East Village Blues
que disent les 11 avis scannés sur le web du récit de Chantal Thomas ?
Tableau de bord

Un récit simple, fluide, où l’on respira un air de profonde liberté dans le New York des années 1970.Au milieu des années 1970, alors qu’elle vient de soutenir sa thèse sur Sade avec Roland Barthes, Chantal Thomas décide de partir. Loin. Elle s’installe à New York. Chez une amie d’amie. Le désir circule, les fêtes s’enchaînent, chez les uns, chez les autres, inconnus parfois. Un puissant souffle de liberté anime la ville. Quarante ans plus tard, amenée à séjourner dans l’East Village, elle retrouve les lieux de son premier séjour, dans un quartier qui a toutefois totalement changé ou presque. Seules quelques traces demeurent de la marginalité d’autrefois, des graffitis sur les quelques immeubles qui n’ont pas encore été restaurés et dont Allen Weiss, partenaire de ce livre, va extraire des images photographiques qui rappellent un temps révolu. Car l’East Village était le lieu d’immigration et de bohème pauvre, inventive, où tout le monde se rêvait poète, où circulaient encore Allen Ginsberg, William Burroughs, Herbert Huncke, les « beats », et les fantômes bien vivants d’Andy Warhol, de Lou Reed et du Velvet Underground.Au fil des pages, Chantal Thomas se souvient des lieux (St-Mark’s church, le Chelsea Hotel, les bars, les appartements), elle évoque les fêtes, les dragues, les aventures, dans un flottement des genres qu’elle restitue à merveille, comme portée par la grâce d’une mémoire à même de revivre et faire revivre l’intensité d’une époque ouverte à tout.Par les temps qui courent, ce livre est une merveilleuse évasion, et le rappel d’une chose : la liberté est possible, elle est même un excellent principe de vie…
ISBN grand format 9782021406924ISBN poche Points 9782757878583
ISBN EPUB 9782021406955
ISBN PNB 9782021406948
Carrousel
Le Bal des folles

Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon

À la ligne

Miss Cyclone

La plus précieuse des marchandises

533, le livre des jours

Les Enténébrés

4321

J’ai vendu mon âme en bitcoins

Né d’aucune femme

Un dimanche matin

Par les routes

Venise à double tour

Un été avec Géronimo
