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Le Ministère du Bonheur Suprême

que disent les 11 avis scannés sur le web du roman de Arundhati Roy traduit par Irène Margit  ?

Télérama : Autour d’un « hijra », personnage hermaphrodite, l’écrivaine indienne signe un récit-fleuve qui embrasse l’histoire chaotique de son pays. Eblouissant.
Page créée le 06/01/2018 - mise à jour le 20/06/2020 à 15:57

Tableau de bord




le fil du web



4ème de couv

Le Ministère du Bonheur Suprême nous emporte dans un voyage au long cours, des quartiers surpeuplés du Vieux Delhi vers la nouvelle métropole en plein essor et, au-delà, vers la Vallée du Cachemire et les forêts de l’Inde centrale, où guerre et paix sont interchangeables et où, de temps à autre, le retour à « l’ordre » est déclaré. Anjum, qui fut d’abord Aftab, déroule un tapis élimé dans un cimetière de la ville dont elle a fait son foyer. Un bébé apparaît soudain un peu après minuit sur un trottoir, couché dans un berceau de détritus. L’énigmatique S. Tilottama est une absence autant qu’une présence dans la vie des trois hommes qui l’aiment. Cette histoire d’amour poignante et irréductible se raconte dans un murmure, dans un cri, dans les larmes et, parfois, dans un rire. Ses héros sont des êtres brisés par le monde dans lequel ils vivent, puis sauvés, réparés par l’amour et l’espoir. Aussi inflexibles que fragiles, ils ne se rendent jamais. Ce livre magnifique et ravageur repousse les limites du roman dans sa définition et dans sa portée. Vingt ans après Le Dieu des Petits Riens, Arundhati Roy effectue un retour époustouflant à la fiction.

ISBN grand format 9782072727320
ISBN poche Collection Folio 9782072833076
ISBN EPUB 9782072833083
ISBN PNB 9782072833090

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