Avec toutes mes sympathies
que disent les 28 avis scannés sur le web du récit de Olivia de Lamberterie ?
Tableau de bord

Les mots des autres m’ont nourrie, portée, infusé leur énergie et leurs émotions. Jusqu’à la mort de mon frère, le 14 octobre 2015 à Montréal, je ne voyais pas la nécessité d’écrire. Le suicide d’Alex m’a transpercée de chagrin, m’a mise aussi dans une colère folle. Parce qu’un suicide, c’est la double peine, la violence de la disparition génère un silence gêné qui prend toute la place, empêchant même dese souvenir des jours heureux.Moi, je ne voulais pas me taire.Alex était un être flamboyant, il a eu une existence belle, pleine, passionnante, aimante et aimée. Il s’est battu contre la mélancolie, elle a gagné. Raconter son courage, dire le bonheur que j’ai eu de l’avoir comme frère, m’a semblé vital. Je ne voulais ni faire mon deuil ni céder à la désolation. Je désirais inventer une manière joyeuse d’être triste.Les morts peuvent nous rendre plus libres, plus vivants. » O. L.
ISBN 9782234085800Carrousel
Une longue impatience

Mes intimes étrangers

La Blessure

Ça raconte Sarah

Une année lumière

Le lambeau

La révolte

L’enfant rouge

Looking back

Chez nous

Les invisibles

Qui a tué mon père

La Loi de la mer

Mohammad, ma mère et moi

La Premiere Annee

Mon autre famille

L’Écart

Partie gratuite

Ici, les femmes ne rêvent pas

Tenir jusqu’à l’aube
