La veuve Basquiat
que disent les 4 avis scannés sur le web du roman de Jennifer Clement traduit par Michel Marny ?
Tableau de bord

New York, dans les années 1980 : une ville fascinante et un peu folle. Berceau du hip hop et de la culture underground, elle débordait d’une énergie créative inégalée qui a vu naître les créations artistiques parmi les plus significatives du XXe siècle. C’est à cette époque que Jean-Michel Basquiat – aujourd’hui l’un des peintres les plus côtés sur le marché de l’art, régulièrement exposé dans les plus grands musées du monde – est devenu un artiste d’avant-garde. Durant les dernières années de sa vie, avant sa mort à l’âge de 27 ans, il a partagé sa vie avec Suzanne Mallouk, son amante et sa muse. Tous deux s’étaient rencontrés dans un bar du Lower East Side, après que Suzanne a fui son foyer canadien. Ce fut le point de départ d’une relation agitée et passionnée, qui a profondément influencé le travail de Basquiat.
C’est de cette relation que Jennifer Clement fait le récit, du point de vue de son amie Suzanne Mallouk. « Les moments d’intimité qui se cachent derrière la figure plus vraie que nature de Jean-Michel sont rarement évoqués. On sait qu’il travaillait ardemment, souvent défoncé à l’héroïne, dans la cave de son agent, Annina Nosei – qui vendait parfois ses tableaux contre sa volonté, avant qu’il estime les avoir terminés. On sait qu’il a eu une enfance chaotique. Mais quid de ses amours, des hommes et des femmes qui se sont tenus à ses côtés, parce qu’ils l’aimaient, forcés d’assister à son autodestruction ? Pour connaître la prison dorée de Jean-Michel, la vraie rançon de sa gloire, il nous faut une histoire vraie. […] Jennifer Clement donne cet accès au lecteur. Elle fait la chronique de l’histoire d’amour entre Suzanne Mallouk et Basquiat et construit une narration nuancée que Mallouk décrit comme « inspirée de » ses propres écrits et récits. Partant des souvenirs de Mallouk, Clement nous invite à suivre l’évolution de leur relation jusqu’à la vie commune et l’instabilité de Basquiat, en prise à la paranoïa. Suivant le point de vue de Suzanne, Clement ne produit pas une hagiographie de Basquiat. Elle redonne au contraire une place que Suzanne revendique dans cette histoire, vue de l’intérieur. […] La veuve Basquiat est l’histoire d’amour complexe, racontée avec élégance, de deux êtres qui se cherchent, se rencontrent à un moment charnière de l’histoire, et embrasent tout, y compris eux-mêmes. » Rebecca Walker, NPR
Jennifer Clement est née en 1960 à Greenwich, dans le Connecticut. Elle est poète, biographe et romancière. Elle est l’auteur d’Une vraie histoire tissée de mensonges et de Prières pour celles qui furent volées. Elle occupait une place centrale de la scène artistique new-yorkaise dans les années 80 mais habite désormais à Mexico. Elle est membre du prestigieux Sistema Nacional de Creadores de Mexico. Elle a aussi créé et dirige la Semaine de la poésie de San Miguel. Elle a présidé le PEN Club de Mexico de 2009 à 2012.
ISBN grand format 9782267029420ISBN EPUB 9782267029437
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