Chicago
que disent les 3 avis scannés sur le web du roman de Nelson Algren traduit par Christophe Mercier ?
Tableau de bord
Paru pour la première fois en 1951, Chicago, considéré comme un classique aux Etats-Unis, a conservé toute sa force. Il décrit une ville tant d’arnaqueurs, de prostituées, de politiciens que de bourgeois et de notables. Cette évocation est un incomparable chant d’amour. La ville a peut-être changé, mais ce portrait frappe toujours : d’un côté la beauté de la ville, de l’autre sa violence extraordinaire ; d’une part son énergie exceptionnelle et d’autre part sa brutalité cupide.
La tension qui perdure dans cette immense cité, la troisième ville des Etats-Unis, fonde le projet littéraire d’Algren, qui en fait un portrait digne de Goya ou de Baudelaire. Considéré par certains critiques tels Studs Terkel, qui signe ici la préface, comme te meilleur livre sur Chicago, cet essai est digne des grands romans de Nelson Algren.
Carrousel
Robicheaux

Little Caesar

Une cathédrale à soi

Il y a longtemps que je mens

Dans les angles morts

Smile

La crète des damnés

Une douce lueur de malveillance

L’été où tout a fondu

Les jours de silence

Un monde à portée de main

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres

Masi

L’Arbre-monde

My Absolute Darling

Arthur et Paul, la déchirure

Manuel de survie à l’usage des jeunes filles
