La Femme qui pensait être belle
que disent les 2 avis scannés sur le web du recueil de nouvelles de Kenneth Bernard traduit par  Sholby ?
Page créée le 24/09/2015 - mise à jour le 25/09/2015 à 20:21Tableau de bord
La Femme qui pensait être belle est un recueil de treize nouvelles qui dit le monde avec une telle précision que cela en devient absurde. Prendre le métro, marcher avec sa femme, survivre à la disparition d’un livre prêté, comprendre la métaphysique de la déglutition, s’expliquer pourquoi la civilisation a loupé le coche en misant sur Tarzan plutôt que King Kong, ou encore révéler la supériorité de la note de bas de page : voilà autant de problèmes majeurs auxquels vous trouverez des réponses dans ce livre.
Il y a un ton Kenneth Bernard, quelque chose dans ses textes qui les fait reconnaître entre mille : « Je suis un usager très régulier du métro. Je trouve qu’il s’accorde assez bien avec le côté routinier dans ma vie, et j’accepte ses désagréments sans tiquer. J’arrive parfois à m’asseoir, parfois non ; parfois la climatisation fonctionne, parfois non ; et en général j’arrive à destination à l’heure escomptée. Un esprit alerte y trouve en outre suffisamment matière à distraction. Par exemple avec les publicités, qui forment un fascinant sujet d’étude de notre société. On peut même y pratiquer certains exercices discrets pour se maintenir en forme, comme contracter et relâcher ses fesses. Mais surtout, il y a les gens. » (in Vieux dégoûtant)
ISBN grand format 9782370550569Carrousel
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