L’Écart
que disent les 21 avis scannés sur le web du récit de Amy Liptrot traduit par Karine Guerre ?
Tableau de bord

Grande, fine, intrépide et avide de passion, elle vacille, tel un petit navire dans la tempête, elle hésite entre deux destins : se laisser emporter vers le sud, vers ce Londres qui brille, dans la nuit violente qui fait oublier le jour où l’on est trop seul, où tout est trop cher, où le travail manque.
Ou se fracasser contre les falaises de l’île natale, dans cet archipel des Orcades battu des vents dont la vie rude lui semble vide et lui fait peur.
Elle l’ignore encore mais il existe une troisième voie : écouter résonner l’appel qui la hante, qui vient toucher cette part d’elle assoiffée de grand large, de grand air, de grande beauté. Non pas rester mais revenir. Choisir.
Troquer la bouteille assassine contre une thermos de café fort, troquer l’observation narquoise et éperdue de la faune des nuits de fêtes tristes pour la contemplation des étoiles et des nuages, et l’inventaire des derniers spécimens de râle des genêts, un oiseau nocturne comme elle, menacé comme elle, farouche comme elle.
Sa voie s’appelle l’Écart. C’est l’humble nom d’une bande côtière où les animaux sauvages et domestiques peuvent se côtoyer loin des regards, où folâtrent des elfes ivres d’embruns.
C’est le nom fier de son premier roman.
ISBN poche Pocket 9782266295833
ISBN EPUB 9782211237871
ISBN PNB 9782383610694
Carrousel
Janvier noir

Les jours de Vita Gallitelli

La Blessure

Avec toutes mes sympathies

Les Chemins de la haine

Ordinary People

Prière pour ceux qui ne sont rien

Le ministère des sentiments blessés

La Loi de la mer

Le lambeau

Mazie, sainte patronne des fauchés et des assoiffés

Les Frères Lehman

Ecoute la ville tomber

La seule histoire

Qui a tué mon père

Ici, les femmes ne rêvent pas

Dans la vallée

La Mort selon Turner

Celui qui va vers elle ne revient pas
