ma tante Fé
que dit le web du roman de Hans Magnus Enzensberger traduit par Paul-Jean Franceschini ?
Page créée le 26/02/2017 - mise à jour le 26/02/2017 à 18:12Tableau de bord

Les Federmann ? Une famille allemande classe-moyenne on ne peut plus normale et sympathique vivant sympathiquement dans un sympathique pavillon. Mais il y a tante Fé – Félicité. Quand celle-ci surgit, tout se retrouve cul par-dessus tête. Installée dans le plus somptueux hôtel de la région, elle ne manque jamais d’inviter ses deux nièces et son neveu. Émerveillés par les belles et bonnes choses que leur offre tante Fé, les jeunes Federmann sont chamboulés par son extravagance. La tante Fé a roulé sa bosse à travers le monde. Elle est riche et veut faire comprendre à ces enfants du XXIe siècle cette réalité gênante et fascinante qu’est l’argent. Ébaubis, tous trois l’écoutent parler du capital, du profit, des effets de levier, de l’inflation, de la faillite… En leur compagnie, Enzensberger s’amuse à revisiter l’économie et donne au passage une souriante leçon de sagesse. Né en 1929, Hans Magnus Enzensberger s’est fait d’abord connaître comme poète, participant au « Groupe 47 » qui révolutionna la littérature allemande d’après-guerre. Il a reçu de nombreux prix prestigieux en Allemagne et dans le monde. Son roman Hammerstein (Gallimard, 2010) l’a révélé au public français. Alma a publié en 2014 son Panoptique et en 2015, Les opinions de M. Zède.
ISBN grand format 9782362792151ISBN EPUB 9782362792168
ISBN PNB 9782362793561
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